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Entre rush et embouteillage
Jijel, saison estivale
Publié dans Le Midi Libre le 20 - 07 - 2010

Le flux de vacanciers a engendré de longues files de véhicules quotidiennement que ce soit à l'intérieur de la ville de Jijel ou dans les grands centres urbains, notamment en milieu de matinée, à midi et en fin de journée. Des embouteillages qui ont quelque peu irrité et bousculé le train de vie de la population locale, plutôt habituée à un rythme plus calme le reste de l'année.
Le flux de vacanciers a engendré de longues files de véhicules quotidiennement que ce soit à l'intérieur de la ville de Jijel ou dans les grands centres urbains, notamment en milieu de matinée, à midi et en fin de journée. Des embouteillages qui ont quelque peu irrité et bousculé le train de vie de la population locale, plutôt habituée à un rythme plus calme le reste de l'année.
La morosité qui règne tout au long de l'année à Jijel a laissé place ces dernières jours à l'ambiance estivale.
La mer et les montagnes qui bordent la wilaya de Jijel n'ont laissé personne indifférent. Et nul ne peut résister à leur charme.
Ce paradis de verdure a encore drainé, cette année, des milliers d'estivants venus de divers horizons à la recherche de calme, de loisirs et de sécurité surtout.
L'évolution des mentalités de ces dernières années à Jijel a fait de la location d'appartements et autres villas un marché très juteux, rapportant de gros sous aux s'smasria.
Drainant du coup, derrière cette formule de location, des milliers de familles aux bourses moyennes qui ne peuvent pas se payer un séjour dans un hôtel, si elles arrivent à en trouver une place bien sûr.
A ce propos, il faut rappeler que l'handicap le plus caractéristique de la wilaya de Jijel est le manque de structure hôtelière qui se fait surtout ressentir durant l'été.
Et pour réaliser l'importance de l'affluence des estivants cet été, il faut aller faire un tour dans les quartiers et autres cités, pour se rendre compte de la déferlante de voitures venues des quatre coins du pays et même de l'étranger, reconnaissables à leurs plaques minéralogiques.
Evidemment, ce flux de vacanciers a engendré avec lui de longues files de véhicules quotidiennement que ce soit à l'intérieur de la ville de Jijel ou dans les grands centres urbains, notamment en milieu de matinée, à midi et en fin de journée.
Des embouteillages qui ont quelque peu irrité et bousculé le train de vie de la population locale, plutôt habituée à un rythme plus calme le reste de l'année.
Les différents sites touristiques et historiques, à l'image du parc animalier, les Grottes merveilleuses, la statue du pêcheur, le grand Phare et bien d'autres sont investis quotidiennement par des centaines d'estivants.
Les plages de la côte du Saphir et les placettes publiques sont constamment bondées de groupes de vacanciers venus savourer des moments de détente et de relaxation. Le tout baignant dans une atmosphère joviale, emplie de gaité et de joie. La plupart des estivants croisés sont unanimes quant à l'hospitalité des habitants de la région et évoquent tous l'état de paix et de sécurité qui prévaut un peu partout.
Cet état de tranquillité permet à des familles entières, ainsi qu'à de jeunes couples en voyage de noces, nombreux en cette saison, de veiller jusqu'à des heures tardives de la nuit, comme c'est le cas à la plage Kotama, Front de mer, sise cité Assous, Ex-Beaumarchais, ainsi que du côté des plages d'El-Aouana, Ziama-Mansouriah et Sidi Abdelaziz.
La morosité qui règne tout au long de l'année à Jijel a laissé place ces dernières jours à l'ambiance estivale.
La mer et les montagnes qui bordent la wilaya de Jijel n'ont laissé personne indifférent. Et nul ne peut résister à leur charme.
Ce paradis de verdure a encore drainé, cette année, des milliers d'estivants venus de divers horizons à la recherche de calme, de loisirs et de sécurité surtout.
L'évolution des mentalités de ces dernières années à Jijel a fait de la location d'appartements et autres villas un marché très juteux, rapportant de gros sous aux s'smasria.
Drainant du coup, derrière cette formule de location, des milliers de familles aux bourses moyennes qui ne peuvent pas se payer un séjour dans un hôtel, si elles arrivent à en trouver une place bien sûr.
A ce propos, il faut rappeler que l'handicap le plus caractéristique de la wilaya de Jijel est le manque de structure hôtelière qui se fait surtout ressentir durant l'été.
Et pour réaliser l'importance de l'affluence des estivants cet été, il faut aller faire un tour dans les quartiers et autres cités, pour se rendre compte de la déferlante de voitures venues des quatre coins du pays et même de l'étranger, reconnaissables à leurs plaques minéralogiques.
Evidemment, ce flux de vacanciers a engendré avec lui de longues files de véhicules quotidiennement que ce soit à l'intérieur de la ville de Jijel ou dans les grands centres urbains, notamment en milieu de matinée, à midi et en fin de journée.
Des embouteillages qui ont quelque peu irrité et bousculé le train de vie de la population locale, plutôt habituée à un rythme plus calme le reste de l'année.
Les différents sites touristiques et historiques, à l'image du parc animalier, les Grottes merveilleuses, la statue du pêcheur, le grand Phare et bien d'autres sont investis quotidiennement par des centaines d'estivants.
Les plages de la côte du Saphir et les placettes publiques sont constamment bondées de groupes de vacanciers venus savourer des moments de détente et de relaxation. Le tout baignant dans une atmosphère joviale, emplie de gaité et de joie. La plupart des estivants croisés sont unanimes quant à l'hospitalité des habitants de la région et évoquent tous l'état de paix et de sécurité qui prévaut un peu partout.
Cet état de tranquillité permet à des familles entières, ainsi qu'à de jeunes couples en voyage de noces, nombreux en cette saison, de veiller jusqu'à des heures tardives de la nuit, comme c'est le cas à la plage Kotama, Front de mer, sise cité Assous, Ex-Beaumarchais, ainsi que du côté des plages d'El-Aouana, Ziama-Mansouriah et Sidi Abdelaziz.


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