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Samy Noureddine:(journaliste et frère de Hamraoui Habib Chawki)
Publié dans Le Buteur le 28 - 01 - 2009


«Fier d'être un Kabyle et à fond pour le MCA »
Je ne peux pas dire qu'on a été pistonné, mais c'est vrai qu'on a eu un coup de pouce du destin. Mais avant cela, il faut juger les compétences.
* Samy Noureddine, c'est un pseudo ?
Mon vrai nom, c'est Hamraoui Nouredine.
* Pourquoi tu as occulté Hamraoui, est-ce à cause de ton frère Habib Chawki ? ?
* Lorsqu'il a été question que je rejoigne la télévision, je ne voulais pas rajouter une pression supplémentaire à mon frère Habib Chakwki. On a donc décidé que je prenne le prénom de mon neveu Samy. Et c'est ce qui a donné Samy Noureddine.
* Tu es né le et où ?
* Le 4 septembre 1963 à Hydra. Mon frère aussi est né à Alger, mais les autres sont tous nés à Sétif.
* Origine des parents ?
* Pur sang kabyle ! Ma mère est originaire de Attouche et mon père de Makouda. Il y a une vallée qui sépare les deux villages.
* Vous parlez kabyle à la maison ?
* Malheureusement non. Ma mère est née à Chéraga. Elle comprend, mais elle ne le parle pas bien. Et puis nous avons vécu entre Alger et Sétif. Cela dit, nous revendiquons totalement notre identité amazigh. On est kabyles et fiers de l'être.
* Le métier des parents ?
* Ma mère a été femme au foyer et mon père a été chauffeur de taxi avant l'indépendance. Par la suite, il a travaillé comme chef de service à l'Office national du matériel agricole. On a quitté Alger avec lui pour aller s'installer à Sétif en 1965.
* Famille nombreuse ?
* On est Sept : 4 sœurs et trois frères. L'aîné c'est Chawki, puis moi, puis...Je suis arrivé dans le métier de journaliste sportif bien armé techniquement au moins. J'ai fait des études à l'IEPS et je suis spécialisé en football et un peu en athlétisme.
* Avez-vous au moins pratiqué ces deux sports ?
* J'ai joué au football et j'avais une licence au Stade Africain de Sétif. J'ai même joué avec mon frère Habib Chawki dans la même équipe. J'ai été sélectionné chez les seniors en équipe communale avec M. Laroussi Hannachi qui était à la tête de l'USMA qui avait joué la finale de la Coupe d'Algérie en 2005 contre l'ASO.
* Vous aviez joué à quel poste ?
* Moi, j'étais milieu ou attaquant et Chawki était avant-centre. Je peux vous assurer que c'était un très bon joueur. C'était notre capitaine d'équipe. Il avait déjà cet air d'intello qui faisait la différence avec les autres. Je ne débarque pas d'une autre planète. Je sais ce que je dis dans mes commentaires.
* Vos frères et sœurs s'appellent comment et ils font quoi ?
* Il y a la grande Chafika qui travaille à la poste de Sétif. Il y a Linda qui a fait Sciences Po au ministère de l'Intérieur. Elle, on va sans doute la retrouver wali un de ces jours. Il y a aussi Sofiane qui a fait des études en droit et qui travaille dans le Transit. Il y a aussi Anas qui travaille à la radio de Sétif. La benjamine enfin s'appelle Karimane et elle bosse dans le bureau d'ordre à la télévision.
* Vous avez été bien pistonnés dans la famille, vous !
* Je ne peux pas dire qu'on a été pistonné, mais c'est vrai qu'on a eu un coup de pouce du destin. Mais avant cela, il faut juger les compétences. Nous avons juste été aidés. Le piston, c'est quand on n'a pas le profil pour un poste et qu'on soit parachuté.
* Ta femme est de quelle origine ?
* Elle est née à Alger mais originaire de la Kabylie, Bougaâ précisément.
* Des enfants ?
* Deux filles : Lyna qui a 9 ans et Anaïs 7 ans.
* Où tu as travaillé avant la télé ?
* J'ai été prof d'EPS à Ghardaïa, puis je suis allé à Khemis El Khechna en pleine période de terrorisme.
* Depuis que ton frère n'est plus le big boss à la télé, est-ce que les collègues ont changé de comportement avec toi ?
* Absolument pas. Je sens même plus de chaleur de la part des collègues depuis le départ de mon frère. Je crois que c'est parce que je n'avais pas été à leurs yeux le frère du patron, mais plutôt un simple collègue de bureau.
* Il fait quoi aujourd'hui ton frère ?
* Il se repose et se remet de ces longues années de labeur.
* Comment as-tu appris la nouvelle de son départ ?
* Par le biais de ma sœur. J'étais à Rouen pour le match de l'EN face au Mali. J'ai tout de suite eu de la sympathie pour lui.
* Ne pensez-vous pas parfois à la maison qu'il pourrait occuper un poste plus important un jour ? Premier ministre ou président ?
* Président ? On n'y pense pas. On n'est pas aux USA tout de même ! Mais à la maison, on préfère rigoler de ça quand on est en famille.
* Comment avez-vous réagi le jour où vous aviez appris qu'on l'avait nommé ministre ?
* Je connais des cachotiers dans la vie, mais comme Chawki, je n'en ai jamais vu. Il nous avait caché à tous cette nomination. A nos parents, à nous et même à sa propre femme ! On l'avait donc appris par pur hasard au journal de 20h00. On était scotchés par cette nouvelle des plus inattendues.
* Que s'est-il passé au juste ?
* Il y a eu des larmes de joie dans toute la famille. Les youyous fusaient de partout et les voisins s'étaient installés dans les minutes qui suivaient dans tout l'appartement. On aurait cru que l'ESS avait gagné la coupe. On était à Sétif et je peux vous assurer que ce moment-là, on ne l'oubliera pas de sitôt. Dans notre tête, personne n'était préparé à voir Chawki devenir ministre.
* Pourquoi ?
* On est issus d'une famille tellement modeste qu'il était impensable de voir survenir un tel bouleversement. Sa femme tenait son bébé dans les bras et en apprenant la nouvelle à la télé, elle a failli s'évanouir. Elle a juste eu le temps de nous balancer le bébé avant de s'effondrer.
* Comment avez-vous passé votre enfance à Sétif ?
* On habitait un logement de fonction à l'ONAMA. On était entourés de la nature. Je vous assure que c'était presque la petite maison dans la prairie.
* Qui était Charles Ingels ?
* (Il est mort de rires) Pas mon père le pauvre. Mon frère était Michael et Lynda était Laura Ingels...
* Il paraît que vous avez été vexé par les propos de Mâmar Djebbour à votre sujet, non ?
* Je suis plutôt déçu de la part de ce monsieur qui s'érige en juge. Vous lui avez posé une question sur Boutrik, mais il a répondu en me citant méchamment. Moi aussi, je peux me poser des questions stupides comme le fait qu'un agronome devienne journaliste à la radio. C'est insensé. Qui est-il pour juger ses confrères ? Et pourquoi ne m'a-t-il rien dit lorsqu'on travaillait ensemble sur Canal Algérie ?
* Vous pensez qu'il a une dent contre vous ?
* En tout cas, j'ai remarqué qu'il a adopté un comportement bizarre avec moi depuis quelque temps. Il passe sans dire bonjour et je ne comprends pas pourquoi de telles bassesses. Franchement, il m'a déçu. J'ai bien envie de savoir ce qu'il a contre moi. Il faut qu'il sache que je suis de formation arabophone et ce n'est qu'après un effort de ma part que je commente en français. S'il juge mon français, il faut qu'il sache que je suis fier de maîtriser plus l'arabe que le français et non l'inverse comme lui.
* Vous êtes vraiment fâché ?
* J'aurais pu l'enfoncer en sortant des vertes et des pas mûres sur lui, mais je préfère ne pas me rabaisser. Je veux juste lui dire de balayer d'abord devant chez lui avant d'aller critiquer les hommes.
* Ton club préféré ?
* Le MCA, je n'ai pas à le cacher. Une fois à Sétif, on m'a même tabassé dans les tribunes après que Bouiche eut égalisé contre l'ESS. C'est un gars du quartier qui m'a sauvé.
* Sur quoi tu veux finir l'entretien ?
* J'aimerais dire que j'ai connu deux hommes à la radio qui m'ont impressionné et avec lesquels je voudrais encore travailler. Il s'agit de Mohamed Haouchine et Ighil Meziane que je salue. J'attends avec impatience son retour parmi nous.
Entretien réalisé par Khbat Khbat
Lang doit lire ça !
Un jour, Oussalah Dehouche et Chaouchi avaient décidé d'aller prendre leur douche sans l'aval du coach, après une séance physique en salle.
Ifticen. « Vous auriez pu faire plus attention. Les journalistes sont à l'affût et ils ne manqueront certainement pas d'en faire un plat... Hragtouni ! »
Un des trois joueurs fautifs rétorqua : « Si on nous pose la question, on dira que vous nous avez autorisés à écourter la séance. » C'est là qu'on comprend qu'Ifticen se souciait plus de son image, pour qu'elle ne soit pas écornée. Il avait fallu que Hannachi tape du poing pour qu'un semblant de sérieux revienne. Toutefois avant qu'il ne décide de jeter l'éponge, Ifticen a d'abord entendu de Chaouchi tout le « bien » qu'il pensait de lui au sortir d'un match nul face à l'USMH. (1-1). De quoi donner à réfléchir à Lang qui a tout à gagner de vite serrer les vis, s'il ne veut pas se laisser déborder.
Il n'y a pas que Boutrik...
Hervé Mathoux (football, Canal +) :
«Et sur ces images quasiment inaudibles...»
Rémi Garde (football, Canal +):
«Surtout dans ces dernières minutes où les minutes s'égrènent et deviennent de plus en plus courtes !»
Pierre Salviac (rugby, France 2):
«C'est vous dire si cet homme-là sait de quoi il parle quand il parle avec ses pieds.»
Michel Hidalgo (ex-sélectionneur, consultant football):
«Hamann, c'est un joueur qui a deux poumons ! Non, pas deux, car c'est le cas de tout le monde, mais plutôt trois !»


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