Qu'est-ce qu'il fait bon d'être député. La notoriété, une petite dose de pouvoir et le salaire faramineux font chavirer les têtes. Mais pour y arriver, c'est une affaire de gros sous. Surtout lorsqu'on tient à être tête de liste. Pour cela, il faut aligner beaucoup de zéros derrière les chiffres. Et certains de nos prétendants à la députation ont les moyens de leur politique. Des sous, nos milliardaires en ont. Les têtes de liste sont mises aux enchères et les chefs de partis se muent en commissaires-priseurs. Cinq cents millions ! Adjugé ! Au niveau de quelques formations politiques tout est affaire de milliards et de milliardaires. Eh tiens pardi ! Il faut bien renflouer les caisses maintenant que l'Etat a décidé de couper les vivres aux formations pour financer les campagnes électorales. Alors, les leaders ont trouvé la parade, ils se tournent vers les gros affairistes qui n'ont ni compétences, ni programmes accrocheurs, ni militantisme et encore moins de convictions politiques. Leur C.V n'a d'égal que leur compte en banque. Nonobstant, qu'un député en Algérie coûte cher à l'Etat. D'abord parce qu'il est grassement payé, qu'il a une multitude de privilèges, comme le logement, la voiture, l'acquisition de terrain grâce à divers crédits assortie d'un permis de construire, de l'influence pour les passe-droits, les voyages en mission parlementaire sans omettre l'immunité que lui confère son statut. Mais pour toutes ces raisons, diable, qu'est-ce qu'il fait bon d'être député ! Surtout lorsque l'on a déjà goûté aux félicités que procure le poste, on peut comprendre la guerre sans merci que se livrent les militants qu'ils soient FLN, RND , FNA et partis islamistes ou autres. Oui, pour ces bellicistes, le jeu en vaut la chandelle. Quoiqu'on dise, quoi qu'on fasse l'argent est le dénominateur commun pour la majorité des partis qui imposent des candidats sur mesure. Des candidats qui ne répondront pas à l'attente du citoyen qui vivote, de la jeunesse qui a le mal de vivre. Des candidats députés qui auront appris l'art et la manière de faire dans le discours populiste seulement. A quelques exceptions heureusement. Qu'est-ce qu'il fait bon d'être député. La notoriété, une petite dose de pouvoir et le salaire faramineux font chavirer les têtes. Mais pour y arriver, c'est une affaire de gros sous. Surtout lorsqu'on tient à être tête de liste. Pour cela, il faut aligner beaucoup de zéros derrière les chiffres. Et certains de nos prétendants à la députation ont les moyens de leur politique. Des sous, nos milliardaires en ont. Les têtes de liste sont mises aux enchères et les chefs de partis se muent en commissaires-priseurs. Cinq cents millions ! Adjugé ! Au niveau de quelques formations politiques tout est affaire de milliards et de milliardaires. Eh tiens pardi ! Il faut bien renflouer les caisses maintenant que l'Etat a décidé de couper les vivres aux formations pour financer les campagnes électorales. Alors, les leaders ont trouvé la parade, ils se tournent vers les gros affairistes qui n'ont ni compétences, ni programmes accrocheurs, ni militantisme et encore moins de convictions politiques. Leur C.V n'a d'égal que leur compte en banque. Nonobstant, qu'un député en Algérie coûte cher à l'Etat. D'abord parce qu'il est grassement payé, qu'il a une multitude de privilèges, comme le logement, la voiture, l'acquisition de terrain grâce à divers crédits assortie d'un permis de construire, de l'influence pour les passe-droits, les voyages en mission parlementaire sans omettre l'immunité que lui confère son statut. Mais pour toutes ces raisons, diable, qu'est-ce qu'il fait bon d'être député ! Surtout lorsque l'on a déjà goûté aux félicités que procure le poste, on peut comprendre la guerre sans merci que se livrent les militants qu'ils soient FLN, RND , FNA et partis islamistes ou autres. Oui, pour ces bellicistes, le jeu en vaut la chandelle. Quoiqu'on dise, quoi qu'on fasse l'argent est le dénominateur commun pour la majorité des partis qui imposent des candidats sur mesure. Des candidats qui ne répondront pas à l'attente du citoyen qui vivote, de la jeunesse qui a le mal de vivre. Des candidats députés qui auront appris l'art et la manière de faire dans le discours populiste seulement. A quelques exceptions heureusement.