Les cours du pétrole demeuraient en baisse, hier en début d'échanges européens, sous le poids de prises de bénéfice après leur forte poussée lors des quatre séances précédentes, et pénalisés par un renforcement du billet vert. Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en janvier s'échangeait à 91,02 dollars sur l'InterContinental Exchange (ICE) de Londres, en baisse de 37 cents par rapport à la clôture de mardi. Le cours du Brent était monté la veille jusqu'à 92,86 dollars, un niveau sans précédent depuis 26 mois. Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" (WTI) pour livraison en janvier reculait quant à lui de 49 cents à 88,20 dollars, après être monté mardi jusqu'à 90,76 dollars, son plus haut niveau depuis le 8 octobre 2008. Le léger renforcement du billet vert, autour de 1,32 dollar pour un euro, rendait moins attractifs les achats de matières premières libellées en dollars, comme l'or noir, pour les investisseurs munis d'autres devises. Les cours devraient tout de même rester soutenus par la vague de froid qui touche actuellement l'Europe et par des prévisions de températures plus froides que la normale dans le nord-est des Etats-Unis au cours de la semaine à venir. Dans ce contexte, les investisseurs guettaient avec attention mercredi le rapport hebdomadaire du département américain de l'Energie (DoE) sur les réserves pétrolières des Etats-Unis pour la semaine achevée le 3 décembre. Selon les analystes interrogés par l'agence Dow Jones Newswires, les stocks de brut et de produits distillés devraient avoir reculé de respectivement de 1,2 million de barils et de 600.000 barils, tandis que les réserves d'essence auraient progressé de 100.000 barils. Les cours du pétrole demeuraient en baisse, hier en début d'échanges européens, sous le poids de prises de bénéfice après leur forte poussée lors des quatre séances précédentes, et pénalisés par un renforcement du billet vert. Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en janvier s'échangeait à 91,02 dollars sur l'InterContinental Exchange (ICE) de Londres, en baisse de 37 cents par rapport à la clôture de mardi. Le cours du Brent était monté la veille jusqu'à 92,86 dollars, un niveau sans précédent depuis 26 mois. Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" (WTI) pour livraison en janvier reculait quant à lui de 49 cents à 88,20 dollars, après être monté mardi jusqu'à 90,76 dollars, son plus haut niveau depuis le 8 octobre 2008. Le léger renforcement du billet vert, autour de 1,32 dollar pour un euro, rendait moins attractifs les achats de matières premières libellées en dollars, comme l'or noir, pour les investisseurs munis d'autres devises. Les cours devraient tout de même rester soutenus par la vague de froid qui touche actuellement l'Europe et par des prévisions de températures plus froides que la normale dans le nord-est des Etats-Unis au cours de la semaine à venir. Dans ce contexte, les investisseurs guettaient avec attention mercredi le rapport hebdomadaire du département américain de l'Energie (DoE) sur les réserves pétrolières des Etats-Unis pour la semaine achevée le 3 décembre. Selon les analystes interrogés par l'agence Dow Jones Newswires, les stocks de brut et de produits distillés devraient avoir reculé de respectivement de 1,2 million de barils et de 600.000 barils, tandis que les réserves d'essence auraient progressé de 100.000 barils.