D'une source proche du club champion d'Algérie en titre, le Chabab de Constantine, le manager général Tarek Arama ne devrait pas se laisser faire, en laissant partir sans la moindre contrepartie sa star et son jeune joueur Abdenour Belkhir. Ce dernier aurait demandé plus de deux milliards en contrepartie de sa lettre de libération, sachant que plusieurs formations sur le territoire et surtout des pays du Golfe lui font les yeux doux, et veulent le chiper à leurs concurrents. Si le joueur part, le jeune Belkhir devra se réunir avec ses dirigeants pour trouver la meilleure formule pour aller monnayer son talent ailleurs. Belkhir et Abid, les intouchables ? Selon le manager général du CSC, Tarek Arama, la formation qui voudra se rapprocher d'Abdenour Belkhir et Amine Abid devront passer par la direction, pour entamer les pourparlers. Le manager général, nous dit-on, en fait une affaire personnelle et ne veut en aucun cas voir ses poulains perturbés par les signes des sirènes. Pour rappel, le virevoltant ailier Belkhir a été l'auteur de plusieurs passes décisives cette saison qui ont valu à son club plusieurs buts. Idem pour le goleador du club Amine Abid qui a inscrit plusieurs buts. Ce qui est certain, c'est que ces deux joueurs sont devenus intouchables, pour ne pas dire les chouchous du manager général, de la direction et des supporters. Arama veut les protéger Sachant que les deux joueurs Belkhir et Abid seront la cible de plusieurs formations algériennes et étrangères, Arama a placé la barre très haut, que ce soit pour l'ex-Harrachi ou encore l'enfant de Cirta, allant jusqu'à évoquer la somme de plus de deux milliards pour chaque joueur, en contrepartie de leur libération. Vu sous un autre angle, le manager du club ne veut pas déroger à la règle. Arama : «Belkhir, tu es notre chouchou, tu ne partiras pas sans une contrepartie conséquente» Pour étayer tout cela, le manager général du club Tarek Arama dira à propos de son joueur Belkhir : «Belkhir, tu es le chouchou du club, je ne peux pas te céder aussi facilement que tu le penses, et l'équipe qui veut t'avoir n'a qu'à se rapprocher de la direction du CSC pour négocier. Sinon je ne te céderai qu'à l'équipe qui aura mis le paquet.»
