L'Algérie attire progressivement les firmes turques en ce sens que le secteur de l'énergie séduit davantage les investisseurs de ce pays tourné résolument vers la coopération avec l'Algérie. L'Algérie attire progressivement les firmes turques en ce sens que le secteur de l'énergie séduit davantage les investisseurs de ce pays tourné résolument vers la coopération avec l'Algérie. Le gouvernement turc s'intéresse de plus en plus au Maghreb en général et à l'Algérie en particulier. Les entreprises sont présentes sur les rives sud de la Méditerranée. Mais à Rabat, Tunis ou Alger, la conquérante puissance industrielle inquiète, et les investisseurs et industriels turcs sont de plus en plus influents et entreprenants. Pas moins de 150 entreprises travaillent en Algérie actuellement selon les dernières statistiques alors que les autorités en charge du commerce extérieur de ce pays de l'Orient envisagent de réhausser le volume d'affaires avec les pays arabes et ceux du Maghreb en priorité pour ce qui est des échanges commerciaux. Rappelons que la Turquie est passée de 13 milliards de dollars (9,5 milliards d'euros) en 2004 à plus de 30 milliards de dollars 4 années plus tard en termes d'échanges commerciaux entre Ankara et les pays arabes qui ont culminé à 37 milliards en 2008. L'Algérie attire progressivement les firmes turques en ce sens que le secteur de l'énergie séduit davantage les investisseurs de ce pays tourné résolument vers la coopération avec l'Algérie. Cette évolution dans les relations économiques et commerciales avec l'Algérie ont fait penser à un expert que «les Etats du Maghreb constituent un marché potentiel de première importance pour les produits turcs, qui sont souvent de bonne qualité et à des prix nettement moindres que ceux d'Europe ou des Etats-Unis. Et la soif d'hydrocarbures de la Turquie peut aussi jouer en faveur d'un resserrement des liens avec certains pays maghrébins». Ce constat est celui de l'analyste Didier Billion, chercheur à l'Institut de relations internationales et stratégiques de Paris. L'Algérie, premier partenaire commercial de la Turquie. Même si les investissemnts turcs au Maghreb sont en diminution, seulement 17 investissements durant ces trois dernières années, actuellement, l'Algérie est le premier partenaire d'Ankara en Afrique, avec un volume d'échanges commerciaux qui oscille entre 4 milliards et 5 milliards de dollars, contre 1,5 milliard en 2007, selon les données chiffrées fournies par l'nstitut méditérranéen de promotion des investissements. Cependant, l'objectif turc consiste à atteindre 10 milliards de dollars d'ici 2 années en incitant les autorités algériennes à signer un accord de libre-échange dont les négociations entre l'Algérie et la Turquie sont susceptibles d'aboutir à un consensus prochainement. La Turquie a importé d'Algérie des quantités appréciables de gaz liquéfié pour un montant de plus de 2 milliards de dollars par an, en vertu d'un contrat signé en 1995 et qui s'achèvera en 2014. Les 150 sociétés turques implantées en Algérie constituent plus de 40 % des entreprises du pays du Bosphore sur le plan africain. La coopération entre les deux pays a atteint un sommet jusque-là inégalé puisque les secteurs des biens d'équipement et de produits alimentaires connaissent un boom extraordinaire ces derniers temps. Le secteur de la construction est aussi important car l'Algérie a ouvert son marché aux nombreuses entreprises turques dans le but de contribuer dans le BTPH au développement du programme national de construction de 1 million de logements entre 2010 et 2014, dans la mesure où les deux pays ont signé un protocole d'accord en mai 2010 pour accroître la collaboration et la coopération dans ce domaine. Les Algériens sont de plus en plus fascinés par le tourisme en Turquie sachant que des milliers de familles regardent les feuilletons télévisés sur la chaîne MBC et souhaitent visiter Istanbul et le Bosphore, avec ses merveilleux sites et stations balnéaires. Les touristes algériens dépensent entre 500 millions et 1 milliard de dollars par an en explorant les régions touristiques de ce pays pourtant pourvoyeur d'immigrants. Le gouvernement turc s'intéresse de plus en plus au Maghreb en général et à l'Algérie en particulier. Les entreprises sont présentes sur les rives sud de la Méditerranée. Mais à Rabat, Tunis ou Alger, la conquérante puissance industrielle inquiète, et les investisseurs et industriels turcs sont de plus en plus influents et entreprenants. Pas moins de 150 entreprises travaillent en Algérie actuellement selon les dernières statistiques alors que les autorités en charge du commerce extérieur de ce pays de l'Orient envisagent de réhausser le volume d'affaires avec les pays arabes et ceux du Maghreb en priorité pour ce qui est des échanges commerciaux. Rappelons que la Turquie est passée de 13 milliards de dollars (9,5 milliards d'euros) en 2004 à plus de 30 milliards de dollars 4 années plus tard en termes d'échanges commerciaux entre Ankara et les pays arabes qui ont culminé à 37 milliards en 2008. L'Algérie attire progressivement les firmes turques en ce sens que le secteur de l'énergie séduit davantage les investisseurs de ce pays tourné résolument vers la coopération avec l'Algérie. Cette évolution dans les relations économiques et commerciales avec l'Algérie ont fait penser à un expert que «les Etats du Maghreb constituent un marché potentiel de première importance pour les produits turcs, qui sont souvent de bonne qualité et à des prix nettement moindres que ceux d'Europe ou des Etats-Unis. Et la soif d'hydrocarbures de la Turquie peut aussi jouer en faveur d'un resserrement des liens avec certains pays maghrébins». Ce constat est celui de l'analyste Didier Billion, chercheur à l'Institut de relations internationales et stratégiques de Paris. L'Algérie, premier partenaire commercial de la Turquie. Même si les investissemnts turcs au Maghreb sont en diminution, seulement 17 investissements durant ces trois dernières années, actuellement, l'Algérie est le premier partenaire d'Ankara en Afrique, avec un volume d'échanges commerciaux qui oscille entre 4 milliards et 5 milliards de dollars, contre 1,5 milliard en 2007, selon les données chiffrées fournies par l'nstitut méditérranéen de promotion des investissements. Cependant, l'objectif turc consiste à atteindre 10 milliards de dollars d'ici 2 années en incitant les autorités algériennes à signer un accord de libre-échange dont les négociations entre l'Algérie et la Turquie sont susceptibles d'aboutir à un consensus prochainement. La Turquie a importé d'Algérie des quantités appréciables de gaz liquéfié pour un montant de plus de 2 milliards de dollars par an, en vertu d'un contrat signé en 1995 et qui s'achèvera en 2014. Les 150 sociétés turques implantées en Algérie constituent plus de 40 % des entreprises du pays du Bosphore sur le plan africain. La coopération entre les deux pays a atteint un sommet jusque-là inégalé puisque les secteurs des biens d'équipement et de produits alimentaires connaissent un boom extraordinaire ces derniers temps. Le secteur de la construction est aussi important car l'Algérie a ouvert son marché aux nombreuses entreprises turques dans le but de contribuer dans le BTPH au développement du programme national de construction de 1 million de logements entre 2010 et 2014, dans la mesure où les deux pays ont signé un protocole d'accord en mai 2010 pour accroître la collaboration et la coopération dans ce domaine. Les Algériens sont de plus en plus fascinés par le tourisme en Turquie sachant que des milliers de familles regardent les feuilletons télévisés sur la chaîne MBC et souhaitent visiter Istanbul et le Bosphore, avec ses merveilleux sites et stations balnéaires. Les touristes algériens dépensent entre 500 millions et 1 milliard de dollars par an en explorant les régions touristiques de ce pays pourtant pourvoyeur d'immigrants.