Une victoire symbolique mais importante face à l'ASMO Après avoir porté le costume du sauveur maison en acceptant le défi de sauver le WAT de la relégation après un début de saison catastrophique lors du précédent exercice, l'entraîneur Abdelkader Amrani a changé de statut durant cette période de préparation d'avant-saison, vu ses ambitions de bâtir une bonne équipe capable de faire honneur au club. Ce qui passe forcement par un bon début de saison. Une victoire symbolique mais importante face à l'ASMO Avant même de parler du championnat, l'entraîneur Amrani, qui a certes affirmé ne pas avoir donné beaucoup d'importance aux résultats enregistrés au cours des matches amicaux dispiutés durant le stage bloqué à Ain Draham, sait pourtant qu'une victoire demain pour le dernier match amical face à l'ASMO est presque obligatoire. Ceci pour donner de la confiance aux joueurs, tout en rassurant davantage le public tlemcénien qui ne semble pas vraiment emballé par les récentes performances des équipiers de Kimouche. L'ASK, un rendez-vous à ne pas rater Si les Widadis auront un dernier joker à saisir en amical face à l'ASMO, ils n'auront plus le droit à l'erreur dès l'entame du championnat et la réception de l'ASK pour le premier match de la saison. Un rendez-vous à ne rater sous aucun prétexte vu que le WAT devra faire le plein de points devant le public tlemcénien, face à un concurrent presque annoncé pour la lutte pour le maintien. Réduire la pression sur le groupe Même si l'entraîneur Amrani ainsi que les cadres de l'équipe tels que Boudjakdji ou Belgheri ne cessent de rappeler que le nouveau groupe est assez jeune et qu'il faut éviter de lui mettre trop de pression, le public tlemcénien qui va, à coup sûr, soutenir à fond les Bleu et Blanc au coup d'envoi de la partie face à l'ASK, risque de changer d'attitude en cas d'une contre-performance, ce qui mettrait déjà Amrani dans une situation embarrassante. Prouver qu'il est l'homme de la situation S'il a fait de son mieux pour sauver le WAT l'an dernier d'une descente en D2, Abdelkader Amrani sait que la situation est totalement différente cette saison. En effet, il ne pourra en aucun cas revendiquer le manque de solutions dans l'effectif, vu qu'il était derrière le recrutement cette saison en assumant ses choix. Viser entre 24 et 25 points durant la phase aller Le coach tlemcénien, qui a un riche vécu dans ce milieu du football, sait qu'il faut remporter le maximum de points durant la phase aller, vu que ce sera plus difficile de le faire en seconde partie de saison. C'est-à-dire quand chaque club aura des intérêts à défendre, sans oublier le jeu de coulisses, d'où la nécessité de décrocher 24 à 25 points au minimum d'ici la trêve hivernale. Finir la saison à une place honorable En plus de viser la barre des 25 points à la fin de la phase aller qui sera synonyme d'une place acquise dans la première moitié du tableau, l'entraîneur Abdelkader Amrani, qui ne devra pas espérer finir la saison sur le podium vu que le club est en période de transition, souhaite néanmoins terminer le championnat à une place honorable, ce qui lui permettra de poursuivre son projet à la tête de l'équipe. La direction lui fait entièrement confiance C'est une vérité dans la relation entre la direction tlemcénienne et l'entraîneur Abdelkader Amrani au sujet duquel le président Abdelkarim Yahla ne rate aucune occasion pour affirmer le probant travail du coach tlemcénien. Ce qui soude davantage la relation entre les deux parties, ce qui n'est pas vraiment le même cas dans les autres clubs où l'entraîneur reste toujours sur un siège éjectable après la moindre mauvaise passe.
