Les déchets ferreux et non ferreux, interdits à l'exportation depuis 2010 pour favoriser leur récupération au niveau national, seront stockés durant deux ans pour être utilisés une fois les complexes sidérurgiques de Boumerdès, Oran et Bellara seront opérationnels, selon le ministre de l'Industrie, de la PME et de la Promotion de l'investissement, Mohamed Benmeradi. "Le CPE (Conseil des participations de l'Etat) a décidé d'accompagner, par un prêt de 4 milliards de DA, les trois entreprises publiques activant dans la récupération des déchets ferreux et non ferreux, appelées à stocker ces matières durant deux ans", a précisé Benmeradi en réponse à une question orale d'un sénateur. Ce prêt permettra à ces entreprises de poursuivre l'activité de stockage, et non pas de vente, en attendant que les trois complexes sidérurgiques entrent en activité. A ce propos, le ministre a avancé que le projet du complexe de Boumerdès, un partenariat entre l'Etat (34%) et un opérateur privé (66%), "démarrera dans quatre mois". "Lorsque les trois complexes commenceront à travailler, ils auront besoin des déchets ferreux et non ferreux qu'ils utiliseront comme matière première, et si la décision du stockage de ces déchets n'a pas été prise, nous serons contraints de les importer", a-t-il soutenu. Les déchets ferreux et non ferreux, interdits à l'exportation depuis 2010 pour favoriser leur récupération au niveau national, seront stockés durant deux ans pour être utilisés une fois les complexes sidérurgiques de Boumerdès, Oran et Bellara seront opérationnels, selon le ministre de l'Industrie, de la PME et de la Promotion de l'investissement, Mohamed Benmeradi. "Le CPE (Conseil des participations de l'Etat) a décidé d'accompagner, par un prêt de 4 milliards de DA, les trois entreprises publiques activant dans la récupération des déchets ferreux et non ferreux, appelées à stocker ces matières durant deux ans", a précisé Benmeradi en réponse à une question orale d'un sénateur. Ce prêt permettra à ces entreprises de poursuivre l'activité de stockage, et non pas de vente, en attendant que les trois complexes sidérurgiques entrent en activité. A ce propos, le ministre a avancé que le projet du complexe de Boumerdès, un partenariat entre l'Etat (34%) et un opérateur privé (66%), "démarrera dans quatre mois". "Lorsque les trois complexes commenceront à travailler, ils auront besoin des déchets ferreux et non ferreux qu'ils utiliseront comme matière première, et si la décision du stockage de ces déchets n'a pas été prise, nous serons contraints de les importer", a-t-il soutenu.