Les grandes écoles françaises reconnaissent les compétences algériennes

40 cadres gratifiés lors de la sortie de la 4e promotion MBA Exécutif de l'ESAA

Pas moins de 40 cadres d'entreprises nationales (publiques et privées) ont été honorés samedi soir, lors de la cérémonie de remise de diplômes de MBA Exécutif, organisée à l'école supérieure algérienne des affaires (ESAA) de Mohammedia, sous le haut patronage des ministres de commerce et de la PME et artisanat. Rehaussée par la présence de Brahim Bendjaber, président de la chambre algérienne de commerce et d'industrie (CACI) et président du conseil d'administration de l'ESAA, Fayçal Abbas, secrétaire général du ministère de l'énergie et des mines et Mme Anne Stefanini, directrice de l'enseignement de la chambre de commerce et d'industrie de Paris (ECCIP), cette cérémonie a permis en outre la sortie d'une promotion MB Exécutif Sonatrach au profit de 10 cadres du groupe pétrolier.
Bendjaber n'a pas manqué de souligner l'importance de l'événement en termes de formation des cadres et de qualité de l'enseignement dispensé à l'ESAA, depuis sa création le 13 juillet 2004, suite à un accord intergouvernemental entre l'Algérie et la France. Mme Joëlle Le Vourc'h qui vient de succéder à Bruno Ponson directeur de l'ESAA (2005-2009), a mis l'accent, quant à elle, sur la reconnaissance de l'ESAA par les grandes écoles françaises et espagnoles (HEC Paris, EUROMED Marseille et ESCP Madrid) qui ont accueilli les lauréats algériens durant leur processus de formation. L'ESAA constitue, dit-elle, une grande école de formation des cadres de gestion et d'entreprenariat.
«C'est une école d'excellence au niveau de l'Afrique » a-t-elle ajouté, tout en indiquant que les étudiants honorés peuvent, s'ils le désirent, poursuivre leurs études dans les grandes écoles, en France. Le programme MBAE de l'ESAA est destiné, dit-elle, aux cadres supérieurs à fort potentiel de développement et aux chefs d'entreprises. Le diplôme délivré validant le succès à cette formation est co-signé par les directeurs des quatre grandes écoles du consortium qui sont HEC Paris, ESCP Europe, EUROMED de Marseille et ESAA. Fayçal Abbas a souligné l'importance de la création de l'ESAA dans le cadre, dit-il, d'un partenariat et de la coopération algero française dans le domaine de l'enseignement supérieur. Son objectif principal est de répondre, dit-il, aux besoins de l'Algérie en termes de formation des cadres de gestion et d'entreprises. Il s'agit aussi de faire face aux défis de la mondialisation. Ce programme qui se déroule sur une durée de 18 mois est conforme aux standards internationaux. «Les méthodes de travail appliquées durant cette formation sont à la pointe de la modernité et de la réalité entreprenariale » a-t-elle ajouté à la fin de la cérémonie. Etant valorisées hors des frontières, les compétences et la matière grise algériennes ont besoin de reconnaissance et d'égard sur le plan interne sachant que les cerveaux algériens sont des sommités dans les pays développés (Europe et Etats-Unis d'Amérique) où ils ont des postes de responsabilité importants et stratégiques.
A.A
Pas moins de 40 cadres d'entreprises nationales (publiques et privées) ont été honorés samedi soir, lors de la cérémonie de remise de diplômes de MBA Exécutif, organisée à l'école supérieure algérienne des affaires (ESAA) de Mohammedia, sous le haut patronage des ministres de commerce et de la PME et artisanat. Rehaussée par la présence de Brahim Bendjaber, président de la chambre algérienne de commerce et d'industrie (CACI) et président du conseil d'administration de l'ESAA, Fayçal Abbas, secrétaire général du ministère de l'énergie et des mines et Mme Anne Stefanini, directrice de l'enseignement de la chambre de commerce et d'industrie de Paris (ECCIP), cette cérémonie a permis en outre la sortie d'une promotion MB Exécutif Sonatrach au profit de 10 cadres du groupe pétrolier.
Bendjaber n'a pas manqué de souligner l'importance de l'événement en termes de formation des cadres et de qualité de l'enseignement dispensé à l'ESAA, depuis sa création le 13 juillet 2004, suite à un accord intergouvernemental entre l'Algérie et la France. Mme Joëlle Le Vourc'h qui vient de succéder à Bruno Ponson directeur de l'ESAA (2005-2009), a mis l'accent, quant à elle, sur la reconnaissance de l'ESAA par les grandes écoles françaises et espagnoles (HEC Paris, EUROMED Marseille et ESCP Madrid) qui ont accueilli les lauréats algériens durant leur processus de formation. L'ESAA constitue, dit-elle, une grande école de formation des cadres de gestion et d'entreprenariat.
«C'est une école d'excellence au niveau de l'Afrique » a-t-elle ajouté, tout en indiquant que les étudiants honorés peuvent, s'ils le désirent, poursuivre leurs études dans les grandes écoles, en France. Le programme MBAE de l'ESAA est destiné, dit-elle, aux cadres supérieurs à fort potentiel de développement et aux chefs d'entreprises. Le diplôme délivré validant le succès à cette formation est co-signé par les directeurs des quatre grandes écoles du consortium qui sont HEC Paris, ESCP Europe, EUROMED de Marseille et ESAA. Fayçal Abbas a souligné l'importance de la création de l'ESAA dans le cadre, dit-il, d'un partenariat et de la coopération algero française dans le domaine de l'enseignement supérieur. Son objectif principal est de répondre, dit-il, aux besoins de l'Algérie en termes de formation des cadres de gestion et d'entreprises. Il s'agit aussi de faire face aux défis de la mondialisation. Ce programme qui se déroule sur une durée de 18 mois est conforme aux standards internationaux. «Les méthodes de travail appliquées durant cette formation sont à la pointe de la modernité et de la réalité entreprenariale » a-t-elle ajouté à la fin de la cérémonie. Etant valorisées hors des frontières, les compétences et la matière grise algériennes ont besoin de reconnaissance et d'égard sur le plan interne sachant que les cerveaux algériens sont des sommités dans les pays développés (Europe et Etats-Unis d'Amérique) où ils ont des postes de responsabilité importants et stratégiques.
A.A