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De quelle crise parle-t-on ?
Publié dans Le Maghreb le 08 - 02 - 2015

Agitateurs, manœuvriers, opposants au programme politique du président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, mettent longtemps pour s'effacer et mourir. Depuis des mois, la propagande tourne autour d'une véritable opération d'intoxication des citoyens. A ce propos on multiplie les initiatives, les plans de sortie de crise, les alliances fictives où chacun fait valoir sa propre ruse etc. De quelle crise s'agit-il ? se demande-t-on. Parler de démarrage économique, de la démocratisation dans le pays sous la direction du président Abdelaziz Bouteflika, cela dépasse toutes les limites de l'audace quant on sait que, de 1999 à 2015, le pays ait rattrapé d'immenses retards, enregistré beaucoup d'acquis sur le plan économique et social et qui ont été à la base de l'amélioration progressive de la qualité et des conditions de vie des populations sans qu'on oublie de rappeler la place qu'occupe l'Algérie sur la scène internationale. Cette vérité d'aucuns osent la cacher au peuple en faisant dans des critiques abjectes. Ils embouchent la trompette de la "transition". Mais ils feignent d'oublier que le président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, dans sa légitimité, s'appuie toujours sur la confiance que lui voue le peuple. Et à l'autre pôle de la société algérienne s'épanouit une large citoyenneté, sortie en droite ligne des entrailles de la cohésion nationale. Mais cette symbiose entre le Président et le peuple est remise en question de façon de plus en plus vulgaire par cette opposition qui n'a entre les mains aucune alternative crédible. L'essentiel pour elle c'est de dresser les obstacles afin que le pays ne se tranquillise point dans tous les domaines. La "promotion" des magouilles, à plus forte raison de ceux qui s'égosillent pour traîner le pays vers l'inconnu, n'est pas ignorée par le peuple qui sait où se trouvent ses intérêts. Le temps des beaux discours trompeurs est révolu. Le peuple a su où placer sa confiance. Dans cet esprit, nul ne doit faire l'impasse sur la détermination du président Abdelaziz Bouteflika à exiger la participation des citoyens de plus en plus à la définition des objectifs nationaux, aux choix des moyens, contribuent effectivement à l'essor économique et social du pays. En jouant un rôle actif, les citoyens auront de fait directement contribué au développement local et national. Mais pour que les citoyens contribuent donc démocratiquement à ce développement, il leur faut avoir le droit à l'information (droit d'être informé et de
s'informer) sur ces magouilles politiciennes. Le gouvernement, les autorités locales et la société civile engagée doivent rendre compte au peuple des défis actuels et des obstacles dressés par certains. Le rôle de ces derniers et de la citoyenneté apparaissent donc ici comme l'élément majeur, la condition nécessaire à tout épanouissement réel de la société algérienne.
Celle-ci, librement et en toute conviction, qui connaît bien où elle va, balaiera les nostalgiques, charognards politiciens habitués à la concussion entretenue par les représentants, non du peuple, mais d'un groupe égoïste qui est placé là pour garantir ses privilèges et applaudir les "effets" démagogiques de leurs maîtres.
En fait, ceux qui parlent de crise ne sont que les aspects visibles d'une adversité plus profonde entre une opposition porteuse de maux et de phénomènes étrangers à la société algérienne, d'une part, et d'un programme aux perspectives nouvelles de démocratie, de justice sociale et politique, de développement harmonieux dans tous les secteurs.
Les événements de Ghardaïa et en ce moment à In-Salah, au cours desquels l'opposition a sorti une de ses dernières cartes (il lui en reste encore) étaient prévisibles, parce que le peuple algérien a redécouvert le chemin de son nationalisme, de la justice, de la démocratie, du développement et de l'intégrité.


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