Un drame a été évité de justesse, jeudi dernier, lors de la visite du ministre de la Solidarité, de la Famille et de la Communauté nationale à l'étranger, Djamel Ould Abbès, au Centre de formation du personnel pour handicapés (cnfph) de Bab El-Kantara à Constantine. K. M., un ex-employé de cet établissement, s'est aspergé d'essence et a tenté de s'immoler devant la délégation officielle. Cet ancien magasinier qui a eu maille à partir avec la justice au motif de «détournement», selon la direction, déclare avoir été innocenté, mais que sa hiérarchie «refuse toujours sa réintégration». Il soutiendra que son salaire est gelé depuis 28 mois et l'accès au centre lui est également interdit. En désespoir de cause, ce quadragénaire, père de cinq enfants, a opté pour cette solution extrême afin d'attirer l'attention du premier responsable du secteur. C'est dans une confusion totale, et une cacophonie indescriptible que l'assistance essayera de l'en dissuader. Il finira par entendre raison, suite à l'intervention du ministre, et descendra du haut de la bâtisse où il s'était refugié pour mettre à execution son dessein. Djamel Ould Abbès, qui s'enquerra de la situation de K. M. auprès du directeur du centre, et auprès du concerné, demandera à ce dernier de lui faire parvenir un recours le jour même. Il lui promettra, surtout «d'étudier son dossier de très près». N. D. Un drame a été évité de justesse, jeudi dernier, lors de la visite du ministre de la Solidarité, de la Famille et de la Communauté nationale à l'étranger, Djamel Ould Abbès, au Centre de formation du personnel pour handicapés (cnfph) de Bab El-Kantara à Constantine. K. M., un ex-employé de cet établissement, s'est aspergé d'essence et a tenté de s'immoler devant la délégation officielle. Cet ancien magasinier qui a eu maille à partir avec la justice au motif de «détournement», selon la direction, déclare avoir été innocenté, mais que sa hiérarchie «refuse toujours sa réintégration». Il soutiendra que son salaire est gelé depuis 28 mois et l'accès au centre lui est également interdit. En désespoir de cause, ce quadragénaire, père de cinq enfants, a opté pour cette solution extrême afin d'attirer l'attention du premier responsable du secteur. C'est dans une confusion totale, et une cacophonie indescriptible que l'assistance essayera de l'en dissuader. Il finira par entendre raison, suite à l'intervention du ministre, et descendra du haut de la bâtisse où il s'était refugié pour mettre à execution son dessein. Djamel Ould Abbès, qui s'enquerra de la situation de K. M. auprès du directeur du centre, et auprès du concerné, demandera à ce dernier de lui faire parvenir un recours le jour même. Il lui promettra, surtout «d'étudier son dossier de très près». N. D.