La stabilité du pays dérange plus d'une " caste " et perturbe toutes les ambitions bâties sur la démagogie et le dénigrement des institutions de l'Etat. Deux pistes d'aventure empreintes par certains qui escomptent tirer profit de la phase actuelle que traverse le pays. L'activisme remarqué ces derniers temps fondé sur des règles d'un jeu politicien au travers d'agitation mise en branle autour de la maladie du président Abdelaziz Bouteflika, est bien localisé par l'opinion publique. Les propos jeudi à la tribune de l'APN au nom du Premier ministre, par Mahmoud Khodri, ministre chargé des Relations avec le Parlement, en rapport avec la maladie du chef de l'Etat sont la preuve qu'il existe vraiment une campagne, menée contre l'Algérie de l'intérieur et de l'extérieur. Khodri en donne la preuve en saluant la position de certains partis politiques qui ont réagi positivement à cette campagne contrairement à certaines " sirènes " et autres semeurs de rumeurs qui prêchent le désespoir et qui " œuvrent à perturber l'Algérie dans sa stabilité et son unité nationale ". A cet égard, n'est-il pas temps pour les pouvoirs publics de lever le voile sur cette campagne de dénigrement orchestrée en connivence entre comploteurs et politiciens véreux qui cherchent un seul but : provoquer une marche arrière du pays dans un dessein totalement anarchique ? Une caste manquant de bon sens et d'esprit de responsabilité. Et qui n'a foi qu'en ses ambitions personnelles. Mais qui n'arrive toujours pas à comprendre la nature et la portée de l'unité nationale. La défense et la consolidation de cette unité, la Constitution en trace, dans son cadre, les forces de l'Etat de droit et la moralisation de la vie de la société, logiquement cela recommande une rigueur de la loi en pareille dérive qui porte atteinte au pays et à la Nation et qui cherche à piéger l'osmose qui existe entre le peuple et le programme politique en vigueur. Les forces du " mouvement "des réformes et de la démocratie doivent se " mouiller " pour faire barrage à ces gens qui osent pêcher dans les " eaux troubles " comme affirmé par M. Khodri, ministre chargé des Relations avec le Parlement.