Le samedi des Bleus a été marqué par les sifflets endurés par Ribéry, par un but d'Henry avec le Barça, tandis que Vieira, titulaire avec Manchester City, contre son ancien club, Arsenal, a été sorti avant la fin, sans convaincre. Le samedi des Bleus a été marqué par les sifflets endurés par Ribéry, par un but d'Henry avec le Barça, tandis que Vieira, titulaire avec Manchester City, contre son ancien club, Arsenal, a été sorti avant la fin, sans convaincre. ALLEMAGNE Franck Ribéry doit boire le calice jusqu'à la lie. Pendant 90 minutes, Ribéry a bénéficié d'un traitement de faveur des supporteurs locaux de Mönchengladbach qui l'ont conspué et lui ont lancé des noms d'oiseau à chaque fois qu'il touchait le ballon. Mais il a plus semblé perturbé par l'enchaînement des matches et la fatigue que par cet accueil houleux. Il saura mercredi, après réunion de la commission de discipline de l'UEFA, s'il écope d'un seul match de suspension en Ligue des champions, ou s'il sera privé de la finale si le Bayern se qualifie. ESPAGNE "Titi" titularisé et buteur ! Thierry Henry n'avait plus débuté une rencontre de Liga depuis le 24 mars contre Osasuna (victoire 2-0, 28e journée). Il avait été remplacé à la mi-temps par Pedro. L'attaquant français était associé en attaque à Zlatan Ibrahimovic et au Vénézuélien Jeffren. C'est d'ailleurs sur un centre d'Ibrahimovic qu'Henry a doublé la mise pour le Barça (2-0, 24). Henry est ensuite sorti à la 74e minute, remplacé par Bojan. Abidal. Au Real, Karim Benzema, remplaçant samedi à Saragosse (victoire 2-1), est entré à la 51e à la place de Raul (blessé). Benzema ne s'est pas créé la moindre occasion et a laissé Kaka, entré à un quart d'heure de la fin, endosser le rôle du sauveur (2-1, 82). Son équipier Lassana Diarra, également remplaçant, est resté sur le banc, les circonstances du match ayant favorisé l'entrée en jeu d'attaquants (Raul, Benzema et Kaka). ANGLETERRE Patrick Vieira a reçu un accueil fantastique de l'Emirat. Les choses ont été moins roses ensuite. Il n'a pas brillé, peinant à peser au milieu et se montrant souvent imprécis sur les rares occasions de contres de son équipe avant d'être remplacé par Adebayor en début de seconde période (53e). Du côté des Gunners, Samir Nasri n'a pas été très en vue. Abou Diaby a régné au milieu et dominé de la tête et des épaules Vieira. Une bonne frappe pour la meilleure occasion d'Arsenal en deuxième période, même s'il a faibli en fin de match. Gaël Clichy fut excellent défensivement, moins tranchant offensivement, à l'image de son équipe. Sagna fut discret. Une des images du week-end en Premier League sera celle de Patrice Evra vomissant sur le terrain. Visiblement souffrant, le Français devait être remplacé par John O'Shea peu après. Mais le joueur le plus utilisé par United cette saison, avait auparavant joué un rôle crucial pour son équipe. Défensivement, il est à créditer d'une intervention cruciale devant Pavlyuchenko en début de seconde période, alors que le score était de 0-0. Offensivement, c'est lui qui a provoqué le penalty de l'ouverture du score. France Elongation pour Yoann Gourcuff. Lui qui avait surpris en s'en prenant à la presse cette semaine pour expliquer les maux de Bordeaux, a d'abord été très actif contre l'équipe de son père Christian, à Lorient. Il a même manqué de réussite. Mais il s'est rapidement plaint d'une douleur sur une accélération. "C'est une élongation derrière la cuisse", a expliqué Laurent Blanc. ALLEMAGNE Franck Ribéry doit boire le calice jusqu'à la lie. Pendant 90 minutes, Ribéry a bénéficié d'un traitement de faveur des supporteurs locaux de Mönchengladbach qui l'ont conspué et lui ont lancé des noms d'oiseau à chaque fois qu'il touchait le ballon. Mais il a plus semblé perturbé par l'enchaînement des matches et la fatigue que par cet accueil houleux. Il saura mercredi, après réunion de la commission de discipline de l'UEFA, s'il écope d'un seul match de suspension en Ligue des champions, ou s'il sera privé de la finale si le Bayern se qualifie. ESPAGNE "Titi" titularisé et buteur ! Thierry Henry n'avait plus débuté une rencontre de Liga depuis le 24 mars contre Osasuna (victoire 2-0, 28e journée). Il avait été remplacé à la mi-temps par Pedro. L'attaquant français était associé en attaque à Zlatan Ibrahimovic et au Vénézuélien Jeffren. C'est d'ailleurs sur un centre d'Ibrahimovic qu'Henry a doublé la mise pour le Barça (2-0, 24). Henry est ensuite sorti à la 74e minute, remplacé par Bojan. Abidal. Au Real, Karim Benzema, remplaçant samedi à Saragosse (victoire 2-1), est entré à la 51e à la place de Raul (blessé). Benzema ne s'est pas créé la moindre occasion et a laissé Kaka, entré à un quart d'heure de la fin, endosser le rôle du sauveur (2-1, 82). Son équipier Lassana Diarra, également remplaçant, est resté sur le banc, les circonstances du match ayant favorisé l'entrée en jeu d'attaquants (Raul, Benzema et Kaka). ANGLETERRE Patrick Vieira a reçu un accueil fantastique de l'Emirat. Les choses ont été moins roses ensuite. Il n'a pas brillé, peinant à peser au milieu et se montrant souvent imprécis sur les rares occasions de contres de son équipe avant d'être remplacé par Adebayor en début de seconde période (53e). Du côté des Gunners, Samir Nasri n'a pas été très en vue. Abou Diaby a régné au milieu et dominé de la tête et des épaules Vieira. Une bonne frappe pour la meilleure occasion d'Arsenal en deuxième période, même s'il a faibli en fin de match. Gaël Clichy fut excellent défensivement, moins tranchant offensivement, à l'image de son équipe. Sagna fut discret. Une des images du week-end en Premier League sera celle de Patrice Evra vomissant sur le terrain. Visiblement souffrant, le Français devait être remplacé par John O'Shea peu après. Mais le joueur le plus utilisé par United cette saison, avait auparavant joué un rôle crucial pour son équipe. Défensivement, il est à créditer d'une intervention cruciale devant Pavlyuchenko en début de seconde période, alors que le score était de 0-0. Offensivement, c'est lui qui a provoqué le penalty de l'ouverture du score. France Elongation pour Yoann Gourcuff. Lui qui avait surpris en s'en prenant à la presse cette semaine pour expliquer les maux de Bordeaux, a d'abord été très actif contre l'équipe de son père Christian, à Lorient. Il a même manqué de réussite. Mais il s'est rapidement plaint d'une douleur sur une accélération. "C'est une élongation derrière la cuisse", a expliqué Laurent Blanc.
