Le tribunal criminel de Tizi-Ouzou a condamné, avant-hier, à trois années de réclusion criminelle le dénommé A. B. Ce dernier est accusé de vol qualifié avec usage de violence et menaces. La victime est A.A.K. Les faits de ce dossier, traité au cours de la session criminelle, remontent à la nuit du 2 au 3 juin 2009. Il était environ 1h du matin quand la victime, une veuve, résidant au village Ighil Boghni, dans la wilaya de Tizi-Ouzou entend un bruit suspect dans la cour de sa maison. Sortie pour déterminer l'origine du bruit elle butera sur l'accusé qui se rue sur elle et lui asséne plusieurs coups de poing. L'agresseur exige d'elle qu'elle lui remette tout l'argent en sa possession. Sous les coups reçus et l'émotion, la victime s'est évanouie, quand elle reprendra connaissance quelques secondes plus tard elle continuera à faire la morte. Elle entendra A. B. affairé à fouiller tous les coins et recoins de la demeure, dès que ce dernier se rendra compte que sa victime était toujours en vie, il la menace de la tuer si jamais elle déposait plainte contre lui ou si elle parlait de cette agression à ses parents. L'accusé ne s'arrêtera pas là puisqu'il tentera même de violer sa malheureuse victime. Il sera retenu contre lui "violation de domicile, coups et blessures volontaires ainsi que tentative de viol". La victime s'est présentée aux services de sécurité munie d'un certificat médical pour incapacité de travail de 15 jours attestant ses dires. L'agresseur a été arrêté et présenté devant le parquet. Au cours de son interrogatoire, l'accusé a reconnu l'ensemble des griefs retenus contre lui, mais au cours du procès il niera tout en bloc. Le procureur de la République avait requis contre lui la peine de dix ans de réclusion criminelle. L. B. Le tribunal criminel de Tizi-Ouzou a condamné, avant-hier, à trois années de réclusion criminelle le dénommé A. B. Ce dernier est accusé de vol qualifié avec usage de violence et menaces. La victime est A.A.K. Les faits de ce dossier, traité au cours de la session criminelle, remontent à la nuit du 2 au 3 juin 2009. Il était environ 1h du matin quand la victime, une veuve, résidant au village Ighil Boghni, dans la wilaya de Tizi-Ouzou entend un bruit suspect dans la cour de sa maison. Sortie pour déterminer l'origine du bruit elle butera sur l'accusé qui se rue sur elle et lui asséne plusieurs coups de poing. L'agresseur exige d'elle qu'elle lui remette tout l'argent en sa possession. Sous les coups reçus et l'émotion, la victime s'est évanouie, quand elle reprendra connaissance quelques secondes plus tard elle continuera à faire la morte. Elle entendra A. B. affairé à fouiller tous les coins et recoins de la demeure, dès que ce dernier se rendra compte que sa victime était toujours en vie, il la menace de la tuer si jamais elle déposait plainte contre lui ou si elle parlait de cette agression à ses parents. L'accusé ne s'arrêtera pas là puisqu'il tentera même de violer sa malheureuse victime. Il sera retenu contre lui "violation de domicile, coups et blessures volontaires ainsi que tentative de viol". La victime s'est présentée aux services de sécurité munie d'un certificat médical pour incapacité de travail de 15 jours attestant ses dires. L'agresseur a été arrêté et présenté devant le parquet. Au cours de son interrogatoire, l'accusé a reconnu l'ensemble des griefs retenus contre lui, mais au cours du procès il niera tout en bloc. Le procureur de la République avait requis contre lui la peine de dix ans de réclusion criminelle. L. B.
