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TNT : Kiev vote pour Israël : La sinistre alliance de l'Ukraine avec le sionisme
Publié dans Le Maghreb le 13 - 11 - 2014

L'agenda de l'Ukraine caché pour le soutien au sionisme, aussi discret que public n'est plus un secret pour personne à travers la convergence de vues sur les événements régionaux et internationaux sur lesquels les deux pays se concertent et accordent leur violon dans le sens de l'axe du mal. Tel-Aviv et Kiev sont deux alliés inconditionnels qui travaillent ensemble contre la politique de la Russie dans la région, au Moyen-Orient et dans les autres régions du monde.
L'Ukraine secouée par une très grave instabilité et par des manifestations violentes depuis que le président Viktor Yanoukovitch s'est abstenu de signer un accord d'association avec l'Union européenne le 29 novembre 2013, privilégiant des liens plus étroits avec Moscou. Et à juste titre, Tel-Aviv s'est incrusté dans cette crise en s'ingérant dans les affaires intérieures de l'Ukraine et d'alimenter la crise dans le pays.
Depuis le début de cette guerre civile au mois de novembre 2013, notamment dans les régions du Sud-Est de l'Ukraine où les tueurs n'ont pas hésité à utiliser plusieurs bataillons contre le peuple ukrainien, notamment les bataillons Azov, Aidar, Donbass, Dniepr-1, Denipr 2, financés par l'oligarque juif ukrainien, Iho Kolomoïsky. Des crimes de guerre ont été commis (torture, enlèvements, massacres, bombardements de civils au phosphore blanc...). Nommé gouverneur de la région de Dnepropetrovsk après le coup d'Etat de Maïdane, le mafieux juif ukrainien Ihor Kolomoïsky finance le parti néo-nazi "Pravy Sektor".
Un autre magnat israélien a fourni un soutien à l'opposition en Ukraine.
Indices, preuves et rapports sont unanimes pour conclure que le Mossad israélien est l'un des instigateurs de cette "révolution" en Ukraine. Il a été prouvé qu'un militaire israélien commandait un groupe de 20 Ukrainiens ultra-violents. Quatre autres israéliens, qui avaient déjà servi dans l'armée sioniste, Tshal, ont aussi pris part à l'instigation et à l'encadrement des rassemblements de l'opposition à Kiev. Il est évident que le Mossad a eu toutes les facilités pour s'infiltrer au sein de la communauté juive vivant en Ukraine pour la mobiliser en faveur de l'opposition. Une communauté qui a été derrière tous les chaos de ce pays.
Autre preuve de l'axe Tel-Aviv-Kiev sous le contrôle avéré de Washington pour mettre en accusation Moscou dans cette crise de l'Ukraine, la tragédie du vol MH17, survenue au mois de juillet dernier. Pas besoin de menu cette fois, le but comme rapporté par diverses réponses était "clair et multiforme": diversifier le pivot vers l'Asie, en établissant une tête de pont en Ukraine afin de saboter les échanges commerciaux entre l'Europe et la Russie; étendre l'OTAN; briser le partenariat stratégique entre la Russie et la Chine; empêcher par tous les moyens l'intégration commerciale et économique de l'Eurasie; du partenariat germano-russe aux nouvelles routes de la Soie convergent entre la Chine à la région de l Ruhr; et maintenir de fait l'Europe sous l'hégémonie des Etats-Unis.
Au-delà du fait avéré qu'un chasseur ukrainien SU-25 se trouvait dans le sillage du vol MH17, un tas de questions demeurent sans réponse, certaines liées à des procédures douteuses à l'aéroport d'Amsterdam-Schipol en matière de sécurité, qui est assurée par ICTS, une société israélienne basée aux Pays-Bas et fondée par d'anciens officiers du Shin Bet", une agence de renseignement d'Israël. A cela s'ajoute la présence inexpliquée de conseillers "étrangers" à la tour de contrôle de Kiev.
Sur un autre plan régional au Moyen-Orient, Israël maintient l'ambiguïté sur ses armes nucléaires, tout en dénonçant le programme nucléaire iranien. Le 29 septembre dernier, le Premier ministre israélien, Benjamin Nétanyahou, s'est rendu à Washington, où il a joué "les Cassandre" s'agissant du programme nucléaire de l'Iran. Heureuse coïncidence, le Shin Beth, le service de renseignements intérieur d'Israël, a annoncé, le même jour, l'arrestation d'un "espion" iranien, Ali Mansouri, qui a été "enrôlé par l'unité opérationnelle spéciale des Gardiens de la révolution, chargée de nombreux attentats terroristes dans le monde".
Originaire d'Iran, devenu citoyen belge en 2006, l'intéressé, qui a été arrêté à l'aéroport de Tel-Aviv, voyageait sous une fausse identité. Le décryptage de ce coup de filet est aisé: "le danger iranien n'a pas disparu, l'Etat juif demeure sa principale cible potentielle, et le début de détente auquel on assiste entre Washington et Téhéran, est une dangereuse illusion..."
Dans le même cadre, lors de la récente Assemblée générale de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) à Vienne, une résolution proposée par les pays arabes visant l'arsenal nucléaire d'Israël a été rejetée. Le texte présenté par les 18 pays arabes membres de l'AIEA a été rejeté par 58 votes contre 45 pour et 27 abstentions.
La résolution, non contraignante et déjà présentée à plusieurs reprises par le passé, exprimait "des inquiétudes concernant les capacités nucléaires israéliennes et appelle Israël à adhérer au Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires (TNP) et à placer toutes ses installations nucléaires "sous le régime de supervision de l'AIEA. Israêl, considéré comme la seule puissance nucléaire, est le seul pays au Moyen-Orient à n'être pas signataire du TNP.
Les pays arabes, soutenus par l'Iran et les pays non-alignés, déplorent qu'Israël, n'étant pas membre du TNP, ne doit pas rendre de comptes sur ses activités atomiques alors que l'Iran, qui a ratifié le Traité, est visé par une enquête de l'AIEA sur son programme nucléaire.
En réalité l'Etat sioniste produit de l'uranium enrichi et posséde les capacités nucléaires les plus sophistiquées, mais refuse de signer le TNP. Et si ce nouveau seuil vient d'être franchi, le contrat Tel-Aviv-Kiev sous la dictée de l'Empire du mal, il s'inscrit dans la logique d'une politique tout entière déterminée par la volonté jamais démentie d'assurer la survie de l'Ukraine, bastion des intérêts occidentaux et américains dans cette région, et danger permanent planant au-dessus de Moscou.
L'Ukraine plus que jamais dans le giron du sionisme, s'est lancée dans une provocation ouverte envers le Monde arabe. Ce pays se distingue, sans hésitation, pour servir les intérêts impérialistes dans cette région. Un engagement qui prend l'allure d'un défi sans précédent délibérément lancé aux peuples arabes. Et, au-delà à la communauté internationale. Autrement dit, les israéliens ne se font pas faute de proclamer que l'Ukraine s'affirme comme leur soldat le plus sûr.


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