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Le patronat, sans influence sur les partis
Publié dans Le Maghreb le 28 - 11 - 2010

Le patronat algérien n'est pas connu par la tradition d'exercer des pressions sur les partis politiques, du moins en ce qui concerne les intervenions "visibles". Cela n'est pas à l'honneur des partis de ne pas être sollicités par les patrons. Cela signifie que ces partis n'exercent pas réellement le pouvoir, ni peuvent avoir une influence sur les orientations et décisions économiques ni champ économique où se prennent les décisions. Ni les partis, ni le patronat n'ont participé activement aux accords d'association avec des pays étrangers. Cela est ainsi, car il n'y a pas de champ économique, ni de camp politique structuré autour des modèles politico-économiques. Ya-t-il une droite et une gauche dans le champ politico-économique de l'Algérie ? On n'en parle ainsi en ces termes ni dans le champ politique, ni dans le champ économique. On ne sait pas du tout ce que c'est d'autant qu'on ne parle plus de promouvoir le socialisme ni de rejeter le capitalisme. On parle bien de la mondialisation, et à part que celle-là nous a été imposée, comme le faisait valoir le Président, on répète quand même souvent que notre économie doit se mettre à niveau pour s'intégrer avec profit dans la mondialisation. Le profit pour qui ?
On parle beaucoup dans les pays riches et industriels de la structuration de leur champ politique en centre gauche et droite, avec tout ce qui en découle sur les visions économiques et sociales, malgré que figurent dans ce champ des courants dit extrémistes sur le plan identitaire, reposant fatalement sur le racisme et la haine de l'autre. Cette sédimentation n'est pas adoptée partout dans le monde, y compris dans les pays arabes. Serait-il possible d'aller vers le libéralisme économique en ignorant le libéralisme politique?
Qui se revendique encore du socialisme tant sur le plan économique que politique et qui soit convaincu que ce courant reviendra pour rebipolariser le monde tel que celui-ci fonctionnait durant la guerre froide ? Etait-ce des convictions ou une adhésion forcée à un courant porté sur le plan des slogans pour ses références au social et à la justice sociale ? Bien que la Constitution de l'époque contenait une disposition qui interdisait sa révision sur les principes d'irréversibilité de la révolution socialiste, il n'en avait pourtant pas été le cas.
Quand bien même que le système économico-financier en vigueur, à savoir le néo libéralisme, est responsable de la crise financière internationale et de la récession économique qui s'en est suivie, il est soutenu qu'il n'y a pas d'alternative à un système qui a coulé l'économie mondiale.


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