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Ainsi va la vie : Les aléas d'un mariage 3e partie
Publié dans Info Soir le 14 - 08 - 2016

Résumé de la 2e partie n Les parents de Djalal meurent. Le jeune époux sombre alors dans un deuil maladif qui a vite fait de virer à la dépression.
Ceux qui connaissaient Djalal n'arrêtaient pas de lui téléphoner pour solliciter ses services mais lui il avait décidé de ne pas leur répondre. Quand il acceptait un travail c'était parce que celui-ci était minime et n'exigeait pas de lui de gros efforts. C'était généralement un travail dont la rémunération ne dépassait jamais les 1000 DA. Djalal ne cherchait que de l'argent de poche pour satisfaire ses propres besoins. Il se comportait comme s'il n'avait pas de famille à charge. Comme s'il ne voyait plus sa femme et ses deux enfants. Plus d'une fois, il était revenu à la maison fatigué mais sans le moindre sou parce qu'avant de rentrer il s'était arrêté dans un bar où il avait vidé quelques bières. Il était devenu un habitué de la bouteille alors qu'avant son mariage il ne buvait pas. Les gens se marient pour trouver le salut, Djalal, lui c'était en se mariant qu'il s'était fourvoyé sur le mauvais chemin. Allez comprendre quelque chose. Et ce n'était pas fini. Un soir, sa femme le surprit en train de rouler une cigarette. Elle se mit alors à hurler. Elle avait vu la même scène dans un reportage de l'ENTV et elle comprit qu'il s'agissait de drogue. Elle se rua sur lui et lui arracha la cigarette. Mal lui en prit parce que Djalal se leva, lui donna deux gifles et lui dit :
- Attention ! La prochaine fois que tu referas ça, tu le regretteras toute ta vie. A quoi faisait-il allusion ? Ratiba ne le sut jamais. Tout ce qu'elle savait c'est que maintenant qu'elle avait deux enfants en très bas âge, elle se devait de faire des concessions jusqu'au jour où son mari retrouverait le droit chemin. Tout le monde finit par retrouver, un jour, le droit chemin. C'est ce qu'on dit.
Mais deux autres années s'écoulèrent sans que Djalal ne s'éloigne du mauvais chemin sur lequel il s'était engagé… Alors, sur conseil de ses deux frères, Ratiba décida de demander le divorce, convaincue que c'était à elle que reviendrait la garde de ses deux enfants âgés de quatre et cinq ans en raison du comportement irresponsable de leur père. Mais Djalal ne voulait pas entendre parler de divorce. Alors elle décida de quitter le domicile conjugal pour épargner à ses deux petits enfants, les cris, les jurons et les obscénités d'un père dont l'inconscience s'aggravait de jour en jour.
Deux ans s'étaient écoulés depuis que Ratiba avait décidé de vivre chez ses parents, loin de son mari.
A suivre


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