Ces rencontres ont exploré les potentialités, décortiqué les atouts et répertorié les contraintes et les obstacles d'une présence des entreprises françaises sur le marché algérien, tels que la vulgarisation du climat d'affaires et la lancinante et récurrente question de la législation régissant les investissements directs étrangers. Ces rencontres ont exploré les potentialités, décortiqué les atouts et répertorié les contraintes et les obstacles d'une présence des entreprises françaises sur le marché algérien, tels que la vulgarisation du climat d'affaires et la lancinante et récurrente question de la législation régissant les investissements directs étrangers. L'Agence française pour le développement international des entreprises Ubifrance qui a organisé durant la fin du mois de juillet précédent, à Paris, le forum intitulé ‘'Rencontres Algérie 2010'' a initié un débat fécond sur les perspectives de développement des entreprises dans le contexte difficile de la conjoncture internationale et de la crise financière mondiale, a permis de recentrer la discussion autour de la problématique du partenariat algéro-français. En effet, ces rencontres ont nettement exploré les potentialités, décortiqué les atouts et répertorié les contraintes et les obstacles d'une présence des entreprises françaises sur le marché algérien, tels que la vulgarisation du climat d'affaires et la lancinante et récurrente question de la législation régissant les investissements directs étrangers. Les intervenants et experts algériens ont notamment abordé le volet des exportations hors hydrocarbures et la diversification de l'économie nationale. Les conférenciers ont fait une dissection de l'économie algérienne et les avantages fiscaux et comparatifs offerts aux potentiels investisseurs. Ainsi, Abdellatif Benachenhou, économiste diplômé de l'université de la Sorbonne et ancien ministre des Finances, a fait état des grands besoins algériens en matière de coopération et de transfert de technologies et de savoir-faire pour les entreprises algériennes et l'offre française en matière d'équipements. Le vice-président du Conseil national économique et social (CNES), Mustapha Mékidèche a parlé de la politique nationale de partenariat et de coopération et du développement de l'économie nationale, alors que Slim Othmani, président-directeur général des Nouvelles conserveries de Rouiba (NCA) et d'autres intervenants ont abordé la question de l'évolution de la distribution de produits alimentaires en Algérie en mettant, notamment, l'accent sur l'exemple du premier centre commercial de Bab Ezzouar dont l'inauguration est prévue jeudi prochain. D'autres points importants ont été soulevés par les intervenants, tels que la franchise en Algérie, la méthode permettant de se faire référencer, l'exemple de partenariat dans la distribution automobile de CFAO-Diamal, ainsi que des témoignages d'entreprises, notamment Cevital, Lacoste, Guy Degrenne, Cofrapex. Pour sa part, Thierry Jacomet, conseiller du cabinet Gide Loyrette Nouel Algérie, a relaté la problématique de conception et de gestion du partenariat avec les entreprises algériennes. Pour sa part, Marc Bouteiller, chef du service économique régional de l'ambassade de France à Alger, a développé une communication sur la défense des intérêts économiques français. Pour Ubifrance, «l'Algérie reste pour la France un partenaire commercial de premier plan, proche géographiquement et culturellement». Elle précise que « le montant des échanges entre les deux pays a doublé en 10 ans, franchissant pour la première fois le seuil des 10 milliards d'euros (+ 41%)». La France est le premier fournisseur de l'Algérie avec une part de marché supérieure à 18 % en 2010 et le premier investisseur étranger (hors hydrocarbures). Tandis que l'Algérie demeure le troisième client de la France hors Organisation de commerce et de développement en Europe (OCDE), avec 5 milliards d'euros. L'Agence française pour le développement international des entreprises Ubifrance qui a organisé durant la fin du mois de juillet précédent, à Paris, le forum intitulé ‘'Rencontres Algérie 2010'' a initié un débat fécond sur les perspectives de développement des entreprises dans le contexte difficile de la conjoncture internationale et de la crise financière mondiale, a permis de recentrer la discussion autour de la problématique du partenariat algéro-français. En effet, ces rencontres ont nettement exploré les potentialités, décortiqué les atouts et répertorié les contraintes et les obstacles d'une présence des entreprises françaises sur le marché algérien, tels que la vulgarisation du climat d'affaires et la lancinante et récurrente question de la législation régissant les investissements directs étrangers. Les intervenants et experts algériens ont notamment abordé le volet des exportations hors hydrocarbures et la diversification de l'économie nationale. Les conférenciers ont fait une dissection de l'économie algérienne et les avantages fiscaux et comparatifs offerts aux potentiels investisseurs. Ainsi, Abdellatif Benachenhou, économiste diplômé de l'université de la Sorbonne et ancien ministre des Finances, a fait état des grands besoins algériens en matière de coopération et de transfert de technologies et de savoir-faire pour les entreprises algériennes et l'offre française en matière d'équipements. Le vice-président du Conseil national économique et social (CNES), Mustapha Mékidèche a parlé de la politique nationale de partenariat et de coopération et du développement de l'économie nationale, alors que Slim Othmani, président-directeur général des Nouvelles conserveries de Rouiba (NCA) et d'autres intervenants ont abordé la question de l'évolution de la distribution de produits alimentaires en Algérie en mettant, notamment, l'accent sur l'exemple du premier centre commercial de Bab Ezzouar dont l'inauguration est prévue jeudi prochain. D'autres points importants ont été soulevés par les intervenants, tels que la franchise en Algérie, la méthode permettant de se faire référencer, l'exemple de partenariat dans la distribution automobile de CFAO-Diamal, ainsi que des témoignages d'entreprises, notamment Cevital, Lacoste, Guy Degrenne, Cofrapex. Pour sa part, Thierry Jacomet, conseiller du cabinet Gide Loyrette Nouel Algérie, a relaté la problématique de conception et de gestion du partenariat avec les entreprises algériennes. Pour sa part, Marc Bouteiller, chef du service économique régional de l'ambassade de France à Alger, a développé une communication sur la défense des intérêts économiques français. Pour Ubifrance, «l'Algérie reste pour la France un partenaire commercial de premier plan, proche géographiquement et culturellement». Elle précise que « le montant des échanges entre les deux pays a doublé en 10 ans, franchissant pour la première fois le seuil des 10 milliards d'euros (+ 41%)». La France est le premier fournisseur de l'Algérie avec une part de marché supérieure à 18 % en 2010 et le premier investisseur étranger (hors hydrocarbures). Tandis que l'Algérie demeure le troisième client de la France hors Organisation de commerce et de développement en Europe (OCDE), avec 5 milliards d'euros.