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Les communes redoublent de vigilance
Pour éviter de nouvelles constructions illicites
Publié dans Le Midi Libre le 13 - 05 - 2010

La campagne pour l'éradication de l'habitat précaire, les constructions non achevées ou sans titres de propriété bat son plein à travers la capitale.
La campagne pour l'éradication de l'habitat précaire, les constructions non achevées ou sans titres de propriété bat son plein à travers la capitale.
Depuis l'entrée en application de la décision de l'éradication de l'habitat précaire, sous toutes ses formes, dans la capitale dans tous le pays notamment dans la capitale, les services communaux accentuent leurs efforts en matière de contrôle afin d'éviter la réapparition de nouvelles constructions anarchiques et les bidonvilles dans plusieurs quartiers, connus par leurs grands sites de bidonvilles érigés depuis de nombreuses années. Plusieurs sites ont été, jusque-là, rasés un peu partout à Alger en commençant par les bidonvilles pour arriver aux immeubles classés rouge ou très endommagés à cause des différentes catastrophes naturelles qui ont touché la capitale et le pays. Diar-Echems à El Madania ou encore Doudou Mokhtar à Hydra et les deux sites d'El-Hamiz et d'El-Harrach toujours dans la capitale, ont été parmi les premiers sites éradiqués. Aujourd'hui les autorités concernées, restent très prudentes ; police urbaine, brigades permanentes de contrôle et commissions d'inspection. Plusieurs mesures ont été prises en dépit d'une remarquable complicité entre les différentes communes et les occupants des constructions précaires et bidonvilles. Jusque-là, en effet, toutes de opérations de relogement ont été bien accueillies. Les habitants semblent bien accepter la situation et semblent être ravis d'avoir enfin quitté définitivement ces baraques insalubres, qui pendant longtemps étaient synonymes, pour eux, de misère et souffrance au quotidien. «Nous avons nous-mêmes pendant très longtemps interpellé les autorités concernées pour nous faire sortir de ces trous à rats. Nous ne pouvions raisonnablement refuser de partir et reconstruire nos vies sous des toits plus décents», nous dira un père de famille résidant auparavant à Diar-Echems. «En dépit que les sites de relogement ne soient pas tous à la hauteur de nos espérances», ajoute-t-il. Par ailleurs un autre genre de protestation voit le jour un peu partout à travers la capitale, à l'instar d'El-Harrach, il s'agit cette fois-ci des propriétaires des constructions inachevées ou illicites. Le passage des commissions de régularisation des titres de propriété fait craindre le pire aux proprétaires puisque les décisions de cette commission sont fermes et indiscutables. «Plusieurs constructions ont été jusque-là démolies dans différents quartiers de la commune d'El-Harrach pour absence de titres de propriété du terrain ou absence de permis de construction notamment sur les terres agricoles», nous dira un responsable de la commune d'El-Harrach. Il est à noter qu'une villa de trois étages a été démolie il y a quelques jours au quartier Kourifa dans la même localité, ce qui a engendré la colère des habitants qui n'arrivent pas à admette que l'on puisse arriver à ces extrémité, même si les déclarations officielles en ce sens ont été parfaitement claires. «Il faut dire que les appréhensions des "propriétaires" sont démultipliés, du fait que 90% des constructions érigées dans ce quartier sont illégales», explique un responsable proche de ce dossier. Les autorités concernées semblent pourtant être clairement décidées à appliquer le programme de l'éradication définitive de l'informel entrant dans le cadre de la réorganisation de l'urbanisme, notamment à travers la capitale, ceci par l'application et le respect des articles 16 et 17 de l'urbanisme autorisant la démolition de toute construction qui ne réponde pas aux normes en vigueur ou qui serait érigée sur un terrain ne revenant pas de droit au constructeur.
Depuis l'entrée en application de la décision de l'éradication de l'habitat précaire, sous toutes ses formes, dans la capitale dans tous le pays notamment dans la capitale, les services communaux accentuent leurs efforts en matière de contrôle afin d'éviter la réapparition de nouvelles constructions anarchiques et les bidonvilles dans plusieurs quartiers, connus par leurs grands sites de bidonvilles érigés depuis de nombreuses années. Plusieurs sites ont été, jusque-là, rasés un peu partout à Alger en commençant par les bidonvilles pour arriver aux immeubles classés rouge ou très endommagés à cause des différentes catastrophes naturelles qui ont touché la capitale et le pays. Diar-Echems à El Madania ou encore Doudou Mokhtar à Hydra et les deux sites d'El-Hamiz et d'El-Harrach toujours dans la capitale, ont été parmi les premiers sites éradiqués. Aujourd'hui les autorités concernées, restent très prudentes ; police urbaine, brigades permanentes de contrôle et commissions d'inspection. Plusieurs mesures ont été prises en dépit d'une remarquable complicité entre les différentes communes et les occupants des constructions précaires et bidonvilles. Jusque-là, en effet, toutes de opérations de relogement ont été bien accueillies. Les habitants semblent bien accepter la situation et semblent être ravis d'avoir enfin quitté définitivement ces baraques insalubres, qui pendant longtemps étaient synonymes, pour eux, de misère et souffrance au quotidien. «Nous avons nous-mêmes pendant très longtemps interpellé les autorités concernées pour nous faire sortir de ces trous à rats. Nous ne pouvions raisonnablement refuser de partir et reconstruire nos vies sous des toits plus décents», nous dira un père de famille résidant auparavant à Diar-Echems. «En dépit que les sites de relogement ne soient pas tous à la hauteur de nos espérances», ajoute-t-il. Par ailleurs un autre genre de protestation voit le jour un peu partout à travers la capitale, à l'instar d'El-Harrach, il s'agit cette fois-ci des propriétaires des constructions inachevées ou illicites. Le passage des commissions de régularisation des titres de propriété fait craindre le pire aux proprétaires puisque les décisions de cette commission sont fermes et indiscutables. «Plusieurs constructions ont été jusque-là démolies dans différents quartiers de la commune d'El-Harrach pour absence de titres de propriété du terrain ou absence de permis de construction notamment sur les terres agricoles», nous dira un responsable de la commune d'El-Harrach. Il est à noter qu'une villa de trois étages a été démolie il y a quelques jours au quartier Kourifa dans la même localité, ce qui a engendré la colère des habitants qui n'arrivent pas à admette que l'on puisse arriver à ces extrémité, même si les déclarations officielles en ce sens ont été parfaitement claires. «Il faut dire que les appréhensions des "propriétaires" sont démultipliés, du fait que 90% des constructions érigées dans ce quartier sont illégales», explique un responsable proche de ce dossier. Les autorités concernées semblent pourtant être clairement décidées à appliquer le programme de l'éradication définitive de l'informel entrant dans le cadre de la réorganisation de l'urbanisme, notamment à travers la capitale, ceci par l'application et le respect des articles 16 et 17 de l'urbanisme autorisant la démolition de toute construction qui ne réponde pas aux normes en vigueur ou qui serait érigée sur un terrain ne revenant pas de droit au constructeur.


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