Intervenant devant une assistance composée essentiellement de chefs d'entreprise et d'organisme public (CACI, Algex…), le Pr Abelhamid Temmar a précisé que le secteur de l'agroalimentaire revêt une importance capitale pour l'avenir et la sécurité alimentaire du pays. Intervenant devant une assistance composée essentiellement de chefs d'entreprise et d'organisme public (CACI, Algex…), le Pr Abelhamid Temmar a précisé que le secteur de l'agroalimentaire revêt une importance capitale pour l'avenir et la sécurité alimentaire du pays. «Nous attendons de cette rencontre la mise en œuvre immédiate d'une stratégie industrielle, car les 400 ou 500 pages du rapport et du plan d'action se résument, en fait, en cinq politiques. Il s'agit de l'appui technologique pour développer les activités et l'impérieuse nécessité de la mise à niveau des entreprises sachant que les dépenses de l'Etat sont fertiles et doivent aboutir à la croissance économique» a notamment affirmé, hier, le ministre de l'Industrie et de la Promotion des investissements, à l'ouverture des travaux des premières Assises nationales des industries agroalimentaires. Intervenant devant une assistance composée essentiellement de chefs d'entreprises et d'organismes publics (CACI, Algex…), le Pr Abelhamid Temmar a précisé que ce secteur revêt une importance capitale pour l'avenir et la sécurité alimentaire du pays dans le contexte difficile de la mondialisation et de la crise économique et financière mondiale qui a boosté les produits des matières premières sur le marché international. Qualifiant le secteur agroalimentaire de stratégique et de pivot de l'économie nationale, Temmar a exhorté les hommes d'affaires et les opérateurs économiques algériens, ainsi que les chambres de commerce et les associations professionnelles, à mutualiser leurs efforts pour créer les conditions de la conquête du marché et de promouvoir le marketing. «Un atelier doit expliquer le cadre institutionnel et la création d'un centre technique industriel s'impose afin d'apporter un appui aux entreprises en tenant compte des impératifs du marché, de l'innovation et de la recherche et développement» a-t-il indiqué. Etant très vaste et varié, le secteur de l'agroalimentaire requiert la coopération et la collaboration de tous les acteurs de l'agriculture et de l'industrie, ainsi que les chercheurs et les universitaires qui peuvent apporter leur expertise et leur savoir-faire. Le message que véhicule le ministre consiste surtout à inculquer aux chefs d'entreprises l'adoption d'un comportement qui utilise avec efficience l'aide et l'assistance de l'Etat, notamment pour ce qui concerne la mise à niveau des entreprises par le biais du programme spécifique, l'innovation technologique et la créativité, ainsi que la recherche et développement «qui sont les principaux leviers de compétitivité des entreprises qui peuvent avoir des gains et de la valeur ajoutée» a-t-il poursuivi. La principale réflexion de Temmar porte essentiellement sur l'interaction entre les pouvoirs publics et les acteurs économiques dans la stratégie de développement de l'industrie agroalimentaire en précisant que «les enjeux sont d'ordre purement industriel et l'Etat doit faciliter les interactions entre les différents acteurs en axant les efforts sur la régulation publique avec la compétitivité des entreprises. Mais, les entreprises privées sont astreintes de développer intrinsèquement leurs performances et leur compétitivité». Il montre également que les enjeux sont d'ordre alimentaire, en ce sens que «la récente flambée des prix a été le coup de semonce, et les problèmes pour les pays dépendants sur le plan alimentaire, ne font que commencer». «L'objectif de ces assises visent essentiellement l'amélioration sensible de l'offre nationale de produits agricoles transformés et de favoriser la promotion des industries agroalimentaires» a-t-il dit. Mais, selon le ministre, "l'Algérie doit impérativement se mettre au diapason des exigences du marché international et s'insérer dans un environnement mondial de plus en plus difficile et complexe, afin, a-t-il dit, d'améliorer la compétitivité industrielle de nos entreprises et de créer des richesses et des emplois par l'émergence d'une industrie innovante dotée des récentes technologies et pourvoyeuse de valeur ajoutée", sachant que la nouvelle donne de l'intégration économique régionale (OMC, accord d'association avec l'Union européenne, zone arabe de libre-échange…) oblige les entreprises et les PME algériennes à devenir compétitives et concurrentielles. A. A. «Nous attendons de cette rencontre la mise en œuvre immédiate d'une stratégie industrielle, car les 400 ou 500 pages du rapport et du plan d'action se résument, en fait, en cinq politiques. Il s'agit de l'appui technologique pour développer les activités et l'impérieuse nécessité de la mise à niveau des entreprises sachant que les dépenses de l'Etat sont fertiles et doivent aboutir à la croissance économique» a notamment affirmé, hier, le ministre de l'Industrie et de la Promotion des investissements, à l'ouverture des travaux des premières Assises nationales des industries agroalimentaires. Intervenant devant une assistance composée essentiellement de chefs d'entreprises et d'organismes publics (CACI, Algex…), le Pr Abelhamid Temmar a précisé que ce secteur revêt une importance capitale pour l'avenir et la sécurité alimentaire du pays dans le contexte difficile de la mondialisation et de la crise économique et financière mondiale qui a boosté les produits des matières premières sur le marché international. Qualifiant le secteur agroalimentaire de stratégique et de pivot de l'économie nationale, Temmar a exhorté les hommes d'affaires et les opérateurs économiques algériens, ainsi que les chambres de commerce et les associations professionnelles, à mutualiser leurs efforts pour créer les conditions de la conquête du marché et de promouvoir le marketing. «Un atelier doit expliquer le cadre institutionnel et la création d'un centre technique industriel s'impose afin d'apporter un appui aux entreprises en tenant compte des impératifs du marché, de l'innovation et de la recherche et développement» a-t-il indiqué. Etant très vaste et varié, le secteur de l'agroalimentaire requiert la coopération et la collaboration de tous les acteurs de l'agriculture et de l'industrie, ainsi que les chercheurs et les universitaires qui peuvent apporter leur expertise et leur savoir-faire. Le message que véhicule le ministre consiste surtout à inculquer aux chefs d'entreprises l'adoption d'un comportement qui utilise avec efficience l'aide et l'assistance de l'Etat, notamment pour ce qui concerne la mise à niveau des entreprises par le biais du programme spécifique, l'innovation technologique et la créativité, ainsi que la recherche et développement «qui sont les principaux leviers de compétitivité des entreprises qui peuvent avoir des gains et de la valeur ajoutée» a-t-il poursuivi. La principale réflexion de Temmar porte essentiellement sur l'interaction entre les pouvoirs publics et les acteurs économiques dans la stratégie de développement de l'industrie agroalimentaire en précisant que «les enjeux sont d'ordre purement industriel et l'Etat doit faciliter les interactions entre les différents acteurs en axant les efforts sur la régulation publique avec la compétitivité des entreprises. Mais, les entreprises privées sont astreintes de développer intrinsèquement leurs performances et leur compétitivité». Il montre également que les enjeux sont d'ordre alimentaire, en ce sens que «la récente flambée des prix a été le coup de semonce, et les problèmes pour les pays dépendants sur le plan alimentaire, ne font que commencer». «L'objectif de ces assises visent essentiellement l'amélioration sensible de l'offre nationale de produits agricoles transformés et de favoriser la promotion des industries agroalimentaires» a-t-il dit. Mais, selon le ministre, "l'Algérie doit impérativement se mettre au diapason des exigences du marché international et s'insérer dans un environnement mondial de plus en plus difficile et complexe, afin, a-t-il dit, d'améliorer la compétitivité industrielle de nos entreprises et de créer des richesses et des emplois par l'émergence d'une industrie innovante dotée des récentes technologies et pourvoyeuse de valeur ajoutée", sachant que la nouvelle donne de l'intégration économique régionale (OMC, accord d'association avec l'Union européenne, zone arabe de libre-échange…) oblige les entreprises et les PME algériennes à devenir compétitives et concurrentielles. A. A.