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Cela s'est passe un jour : Aventures, drames et passions célèbres
Les vampires modernes (43e partie)
Publié dans Info Soir le 27 - 06 - 2006

Résumé de la 42e partie n Richard Trenton Chase, le vampire de Sacramento, a eu, comme ses pairs des autres pays, une enfance malheureuse.
Comme John Haig, le vampire de Londres, il recherche les animaux. Non pas qu'il aime leur compagnie, mais parce qu'il a besoin d'eux. A quinze ans, Richard croit, en effet, qu'il souffre d'une maladie du sang.
«Je sentais, reconnaîtra-t-il plus tard, que je n'avais pas assez de sang ou que mon sang n'était pas suffisamment riche pour me soutenir : j'étais tout le temps affaibli et parfois même je ne tenais pas sur mes jambes.»
Résultat : il croit qu'il a besoin de «régénérer» son sang. Comme les grands seigneurs européens de la Renaissance, il pense à «boire» le sang d'animaux. Un jour, il se rend au marché, achète un lapin vivant et l'emmène dans un coin discret où il l'égorge puis l'éviscère et, mélangeant les organes vitaux – cerveau, cœur, poumons – avec le sang, il réduit le tout en bouillie et s'en nourrit. «J'avais l'impression, racontera-t-il plus tard, qu'après avoir avalé le mélange, je devenais plus fort. Je sentais le sang couler avec force dans mes veines et je pouvais faire ce que je voulais !»
Pour qu'on ne le voit pas, il dissimule le produit dans des boîtes de sodas et dès qu'il se sent affaibli, il se met à en boire. Il se rend à la campagne et, sous prétexte d'aider les paysans, il s'empare de petits animaux de ferme, les égorge et boit leur sang.
Il reste très attaché à sa mère qui vit maintenant seule avec sa jeune sœur, mais il ne lui avoue pas sa passion pour le sang de peur qu'elle ne le rejette.
L'adolescent a quelques liaisons, mais les filles avec lesquelles il sort sont effrayées par ses penchants morbides et elles finissent toutes par le quitter. De toute façon, les femmes ne l'intéressent pas et, pour l'avoir rejeté, il cherchera, plus tard, à se venger d'elles.
Cependant, sa passion pour le sang croît : il lui faut de plus en plus de lapins à égorger. Il recueille le sang encore chaud et le boit.
En 1976, alors qu'il a vingt-six ans, Richard Chase pense à un nouveau moyen d'enrichir son sang : plutôt que de boire directement celui des lapins, pourquoi ne se l'injecterait-il pas ? Ne fait-on pas des transfusions aux malades, ceux justement qui ont besoin de sang pour recouvrer leurs forces ?
Il achète un lapin, l'égorge, recueille le sang et, à l'aide d'une seringue, s'injecte le sang dans les veines.
On le retrouve quelques instants après, inanimé, la seringue encore à la main et, près de lui, la dépouille du malheureux lapin.
A l'hôpital, on l'interroge sur ce qu'il lui est arrivé.
«J'avais besoin de sang frais, explique-t-il aux médecins ahuris. Alors, j'ai pensé à m'injecter du sang de lapin !» Et il ajoute : «Je n'ai rien fait de mal ! Il n'est pas interdit, n'est-ce pas, de s'injecter du sang de lapin ?»
Ce n'est pas interdit, mais ceux qui le font sont considérés comme fous... (à suivre...)


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