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Etudiants algériens en France
Tout n'est pas rose
Publié dans Info Soir le 27 - 05 - 2009

Réalité n Continuer ses études en France, tel est le rêve de bon nombre d'étudiants algériens. Mais pour ceux qui ont eu la chance de les poursuivre, tout n'est pas rose.
Ce n'est pas la qualité de l'enseignement dispensé au sein des universités françaises qui est décriée, mais plutôt les conditions d'accueil. «Il ne faut pas croire que l'étudiant étranger est accueilli avec les honneurs à son arrivée en France, il ne faut pas penser qu'on lui déroule le tapis rouge», affirment d'emblée des étudiants que nous avons rencontrés à Paris. «Tout d'abord, il doit se débrouiller pour trouver un toit et un job», enchaînent-ils. Dans la capitale française, trouver une location à un prix raisonnable relève presque de l'impossible tant la demande est très forte, selon nos interlocuteurs qui soulignent qu'un simple studio dans un quartier «populaire» est loué à partir de 400 euros par mois en moyenne. «Même à ce prix-là, ce n'est pas facile d'en trouver», notent-ils encore. C'est pourquoi beaucoup d'étudiants recourent à la colocation qui permet de faire des économies. Et les résidences universitaires ? De l'avis de nos interlocuteurs, il ne sert à rien de chercher une chambre universitaire. Et pour cause : «A Paris, toutes les cités universitaires sont pleines.» Pour les étudiants installés dans d'autres villes, le problème se pose avec moins d'acuité, puisque la location coûte moins cher et il y a bien des possibilités d'avoir une chambre universitaire. Cependant, il n'est pas toujours facile d'y trouver un travail. Après d'infructueuses recherches, certains finissent d'ailleurs par se réinscrire dans une université de la capitale française où les opportunités d'embauche ne manquent pas. «Heureusement que nous travaillons. Autrement, nous n'aurions jamais pu faire face à nos dépenses», se réjouissent les étudiants «parisiens». Des dépenses qui sont en constante augmentation. Sur ce registre, il y a lieu de signaler que la vie à Paris est chère comparativement à d'autres villes comme Lille, dans le Nord, ou Rennes, en Bretagne. Cela étant, un certain nombre d'étudiants peinent à concilier études et travail. Dans bien des cas, ils se retrouvent dans l'obligation de sacrifier leurs études, s'exposant du coup au risque de se retrouver en situation irrégulière. En revanche, rares sont ceux qui se consacrent entièrement à leurs études. La raison ? «Pour étudier ici, il faut impérativement travailler !»

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