Une centaine d'artisans venus de plusieurs wilayas du pays participent, depuis jeudi à Jijel, au Salon national du cuir, organisé annuellement par la Chambre de wilaya de l'artisanat et des métiers. Pour cette 3e édition, organisée au musée Kotama, dans le centre de la ville, 18 wilayas sur les 25 prévues ont délégué la "fine fleur" de leurs artisans et maroquiniers pour participer à cette manifestation destinée à mettre en valeur un produit noble utilisé pour une multitude d'usages depuis la nuit des temps. La cérémonie d'ouverture a été présidée par les autorités locales qui ont visité les stands des artisans, achalandés de divers produits en cuir "fait main", reflétant le savoir-faire ancestral, transmis de génération en génération. Selon le directeur de la Chambre de l'artisanat et des métiers, la participation à ce salon est en hausse comparativement aux précédentes éditions, avec respectivement 51 participants en 2009, 60 en 2010 et 90 pour cette année. Dans la wilaya de Jijel, le travail du cuir occupe une partie importante de la population, notamment des jeunes de la commune de Sidi Abdelaziz qui excellent dans la fabrication de divers articles de cuir qui trouvent facilement preneur sur le marché national, ont indiqué les organisateurs de la manifestation. Selon la Chambre locale de l'artisanat et des métiers, leur nombre est passé de 91 en 2009 à 114 en 2011. En plus des stands des artisans, les agences locales de l'ANSEJ et de l'ANGEM, "alliés" de ces jeunes artisans, y sont représentées par des bureaux d'information. La directrice locale de l'agence de gestion des microcrédits, Sonia Laïssaoui, a rappelé, de son côté, qu'une vingtaine d'artisans activant dans le secteur du cuir ont bénéficié de crédits variant entre 30.000 et 100.000 dinars pour l'achat de matières premières. Le programme arrêté pour cette manifestation qui s'est poursuivie jusqu'à lundi dernier, a organisé une journée d'étude consacrée au travail du cuir, avec la participation des représentants de l'administration fiscale et de la CASNOS (caisse de sécurité sociale des non-salariés), destinée à mettre en relief les possibilités de promouvoir ce créneau artisanal. La clôture de ce salon a donné lieu à la remise de diplômes aux meilleurs stands et aux artisans ayant réalisé les meilleurs produits en cuir. Une centaine d'artisans venus de plusieurs wilayas du pays participent, depuis jeudi à Jijel, au Salon national du cuir, organisé annuellement par la Chambre de wilaya de l'artisanat et des métiers. Pour cette 3e édition, organisée au musée Kotama, dans le centre de la ville, 18 wilayas sur les 25 prévues ont délégué la "fine fleur" de leurs artisans et maroquiniers pour participer à cette manifestation destinée à mettre en valeur un produit noble utilisé pour une multitude d'usages depuis la nuit des temps. La cérémonie d'ouverture a été présidée par les autorités locales qui ont visité les stands des artisans, achalandés de divers produits en cuir "fait main", reflétant le savoir-faire ancestral, transmis de génération en génération. Selon le directeur de la Chambre de l'artisanat et des métiers, la participation à ce salon est en hausse comparativement aux précédentes éditions, avec respectivement 51 participants en 2009, 60 en 2010 et 90 pour cette année. Dans la wilaya de Jijel, le travail du cuir occupe une partie importante de la population, notamment des jeunes de la commune de Sidi Abdelaziz qui excellent dans la fabrication de divers articles de cuir qui trouvent facilement preneur sur le marché national, ont indiqué les organisateurs de la manifestation. Selon la Chambre locale de l'artisanat et des métiers, leur nombre est passé de 91 en 2009 à 114 en 2011. En plus des stands des artisans, les agences locales de l'ANSEJ et de l'ANGEM, "alliés" de ces jeunes artisans, y sont représentées par des bureaux d'information. La directrice locale de l'agence de gestion des microcrédits, Sonia Laïssaoui, a rappelé, de son côté, qu'une vingtaine d'artisans activant dans le secteur du cuir ont bénéficié de crédits variant entre 30.000 et 100.000 dinars pour l'achat de matières premières. Le programme arrêté pour cette manifestation qui s'est poursuivie jusqu'à lundi dernier, a organisé une journée d'étude consacrée au travail du cuir, avec la participation des représentants de l'administration fiscale et de la CASNOS (caisse de sécurité sociale des non-salariés), destinée à mettre en relief les possibilités de promouvoir ce créneau artisanal. La clôture de ce salon a donné lieu à la remise de diplômes aux meilleurs stands et aux artisans ayant réalisé les meilleurs produits en cuir.
