Face au manque considérable de terrain qu'accuse la ville d'Annaba, les autorités de la wilaya, particulièrement le chef de l'exécutif semble très préoccupés par cet épineux problème qui se pose avec acuité quant au développement local. Une démarche est cependant à l'étude à l'effet de proposer aux autorités du pays la création d'une nouvelle ville à partir du lieudit Draa Erriche lieu distant d'un peu moins de 15 kilomètres du chef lieu de la wilaya, jusqu'au contour de la commune de Oued El Aneb. Un lieu où seront désormais implantés des équipement publics, socio-économique, culturels, scientifiques ainsi que des infrastructures sportifs et d'accueil du public en plus des programmes de logement qui seront édifiés dans cette zone. On apprend par ailleurs de sources proches de la commune de Sidi-Amar que certains terrains qui se trouvent à proximité de la zone de Chaiba appartenant à des privés risqueraient d'être réquisitionnés pour utilité public et leurs propriétaires indemnisé selon des prix établis par l'Etat. Une démarche qui semble venir à point pour régler un important déficit en matière de foncier devant servir d'assiette pour la construction de quelques infrastructures sociales. Face au manque considérable de terrain qu'accuse la ville d'Annaba, les autorités de la wilaya, particulièrement le chef de l'exécutif semble très préoccupés par cet épineux problème qui se pose avec acuité quant au développement local. Une démarche est cependant à l'étude à l'effet de proposer aux autorités du pays la création d'une nouvelle ville à partir du lieudit Draa Erriche lieu distant d'un peu moins de 15 kilomètres du chef lieu de la wilaya, jusqu'au contour de la commune de Oued El Aneb. Un lieu où seront désormais implantés des équipement publics, socio-économique, culturels, scientifiques ainsi que des infrastructures sportifs et d'accueil du public en plus des programmes de logement qui seront édifiés dans cette zone. On apprend par ailleurs de sources proches de la commune de Sidi-Amar que certains terrains qui se trouvent à proximité de la zone de Chaiba appartenant à des privés risqueraient d'être réquisitionnés pour utilité public et leurs propriétaires indemnisé selon des prix établis par l'Etat. Une démarche qui semble venir à point pour régler un important déficit en matière de foncier devant servir d'assiette pour la construction de quelques infrastructures sociales.
