Il a été ausculté hier par une équipe de spécialistes à Doha Une lueur d'espoir nous est parvenue, hier, de la clinique de rééducation sportive de Doha où Mourad Meghni a entamé un programme de soins spécifiques mis en place par une équipe de spécialistes en médecine du sport. Arrivé lundi soir à Doha, le milieu de terrain de la Lazio de Rome a été ausculté le lendemain matin, c'est-à-dire hier mardi, par le Dr Hakim Chalabi et une équipe de spécialistes en la matière. Après avoir épluché soigneusement le dossier du joueur et examiné son genou, il a été décidé de soumettre l'international algérien à un autre programme de soins et de rééducation qui s'étalera sur trois semaines. Deux bonne nouvelles nous sont donc parvenues de la capitale qatarie : Meghni ne passera pas sur le billard et il sera opérationnel, selon les examens d'hier, dans trois semaines. De quoi dissiper les inquiétudes des responsables des Verts et leur rendre l'espoir de pouvoir bénéficier des services du joueur au mois de juin. Car, si réellement Meghni sera remis sur pied dans trois semaines, il lui restera un peu plus d'un mois et demi pour préparer son retour à la compétition, une durée plus ou moins suffisante pour que le joueur puisse retrouver au moins 60% de ses moyens, même si cela va être très difficile pour lui. De 8h30 à 17h30 sans quitter la clinique Avant d'y arriver, Meghni devra d'abord se soumettre au nouveau programme de soins qui a été entamé hier dans l'après-midi. D'ailleurs dès aujourd'hui, le milieu de terrain des Verts entamera des soins combinés avec des séances de rééducation, dès 8h30 du matin et ne pourra quitter la clinique qu'à 17h30. Il passera donc toute la journée à la clinique où il est totalement pris en charge. Ce qui lui épargnera les va-et-vient jusqu'à son lieu d'hébergement et permettra en même temps à l'équipe de soigneurs qui le suit de l'avoir à sa disposition toute la journée. Un Italien parmi l'équipe de spécialistes Mourad Meghni, qui a retrouvé hier le sourire après les premiers examens effectués hier, a eu en plus l'agréable surprise de savoir que parmi l'équipe de spécialistes qui le suivent à Doha, il y a parmi eux un Italien qui le connaissait déjà. Les deux hommes ont longuement discuté ensemble, comme deux Italiens qui se retrouvent en pays étranger. Et à chaque fois que l'occasion le permet, ils papotent ensemble. B. M.
