Les participants, principalement issus de la communauté établie au sud, en Mauritanie, ont dréssé un bilan des activités et actions menées en vue de renforcer et d'intensifier la lutte pacifique, notamment dans les territoires occupés du Sahara Occidental. Les participants, principalement issus de la communauté établie au sud, en Mauritanie, ont dréssé un bilan des activités et actions menées en vue de renforcer et d'intensifier la lutte pacifique, notamment dans les territoires occupés du Sahara Occidental. Les travaux de la 16e édition du colloque de la communauté sahraouie établie dans le sud se sont axés sur l'évaluation des actions du précèdent colloque. Les travaux de cette nouvelle édition se sont tenus à Mijek (territoires sahraouis libérés), à l'occasion des festivités commémoratives du 35e anniversaire de la proclamation de l'Union nationale du peuple sahraoui. Les participants, principalement issus de la communauté établie au sud, en Mauritanie, ont également fait un bilan des activités et actions menées en vue de renforcer et d'intensifier la lutte pacifique, notamment sur les territoires occupés du Sahara Occidental. Le ministre sahraoui des villes occupées et de la communauté sahraouie établie à l'étranger, M. Khelil Sid M'hamed, dans son discours d'ouverture, mardi dernier, a affirmé que « le colloque se tient à un moment où la lutte du peuple sahraoui passe par une étape particulière ». Et d'ajouter: «Cette étape en question le met face à de nouveaux défis». En outre, l'organisation de ce colloque, a-t-il soutenu, « est l'occasion de dresser un bilan des activités des sections composant la communauté établie en Mauritanie mais aussi au sud des territoires libérés durant l'année en cours ». La population sahraouie est appelée à intensifier sa lutte pacifique. Les défis à relever ne sont pas des moindres, a-t-on relevé. Intervenant à ce sujet, M. Bachir Mustapha Saied, membre du secrétariat national du Front Polisario, chargé des organisations politiques, a exposé les différents défis auxquels le peuple sahraoui fera face. L'occupant marocain, a-t-il estimé, a transformé la trêve de 1991 et l'annonce des accords de cessez-le-feu, en une sorte de « guerre psychologique », utilisant tous les moyens afin d'installer un processus de renseignement lui permettant de mettre un terme à la résistance du peuple sahraoui. En effet, les autorités coloniales marocaines n'ont négligé aucun moyen, entre autres en mobilisant la presse, les associations parallèles qui prônent le retour des Sahraouis, mais aussi en déboursant des sommes colossales dans l'objectif d'acheter la position de certains activistes sahraouis. Les services de sécurité de Mohamed VI, a ajouté notre interlocuteur, ont mis sur pied tous les moyens possibles pour également infiltrer l'organisation du peuple sahraoui. Des actions vouées pour la plupart à l'échec, a-t-il dit. Il a, dans ce sens, qualifié ces agissements de « sans avenir » pour ensuite s'adresser aux participants ainsi qu'à l'ensemble des Sahraouis, les exhortant à être vigilants et à faire davantage de sacrifices en vue de « faire face aux différentes manœuvres vouées à l'échec de l'ennemi ». D'autre part, le rôle joué par la population militante sahraouie des territoires occupés est important, à en juger par les résultats positifs de la lutte pacifique. Une lutte qui, faut-il le dire, a su déstabiliser l'ensemble des mécanismes de répression mis en place par les autorités coloniales. « Cette insurrection, a-t-il affirmé, constitue une étape décisive dans la lutte de notre peuple pour le recouvrement de son indépendance et le maintien de son unité ». L'enjeu actuel, a-t-on noté, est de réorganiser les activités en élaborant de nouvelles propositions en vue de mettre celles-ci au niveau des défis présents et à venir. Par ailleurs, un site Internet est en cours de réalisation pour assurer une mise à réseau et une fluidité de l'information, a-t-on expliqué. . Les travaux de la 16e édition du colloque de la communauté sahraouie établie dans le sud se sont axés sur l'évaluation des actions du précèdent colloque. Les travaux de cette nouvelle édition se sont tenus à Mijek (territoires sahraouis libérés), à l'occasion des festivités commémoratives du 35e anniversaire de la proclamation de l'Union nationale du peuple sahraoui. Les participants, principalement issus de la communauté établie au sud, en Mauritanie, ont également fait un bilan des activités et actions menées en vue de renforcer et d'intensifier la lutte pacifique, notamment sur les territoires occupés du Sahara Occidental. Le ministre sahraoui des villes occupées et de la communauté sahraouie établie à l'étranger, M. Khelil Sid M'hamed, dans son discours d'ouverture, mardi dernier, a affirmé que « le colloque se tient à un moment où la lutte du peuple sahraoui passe par une étape particulière ». Et d'ajouter: «Cette étape en question le met face à de nouveaux défis». En outre, l'organisation de ce colloque, a-t-il soutenu, « est l'occasion de dresser un bilan des activités des sections composant la communauté établie en Mauritanie mais aussi au sud des territoires libérés durant l'année en cours ». La population sahraouie est appelée à intensifier sa lutte pacifique. Les défis à relever ne sont pas des moindres, a-t-on relevé. Intervenant à ce sujet, M. Bachir Mustapha Saied, membre du secrétariat national du Front Polisario, chargé des organisations politiques, a exposé les différents défis auxquels le peuple sahraoui fera face. L'occupant marocain, a-t-il estimé, a transformé la trêve de 1991 et l'annonce des accords de cessez-le-feu, en une sorte de « guerre psychologique », utilisant tous les moyens afin d'installer un processus de renseignement lui permettant de mettre un terme à la résistance du peuple sahraoui. En effet, les autorités coloniales marocaines n'ont négligé aucun moyen, entre autres en mobilisant la presse, les associations parallèles qui prônent le retour des Sahraouis, mais aussi en déboursant des sommes colossales dans l'objectif d'acheter la position de certains activistes sahraouis. Les services de sécurité de Mohamed VI, a ajouté notre interlocuteur, ont mis sur pied tous les moyens possibles pour également infiltrer l'organisation du peuple sahraoui. Des actions vouées pour la plupart à l'échec, a-t-il dit. Il a, dans ce sens, qualifié ces agissements de « sans avenir » pour ensuite s'adresser aux participants ainsi qu'à l'ensemble des Sahraouis, les exhortant à être vigilants et à faire davantage de sacrifices en vue de « faire face aux différentes manœuvres vouées à l'échec de l'ennemi ». D'autre part, le rôle joué par la population militante sahraouie des territoires occupés est important, à en juger par les résultats positifs de la lutte pacifique. Une lutte qui, faut-il le dire, a su déstabiliser l'ensemble des mécanismes de répression mis en place par les autorités coloniales. « Cette insurrection, a-t-il affirmé, constitue une étape décisive dans la lutte de notre peuple pour le recouvrement de son indépendance et le maintien de son unité ». L'enjeu actuel, a-t-on noté, est de réorganiser les activités en élaborant de nouvelles propositions en vue de mettre celles-ci au niveau des défis présents et à venir. Par ailleurs, un site Internet est en cours de réalisation pour assurer une mise à réseau et une fluidité de l'information, a-t-on expliqué. .