Un astronaute américain sera de visite en Algérie au printemps prochain dans la perspective de la relance de la carte de la baie d'Alger, dans le cadre de l'élargissement de la coopération algéro-américaine en matière de sciences et de technologie. L'annonce a été faite hier par l'ambassadeur américain, David Pearce, dans une allocution à l'occasion du lancement de la Bibliothèque maghrébine numérique. Une autre initiative «très intéressante», a-t-il dit, est prévue pour cette année, à savoir «TechWomen», précisant que celle-ci «permettra de jumeler les femmes de la Sillicon Valley avec leurs homologues du Moyen-Orient et de l'Afrique du Nord». «Grâce à des technologies innovantes, un contenu avant-gardiste, et des outils tels que les réseaux sociaux, TechWomen aidera à la promotion et au développement de la prochaine génération de femmes leaders dans le domaine de la technologie, et ce en leur offrant l'accès et la possibilité nécessaires pour faire carrière dans ce domaine», a indiqué l'ambassadeur américain. Il a précisé qu «au moins dix femmes algériennes pourront participer à ce programme». L'ambassadeur des Etats-Unis à Alger a réitéré par ailleurs de la volonté de son pays d'élargir la coopération avec l'Algérie dans les domaines de la science et de la technologie. Il s'agit de concrétiser la volonté du président Barack Obama, qui a exprimé son «intention de renouer avec le Monde arabe, à travers les domaines clés, liés à l'éducation, la science, la technologie et la santé», a indiqué David Pearce. Le lancement de cette bibliothèque «est l'une des réalités de cette initiative», a-t-il souligné. «Le nouveau départ» évoqué par Obama n'est pas simplement une liste d'initiatives, mais il reflète l'«engagement» des Etats-Unis «pour une nouvelle façon de s'engager avec les communautés musulmanes à travers le monde», a-t-il précisé. Evoquant la coopération bilatérale entre son pays et l'Algérie, le diplomate américain a relevé que «la science et la technologie sont les domaines d'intérêt de première importance et nous projetons d'avoir plus de programmes et de domaines de coopération dans ce secteur». Il a souligné, à cet effet, que grâce à cette volonté et le «dévouement» des deux parties, le programme de la Bibliothèque maghrébine numérique a été lancé avant même les délais arrêtés. «C'est le témoignage de notre engagement commun de faire progresser la recherche scientifique et promouvoir la compréhension mutuelle entre nos pays et la région du Moyen-Orient et l'Afrique du Nord», a-t-il dit à ce propos. L'ambassadeur américain a également annoncé un programme pour les candidatures pour la bourse « Fulbright Visiting Scholars » pour la science et la technologie, qui offre aux chercheurs algériens la possibilité d'être accueillis pour une période de trois mois au sein d'une université américaine. Un astronaute américain sera de visite en Algérie au printemps prochain dans la perspective de la relance de la carte de la baie d'Alger, dans le cadre de l'élargissement de la coopération algéro-américaine en matière de sciences et de technologie. L'annonce a été faite hier par l'ambassadeur américain, David Pearce, dans une allocution à l'occasion du lancement de la Bibliothèque maghrébine numérique. Une autre initiative «très intéressante», a-t-il dit, est prévue pour cette année, à savoir «TechWomen», précisant que celle-ci «permettra de jumeler les femmes de la Sillicon Valley avec leurs homologues du Moyen-Orient et de l'Afrique du Nord». «Grâce à des technologies innovantes, un contenu avant-gardiste, et des outils tels que les réseaux sociaux, TechWomen aidera à la promotion et au développement de la prochaine génération de femmes leaders dans le domaine de la technologie, et ce en leur offrant l'accès et la possibilité nécessaires pour faire carrière dans ce domaine», a indiqué l'ambassadeur américain. Il a précisé qu «au moins dix femmes algériennes pourront participer à ce programme». L'ambassadeur des Etats-Unis à Alger a réitéré par ailleurs de la volonté de son pays d'élargir la coopération avec l'Algérie dans les domaines de la science et de la technologie. Il s'agit de concrétiser la volonté du président Barack Obama, qui a exprimé son «intention de renouer avec le Monde arabe, à travers les domaines clés, liés à l'éducation, la science, la technologie et la santé», a indiqué David Pearce. Le lancement de cette bibliothèque «est l'une des réalités de cette initiative», a-t-il souligné. «Le nouveau départ» évoqué par Obama n'est pas simplement une liste d'initiatives, mais il reflète l'«engagement» des Etats-Unis «pour une nouvelle façon de s'engager avec les communautés musulmanes à travers le monde», a-t-il précisé. Evoquant la coopération bilatérale entre son pays et l'Algérie, le diplomate américain a relevé que «la science et la technologie sont les domaines d'intérêt de première importance et nous projetons d'avoir plus de programmes et de domaines de coopération dans ce secteur». Il a souligné, à cet effet, que grâce à cette volonté et le «dévouement» des deux parties, le programme de la Bibliothèque maghrébine numérique a été lancé avant même les délais arrêtés. «C'est le témoignage de notre engagement commun de faire progresser la recherche scientifique et promouvoir la compréhension mutuelle entre nos pays et la région du Moyen-Orient et l'Afrique du Nord», a-t-il dit à ce propos. L'ambassadeur américain a également annoncé un programme pour les candidatures pour la bourse « Fulbright Visiting Scholars » pour la science et la technologie, qui offre aux chercheurs algériens la possibilité d'être accueillis pour une période de trois mois au sein d'une université américaine.
