-Baraki : découverte d'un corps dans un oued Le corps d'une personne âgée de 43 ans, non-voyante et sujette à des troubles psychiques, portée disparue depuis le 13 juin 2013, a été découvert dans un état de décomposition avancée à Oued Baraki (Alger). La dépouille de cette personne a été repêchée et déposée à la morgue de l'hôpital d'El Harrach. La brigade de Gendarmerie nationale de Baraki a ouvert une enquête. -Tramway : plaques de signalisation arrachées Des plaques de signalisation du tracé du tramway ont été arrachées. Touchées de plein fouet par des automobilistes, les plaques n'ont toujours pas été remises à leur place. L'Entreprise du Métro d'Alger (EMA) et la société à qui est confié l'exploitation de ce mode de transport, la Setram en l'occurrence, trouvent des difficultés à entretenir le mobilier. Les validateurs sont en panne, des abribus sont saccagés par des voyous, tandis que les carrelages installés se dégradent à vue d'œil. L'hygiène n'est guère assurée également dans certaines stations : des amas d'ordures s'amoncellent. Les poubelles, remplies à ras-bord, ne sont jamais vidées. -Cité Fico (El Magharia) : travaux du réseau d'AEP Des travaux de réfection des réseaux d'AEP ont été lancés ces derniers jours à la cité Fico, dans la commune d'El Magharia. Un sous-traitant de Seaal mène de front ces travaux touchant des bâtiments de cette cité ,située au Caroubier. Des parties de la commune sont concernées par ces travaux, qui touchent les anciennes canalisations d'adduction en fonte. La commune d'El Magharia connaît de fréquentes coupures d'eau, s'indignent les résidants, sans que Seaal intervienne. Aucun préavis n'est publié à la veille de ces suspensions d'alimentation intempestives. Le réseau d'assainissement pose aussi problème. Des avaloirs de la rue de Tripoli sont obstrués. -Cimetière d'El Harrach : saleté partout ! Le cimetière de Sidi Tayeb à El Harrach se trouve à l'abandon : des gravats et des détritus en tous genres s'amoncellent à chaque coin de ce cimetière saturé. Les herbes et les roseaux ont envahi les espaces. Des tombes se sont gondolées à cause des racines des arbres. L'entretien que devait assurer l'APC ou l'EGPFC est négligé. Même les familles des morts ne mènent pas de travaux pour protéger l'espace.