Coopérative immobilière G2 (Kouba) Un groupe d'habitants de la coopérative universitaire G2 de la commune de Kouba contestent le climat d'anarchie et de nuisance créé après l'installation d'un collège privé. Dans une pétition, ces habitants font état de plusieurs anomalies dans le fonctionnement de cette institution d'enseignement. « Les locaux et l'environnement ne sont pas propices à un établissement d'enseignement », peut-on lire dans ce document. Les voisins de cette école font état de plusieurs nuisances dues au stationnement anarchique des parents d'élèves et le squat des espaces pour en faire des parkings pour le personnel de cet établissement. « Il nous sera encore difficile de subir une nouvelle année les aléas de cette école et assister encore à de nouveaux incidents entre les riverains, les responsables de cette école et les parents d'élèves à cause de la juxtaposition, dans une surface réduite, d'une activité envahissante au milieu d'une coopérative de logements voulus paisibles de par leur conception », expliquent les signataires de la même pétition. Ces derniers dénoncent le mutisme des autorités locales dont l'APC qui n'a pas engagé, selon le même document, d'enquête commodo- incommodo avant d'accorder l'autorisation pour la construction du collège. Alger-centre : Des rues fermées à la circulation L'Entreprise du métro d'Alger (EMA) annonce la fermeture provisoire de la voie située au niveau de la rue Ouled Aoudia Mokrane et la rue Mohamed Sidhoum dans la commune d'Alger-centre. Les deux rues en question seront ainsi interdites à la circulation et au stationnement des véhicules jour et nuit. Des clôtures ont d'ores et déjà été dressées et la circulation automobile a été déviée sur une partie de la rue Tanger. L'EMA justifie cette situation par les travaux de réalisation de l'extension de la ligne 1 du métro d'Alger (place Emir Abdelkader/place des Martyrs). Cependant, la durée du chantier n'a pas été précisée sur les communiqués affichés sur les lieux concernés par les travaux, ce qui n'a pas manqué de susciter l'inquiétude des commerçants et des citoyens, nombreux à traverser cette voie.
