La qualité du produit artisanal a été privilégiée par les 60 maîtres-artisans et professionnels du cuivre venus de différentes wilayas du pays pour participer à la 10e édition du Salon national de la dinanderie, ouvert dimanche dernier à Constantine. Les premiers visiteurs de l'exposition, organisée annuellement par la Chambre de l'artisanat et des métiers (CAM) de Constantine, semblaient "subjugués" par les produits et les œuvres d'art et de décorations en cuivre finement ciselés, exposés au palais de la culture Malek-Haddad. Hacène Gacem, directeur de la CAM, a souligné, en marge de l'ouverture de cette exposition de cinq jours, que cet art ancestral est actuellement pratiqué par 108 dinandiers inscrits à la Chambre et plus de 200 autres "en voie de l'être", sur un total de 8.500 adhérents, toutes branches confondues. Des exposants interrogés sur place sont unanimes à affirmer que l'avenir de cet art reste tributaire de la disponibilité de la matière première jugée "trop onéreuse" puisque dépassant les 900 dinars le kilogramme. Seules une matière première de qualité et une réduction du prix du cuivre importé par l'Etat sont à même d'encourager les dinandiers à améliorer la qualité du produit, à persévérer, dans le travail, cette spécialité et à la transmettre aux générations futures. Pour M. Gacem, un travail de "prospection et de négociations" auprès d'un pays africain producteur de cuivre, le Burkina-Faso en l'occurrence, "est en phase d'aboutir pour l'importation, à des prix raisonnables, de cette matière qui sera mise au service des dinandiers". La sortie d'une 8e promotion, constituée de 156 artisans en pâtisserie traditionnelle et de 75 artisans en haute couture, formés par la CAM de Constantine, a figuré au programme de la cérémonie d'ouverture de ce salon qui sera également caractérisé par l'organisation d'une journée d'étude sur la qualité du produit artisanal. La qualité du produit artisanal a été privilégiée par les 60 maîtres-artisans et professionnels du cuivre venus de différentes wilayas du pays pour participer à la 10e édition du Salon national de la dinanderie, ouvert dimanche dernier à Constantine. Les premiers visiteurs de l'exposition, organisée annuellement par la Chambre de l'artisanat et des métiers (CAM) de Constantine, semblaient "subjugués" par les produits et les œuvres d'art et de décorations en cuivre finement ciselés, exposés au palais de la culture Malek-Haddad. Hacène Gacem, directeur de la CAM, a souligné, en marge de l'ouverture de cette exposition de cinq jours, que cet art ancestral est actuellement pratiqué par 108 dinandiers inscrits à la Chambre et plus de 200 autres "en voie de l'être", sur un total de 8.500 adhérents, toutes branches confondues. Des exposants interrogés sur place sont unanimes à affirmer que l'avenir de cet art reste tributaire de la disponibilité de la matière première jugée "trop onéreuse" puisque dépassant les 900 dinars le kilogramme. Seules une matière première de qualité et une réduction du prix du cuivre importé par l'Etat sont à même d'encourager les dinandiers à améliorer la qualité du produit, à persévérer, dans le travail, cette spécialité et à la transmettre aux générations futures. Pour M. Gacem, un travail de "prospection et de négociations" auprès d'un pays africain producteur de cuivre, le Burkina-Faso en l'occurrence, "est en phase d'aboutir pour l'importation, à des prix raisonnables, de cette matière qui sera mise au service des dinandiers". La sortie d'une 8e promotion, constituée de 156 artisans en pâtisserie traditionnelle et de 75 artisans en haute couture, formés par la CAM de Constantine, a figuré au programme de la cérémonie d'ouverture de ce salon qui sera également caractérisé par l'organisation d'une journée d'étude sur la qualité du produit artisanal.
