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Protection des barrages : Le traitement des eaux nécessite d'importants financements
Publié dans Le Maghreb le 30 - 08 - 2016


En attendant la réalisation d'une dizaine d'autres infrastructures d'ici 2019, l'Algérie recèle, à ce jour, 94 barrages répartis sur les 48 wilayas ; l'ensemble de ces barrages ont une capacité de stockage de 7 milliards de m3 d'eau. Acet effet, l'Algérie se trouve à l'abri du stress hydrique pour une durée de deux années sans pluies estiment les responsables du ministère des Ressources en eau et de l'Environnement (MREE), Néanmoins, l'eau emmagasinée dans ces barrages nécessite un processus de traitement avant qu'elle soit raccordée aux réseaux d'alimentation en eau potable (AEP) ou bien au système d'irrigation agricole. Une telle opération a coûté à l'Etat 11 milliards de dinars, afin de mettre en place un système de protection du barrage hydraulique de Béni Haroune, le plus important du pays, et le traitement de l'eau en amont, une telle somme multipli ée par plusieurs dizaines de barrages mis en service à travers les 48 wilayas de pays. Par ailleurs, la protection des barrages contre certains phénomènes naturels nécessite d'importants financements. Il s'agit, selon un document du département de Abdelkader Ouali de lutter contre l'envasement du barrage issu en partie des eaux usées brutes, contre l'augmentation du taux d'oxygène qui évitera ainsi la fermentation des eaux du lac lit-on dans le document du MREE. Ce système de protection des barrages permet également de lutter contre l'apport de matière azotée qui peut compromettre la vie piscicole du lac; la lutte contre l'apport de substances phosphorées à l'origine de l'eutrophisation du lac entraînant une profusion d'algues et l'éradication des nuisances et des risques épidémiologiques actuels ajoute la même source. Rien que pour le barrage de Béni Haroune, le schéma directeur d'assainissement a abouti à la mise en œuvre d'un programme qui consiste en la réalisation de 5 stations d'épuration et de 45 km de collecteurs qui acheminent les effluents vers les 5 stations. La capacité totale qui sera install ée une fois que le système sera réalisé dans sa globalité soit à la fin de l'année 2017, avoisinera les 300 000 équivalents habitants contre un débit total journalier des eaux à épurer équivalent à 40 200 m3/j. La mis en place du même système pour la protection des barrages et le traitement de leurs eaux en amont de l'infrastructure coutera chère à l'Etat, a expliqué une source du ministre des Ressources en eau. Et de telles dépenses sont obligatoires, car, la durée de vie d'un barrage est tributaire de la mis en place d'un système pour sa protection a ajouté la même source, expliquant qu'on ne peut pas "lésiner" sur les moyens pour ne pas fragiliser une infrastructure qui a coûté des centaines de milliards de dinars à l'Etat.

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