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Les coups et les… couleurs… (1re partie)
Violence conjugale
Publié dans Le Midi Libre le 31 - 01 - 2012

Chez nous, les gens divorcent avec une facilité incroyable. Ici, un exemple comme tant d'autres.
Chez nous, les gens divorcent avec une facilité incroyable. Ici, un exemple comme tant d'autres.
Dès que Djamel fut rentré de son travail, Lamia, sa jeune épouse de 26 ans, lui lança :
- Ah ! Tu dois acheter une paire de chaussures noires ! Les bottes que tu portes ne te vont pas bien.
Le jeune homme regarda ses chaussures et une moue lui déforma ses lèvres :
- Qu'est-ce qu'elles ont mes bottes ? Elles me vont bien ! Elles me protègent du froid, conviennent à mon jean et à ma veste en cuir… et mais pourquoi t'intéresses-tu à mes bottes ?
- Parce que cette semaine nous sommes invités à un mariage. Une de mes cousines se marie. Tu te rappelles d'elle, Nassima ? Elle s'est fiancée il y a quatre mois.
- Ah ! Bon ? Nous n'avons pas été invités à ses fiançailles alors ?
- Si… Mais tu n'es pas venu à cause de ta tante qui était malade.
- Ah ! Oui… C'est vrai. Nous avons été invités mais moi je ne suis pas parti… mais où es le lien entre le mariage de ta cousine et mes bottes ?
- Parce qu'il faut que tu t'habilles bien lorsque nous irons chez mes cousines. Tu as un très beau costume mais tu ne peux pas le porter avec des bottes…
- C'est juste… Je vais acheter une paire de chaussures noires…
- Oui, mais il ne faut pas que ce soient des chaussures pointues comme celles des danseurs du music-hall.
- Bien sûr…
- Ah ! Non, j'ai peur que tu ne saches pas acheter les chaussures qu'il faut… Il faut que je vienne avec toi pour te les choisir.
- D'accord… fais ce que tu veux.
Le lendemain, Lamia choisit une belle paire de chaussures pour son mari ainsi qu'une cravate assortie à la couleur de la chemise et du costume qu'il devait porter à la cérémonie à laquelle ils étaient invités.
Le jour «J» arriva. Djamel et Lamia étaient sur le point de sortir de la maison pour se rendre à la fête lorsque ce dernier se frappa le front :
- Oh ! que j'ai été étourdi ! J'étais si préoccupé par mes problèmes que je ne t'ai même pas demandé si tu avais besoin de quelque chose...
- Merci de t'être rappelé au dernier moment ! ironisa Lamia. J'ai tout ce qu'il faut. Il me manquait une robe et je l'ai achetée il y a une semaine.
- Tu as acheté une robe ? Tu ne me l'as pas montrée…
- Non…
- J'aurais pu te donner mon avis… Je suis ton mari… j'ai un droit de regard sur ce que tu dois porter surtout lors d'une occasion comme celle-ci. Il y aura toute ta famille et tes proches. Moi, lorsque j'ai acheté mes chaussures et ma cravate, je t'ai emmenée avec moi. Et j'ai suivi ton avis et tes goûts.
- Oui, je sais. Tu as suivi mon avis parce que tu sais que tu as mauvais goût.
- Merci pour le compliment… Tu peux me montrer cette robe que tu as achetée ?
- Non…
Djamel fronça les sourcils et plissa son front.
- Non ? pourquoi ?
- Parce que cette robe n'est pas ici à la maison. Ma mère doit me la ramener de chez une couturière.
- Mais qu'est-ce que c'est que cette histoire ? Ta robe est prête ou pas ? Tu me dis d'abord que tu as acheté une robe et maintenant tu m'annonces qu'elle est chez une couturière… Je ne te suis pas…
- J'ai acheté une robe mais ma mère l'a donnée à une couturière pour qu'elle la retaille un peu.
Djamel demeura un bon moment méditatif puis lâcha :
- Cela signifie que tout le monde aura vu cette robe sauf moi…
- Mais pourquoi veux-tu la voir à tout prix cette robe ?
- Pour voir si elle te va vraiment bien. Je veux que ma femme soit la plus belle de toutes les femmes qui seront présentes à cette fête.
- Djamel, cesse de faire cette tête. Tu n'es pas drôle du tout ! Rassure-toi… je serai si belle que personne ne regardera cette pauvre Nassima. Fais-moi confiance.
- D'accord, je te fais confiance…
- je serai la plus belle… La mariée crèvera de jalousie, crois-moi…
- Je te crois… je te crois… allons-y maintenant sinon nous arriverons en retard. Il y a une circulation monstre le samedi.
La cérémonie avait lieu dans une grande salle des fêtes sur les hauteurs d'Alger. Djamel était en train de discuter avec quelques amis de ses beaux-frères quand brusquement il remarqua que l'attention de ceux-ci s'étaient dirigée vers l'intérieur de la salle. Il suivit leur regard et il faillit tomber en syncope. Ce qu'il venait de voir était si incroyable qu'il dut fournir un effort pour ne pas hurler. Qu'avait-il donc vu ?
(à suivre…)
Dès que Djamel fut rentré de son travail, Lamia, sa jeune épouse de 26 ans, lui lança :
- Ah ! Tu dois acheter une paire de chaussures noires ! Les bottes que tu portes ne te vont pas bien.
Le jeune homme regarda ses chaussures et une moue lui déforma ses lèvres :
- Qu'est-ce qu'elles ont mes bottes ? Elles me vont bien ! Elles me protègent du froid, conviennent à mon jean et à ma veste en cuir… et mais pourquoi t'intéresses-tu à mes bottes ?
- Parce que cette semaine nous sommes invités à un mariage. Une de mes cousines se marie. Tu te rappelles d'elle, Nassima ? Elle s'est fiancée il y a quatre mois.
- Ah ! Bon ? Nous n'avons pas été invités à ses fiançailles alors ?
- Si… Mais tu n'es pas venu à cause de ta tante qui était malade.
- Ah ! Oui… C'est vrai. Nous avons été invités mais moi je ne suis pas parti… mais où es le lien entre le mariage de ta cousine et mes bottes ?
- Parce qu'il faut que tu t'habilles bien lorsque nous irons chez mes cousines. Tu as un très beau costume mais tu ne peux pas le porter avec des bottes…
- C'est juste… Je vais acheter une paire de chaussures noires…
- Oui, mais il ne faut pas que ce soient des chaussures pointues comme celles des danseurs du music-hall.
- Bien sûr…
- Ah ! Non, j'ai peur que tu ne saches pas acheter les chaussures qu'il faut… Il faut que je vienne avec toi pour te les choisir.
- D'accord… fais ce que tu veux.
Le lendemain, Lamia choisit une belle paire de chaussures pour son mari ainsi qu'une cravate assortie à la couleur de la chemise et du costume qu'il devait porter à la cérémonie à laquelle ils étaient invités.
Le jour «J» arriva. Djamel et Lamia étaient sur le point de sortir de la maison pour se rendre à la fête lorsque ce dernier se frappa le front :
- Oh ! que j'ai été étourdi ! J'étais si préoccupé par mes problèmes que je ne t'ai même pas demandé si tu avais besoin de quelque chose...
- Merci de t'être rappelé au dernier moment ! ironisa Lamia. J'ai tout ce qu'il faut. Il me manquait une robe et je l'ai achetée il y a une semaine.
- Tu as acheté une robe ? Tu ne me l'as pas montrée…
- Non…
- J'aurais pu te donner mon avis… Je suis ton mari… j'ai un droit de regard sur ce que tu dois porter surtout lors d'une occasion comme celle-ci. Il y aura toute ta famille et tes proches. Moi, lorsque j'ai acheté mes chaussures et ma cravate, je t'ai emmenée avec moi. Et j'ai suivi ton avis et tes goûts.
- Oui, je sais. Tu as suivi mon avis parce que tu sais que tu as mauvais goût.
- Merci pour le compliment… Tu peux me montrer cette robe que tu as achetée ?
- Non…
Djamel fronça les sourcils et plissa son front.
- Non ? pourquoi ?
- Parce que cette robe n'est pas ici à la maison. Ma mère doit me la ramener de chez une couturière.
- Mais qu'est-ce que c'est que cette histoire ? Ta robe est prête ou pas ? Tu me dis d'abord que tu as acheté une robe et maintenant tu m'annonces qu'elle est chez une couturière… Je ne te suis pas…
- J'ai acheté une robe mais ma mère l'a donnée à une couturière pour qu'elle la retaille un peu.
Djamel demeura un bon moment méditatif puis lâcha :
- Cela signifie que tout le monde aura vu cette robe sauf moi…
- Mais pourquoi veux-tu la voir à tout prix cette robe ?
- Pour voir si elle te va vraiment bien. Je veux que ma femme soit la plus belle de toutes les femmes qui seront présentes à cette fête.
- Djamel, cesse de faire cette tête. Tu n'es pas drôle du tout ! Rassure-toi… je serai si belle que personne ne regardera cette pauvre Nassima. Fais-moi confiance.
- D'accord, je te fais confiance…
- je serai la plus belle… La mariée crèvera de jalousie, crois-moi…
- Je te crois… je te crois… allons-y maintenant sinon nous arriverons en retard. Il y a une circulation monstre le samedi.
La cérémonie avait lieu dans une grande salle des fêtes sur les hauteurs d'Alger. Djamel était en train de discuter avec quelques amis de ses beaux-frères quand brusquement il remarqua que l'attention de ceux-ci s'étaient dirigée vers l'intérieur de la salle. Il suivit leur regard et il faillit tomber en syncope. Ce qu'il venait de voir était si incroyable qu'il dut fournir un effort pour ne pas hurler. Qu'avait-il donc vu ?
(à suivre…)


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