Ils se répartissent en 1500 logements ruraux, 1500 AADL et 1000 LPA. Par ailleurs, suite à une présentation d'un état des lieux de l'habitat à travers la wilaya, il a exigé des comptes du directeur concerné, comme de celui de l'OPGI, quant au retard accusé par rapport au non-respect des délais de réalisation de 5900 logements inscrits entre 2009 et 2013. A cet égard, d'aucuns se rappellent qu'en cette époque, un wali et son SG nouvellement installés ont brisé la dynamique enclenchée dans le secteur depuis la reconstruction de Témouchent suite au séisme de fin 1999. Plus soucieux de procédures que d'efficacité, ils ont fait fuir tous les promoteurs qui ont fait leurs preuves, d'autant que les wilayas environnantes disposaient de plans de charge autrement plus consistants qu'à Témouchent. Ce ne sont donc pas les crédits de paiement devenus chiches récemment avec les restrictions budgétaires qui en sont la cause première. Précisément, concernant ce volet, pour ce qui est des travaux d'aménagement et de viabilisation en souffrance, le ministère libère 175 millions de DA pour les premiers ainsi qu'une première tranche de 340 millions de DA incessamment et une deuxième début 2018 sur les 1,3 milliard de DA demandés par la wilaya. Enfin, les 1104 logements CNEP transférés au programme AADL et qui sont en souffrance d'achèvement pour ce qui est des VRD, le ministre a fait part de l'octroi de 140 millions de DA de financement pour ce qui est des travaux en primaire et secondaire, alors que le tertiaire est mis à la charge de la CNEP.
