Un appel a été lancé hier par la coordination locale des étudiants (CLE) de l'universté de Tizi-Ouzou pour l'observation d'une journée de grève et d'une marche pour la journée du mardi 1er février. Par ailleurs, une autre décision a été prise, celle du lancement d'une grève cyclique à raison de deux journées par semaine à compter d'hier dimanche. Ces actions de protestation ont été décidées suite à une réunion ayant regroupé 19 comités d'étudiants. Au cours de cette dernière, il a été procédé à l'évaluation de la situation qui prévaut au sein de l'UMMTO. «Unanimement, les comités présents, tout en dénonçant la tutelle qui pervertit les textes relatifs aux réformes lancées, à l'exemple de la circulaire définissant l'accès au master 2 et les textes régissant le LMD, ont réaffirmé leur détermination à poursuivre la lutte jusqu'à satisfaction de leurs revendications» lit-on dans le procès verbal de la dite réunion. Les étudiants exigent la réouverture de la post-graduation et le maintien du CAPA (concour d'accès à la profession d'avocat) pour l'ensemble des promotions restant du système classique ainsi qu'une prise en charge réelle et effective de l'étudiant sur le plan socio-pédagogique. Selon les meneurs de ces actions, les réformes LMD «parachutées, imposées unilatéralement et appliquées dans une opacité absolue, n'ont pas encore trouvé les moyens nécéssaires pour permettre à l'étudiant de réussir sa formation dans les meilleures conditions.» Les concernés révèlent qu'à ce jour, les textes déterminant le passage de l'ancien système au nouveau «ne sont ni clairs ni mis en application». Selon les mêmes étudiants, cet état de fait est exacerbé par une transition caractérisée par le gel de la post-graduation et la suppression du CAPA. «A cela s'ajoutent une situation sociale désastreuse, le manque d'infrastructures ( restauration, hébergement, foyer…), l'insuffisance et le dysfonctionnement du transport, l'insécurité et le climat de violence à l'extérieur et à l'intérieur de l'enceinte universitaire qui font le quotidien des étudiants» conclut-on. Un appel a été lancé hier par la coordination locale des étudiants (CLE) de l'universté de Tizi-Ouzou pour l'observation d'une journée de grève et d'une marche pour la journée du mardi 1er février. Par ailleurs, une autre décision a été prise, celle du lancement d'une grève cyclique à raison de deux journées par semaine à compter d'hier dimanche. Ces actions de protestation ont été décidées suite à une réunion ayant regroupé 19 comités d'étudiants. Au cours de cette dernière, il a été procédé à l'évaluation de la situation qui prévaut au sein de l'UMMTO. «Unanimement, les comités présents, tout en dénonçant la tutelle qui pervertit les textes relatifs aux réformes lancées, à l'exemple de la circulaire définissant l'accès au master 2 et les textes régissant le LMD, ont réaffirmé leur détermination à poursuivre la lutte jusqu'à satisfaction de leurs revendications» lit-on dans le procès verbal de la dite réunion. Les étudiants exigent la réouverture de la post-graduation et le maintien du CAPA (concour d'accès à la profession d'avocat) pour l'ensemble des promotions restant du système classique ainsi qu'une prise en charge réelle et effective de l'étudiant sur le plan socio-pédagogique. Selon les meneurs de ces actions, les réformes LMD «parachutées, imposées unilatéralement et appliquées dans une opacité absolue, n'ont pas encore trouvé les moyens nécéssaires pour permettre à l'étudiant de réussir sa formation dans les meilleures conditions.» Les concernés révèlent qu'à ce jour, les textes déterminant le passage de l'ancien système au nouveau «ne sont ni clairs ni mis en application». Selon les mêmes étudiants, cet état de fait est exacerbé par une transition caractérisée par le gel de la post-graduation et la suppression du CAPA. «A cela s'ajoutent une situation sociale désastreuse, le manque d'infrastructures ( restauration, hébergement, foyer…), l'insuffisance et le dysfonctionnement du transport, l'insécurité et le climat de violence à l'extérieur et à l'intérieur de l'enceinte universitaire qui font le quotidien des étudiants» conclut-on.