Avec une population estudiantine avoisinant 48.000 inscrits au niveau de ses huit facultés, l'université de Tizi-Ouzou accuse actuellement un déficit en enseignants permanents estimé à 1.203, a indiqué, mardi, le vice-recteur chargé de la planification à l'Université Mouloud-Mammeri de Tizi-Ouzou. Avec une population estudiantine avoisinant 48.000 inscrits au niveau de ses huit facultés, l'université de Tizi-Ouzou accuse actuellement un déficit en enseignants permanents estimé à 1.203, a indiqué, mardi, le vice-recteur chargé de la planification à l'Université Mouloud-Mammeri de Tizi-Ouzou. Pour combler ce déficit, "il faudrait disposer d'un effectif global de 3.073 enseignants permanents", a indiqué M. Ahmed Zayed dans un aperçu général sur la situation de cet établissement de l'enseignement supérieur présenté devant l'APW. Il a expliqué cela par la norme universelle en matière d'encadrement, laquelle se situe dans un rapport d'un enseignant pour 15 étudiants. Cette université compte actuellement quelque 1.870 enseignants permanents, dont 18 % seulement sont de rang magistral, au moment où 158 nouveaux maîtres assistants ont été recrutés cette année, a souligné ce responsable. Il a précisé, dans ce contexte, que 59 % de ces encadreurs sont affectés aux filières des sciences et des technologies, contre 41% pour les sciences sociales et humaines, soit une inversion de la tendance induite par la réforme du secteur pour privilégier la formation supérieure dans les sciences et la technologie. Pour pallier ce manque d'enseignants permanents, ressenti d'une manière plus accentuée par l'encadrement des filières de sciences sociales, comparativement aux autres filières relevant des domaines des sciences et de la technologie, M. Ahmed Zayed a fait état de l'engagement, cette année, de 1.200 enseignants vacataires, contre 1.400 l'année précédente. Pour la satisfaction de ses besoins en encadrement pédagogique et de recherche, l'université Mouloud-Mammeri de Tizi-Ouzou compte actuellement près de 1.700 inscrits en post-graduation dans les différentes spécialités et filières qui y sont dispensées. Il est fait cas également de l'enregistrement, en 2010, de 288 diplômés, dont 244 en magister et 44 doctorats délivrés, soit presque le double de l'année 2009, a fait remarquer le même responsable. M. Zayed a imputé cette progression à "une accélération de la finalisation des thèses de post-graduation, par l'allègement et la fluidification des procédures administratives, et la mise en œuvre d'un plan de formation accordant davantage de facilités et de moyens aux enseignants". APS Pour combler ce déficit, "il faudrait disposer d'un effectif global de 3.073 enseignants permanents", a indiqué M. Ahmed Zayed dans un aperçu général sur la situation de cet établissement de l'enseignement supérieur présenté devant l'APW. Il a expliqué cela par la norme universelle en matière d'encadrement, laquelle se situe dans un rapport d'un enseignant pour 15 étudiants. Cette université compte actuellement quelque 1.870 enseignants permanents, dont 18 % seulement sont de rang magistral, au moment où 158 nouveaux maîtres assistants ont été recrutés cette année, a souligné ce responsable. Il a précisé, dans ce contexte, que 59 % de ces encadreurs sont affectés aux filières des sciences et des technologies, contre 41% pour les sciences sociales et humaines, soit une inversion de la tendance induite par la réforme du secteur pour privilégier la formation supérieure dans les sciences et la technologie. Pour pallier ce manque d'enseignants permanents, ressenti d'une manière plus accentuée par l'encadrement des filières de sciences sociales, comparativement aux autres filières relevant des domaines des sciences et de la technologie, M. Ahmed Zayed a fait état de l'engagement, cette année, de 1.200 enseignants vacataires, contre 1.400 l'année précédente. Pour la satisfaction de ses besoins en encadrement pédagogique et de recherche, l'université Mouloud-Mammeri de Tizi-Ouzou compte actuellement près de 1.700 inscrits en post-graduation dans les différentes spécialités et filières qui y sont dispensées. Il est fait cas également de l'enregistrement, en 2010, de 288 diplômés, dont 244 en magister et 44 doctorats délivrés, soit presque le double de l'année 2009, a fait remarquer le même responsable. M. Zayed a imputé cette progression à "une accélération de la finalisation des thèses de post-graduation, par l'allègement et la fluidification des procédures administratives, et la mise en œuvre d'un plan de formation accordant davantage de facilités et de moyens aux enseignants". APS
