Au moment où de nombreux joueurs algériens, nés sur le vieux continent et y font la joie des clubs dans lesquels ils évoluent dans les différents championnats d'Europe, à l'instar de Soltani, l'attaquant du club hollandais, Karim Benyamina, le légendaire buteur du club allemand de Berlin et beaucoup d'autres joueurs de haut niveau, la priorité est donné à des joueurs qui ont hésité et créé le suspens à plusieurs reprises avant de donner leurs accords pour porter les couleurs nationale, à l'instar de Mehdi Lacen du club espagnol Santander. Mehdi Lacen dernier fait la une des discussions ces jours ci pour la simple raison qu'il n'a pas pris la décision de rejoindre la sélection du pays de son père qui a déclaré auparavant qu'aucun lien ne le lie au pays de un million et demi de martyrs étant donné qu'il n'y a jamais mis les pieds. Ce dernier a passé toute sa vie en France, alors, est-il normal que la Fédération algérienne sollicité les services de ce genre de joueurs alors qu'elle a déjà essuyé des refus de gens pareils comme Ben Arbia qui avait attendu jusqu'au jour ou il s'est rendu compte qu'il ne serait pas convoqué dans la sélection française pour rejoindre les Verts. La même chose en ce qui concerne Ibrahim Hamdani, le joueur des Glasgow Rangers qui a préféré gagner du temps lorsqu'il portait les couleurs de l'Olympique de Marseille dans l'espoir d'être convoqué par la sélection française. Ne voyant rien venir, il a rejoint la sélection de son pays pour laquelle il n'a rien donné vu qu'il était vieux. Ceci se passe alors que des joueurs attachés au pays de leurs ancêtres expriment leurs souhaits de porter les couleurs de ce pays et qu'ils ne joueraient que pour ce dernier.