Le problème posé par des vendeurs à la sauvette, qui ont envahi les terrains vagues et rues avoisinantes au marché Abacha, est toujours d'actualité et leur délocalisation ne semble pas être à l'ordre du jour. Aussi, les habitants des 132 Logements de la cité Bizard ne savent plus à quel saint se vouer. Leurs innombrables pétitions transmises aux élus de la commune sont demeurées jusqu'à présent infructueuses. Dire qu'en janvier 2003 (voir El Watan du jeudi 30 janvier 2003), le P/APC de l'époque avait annoncé en grande pompe l'aménagement de plusieurs placettes devant accueillir de 7h à 14 h, une fois par semaine, des marchands ambulants. La note du 2 septembre 2002 n'est toujours pas appliquée Souk Abacha demeure l'autre plaie d'une cité livrée à un triste sort. L'aménagement du centre-ville n'améliore guère le look d'une cité où il faisait bon vivre.
