L'ES Sétif, déjà vainqueur de la Coupe d'Algérie, face au CR Belouizdad, a été officiellement sacrée mardi champion d'Algérie pour la 5e fois de son histoire après sa victoire 4 à 2 face au CS Constantine lors de la 29e et avant-dernière journée du championnat et réussit, de ce fait ,son deuxième doublé après celui remporté en 1968. L'ES Sétif, déjà vainqueur de la Coupe d'Algérie, face au CR Belouizdad, a été officiellement sacrée mardi champion d'Algérie pour la 5e fois de son histoire après sa victoire 4 à 2 face au CS Constantine lors de la 29e et avant-dernière journée du championnat et réussit, de ce fait ,son deuxième doublé après celui remporté en 1968. Avec trois points d'avance sur la JSM Béjaïa, l'Entente ne peut plus être rejointe au classement à une journée de l'épilogue de la compétition, quel que soit le résultat de sa dernière rencontre face à l'USM Alger, prévue samedi prochain au stade Omar-Hamadi de Bologhine, et ceci grâce à une meilleure différence de buts obtenue sur l'ensemble des matches joués lors de la phase aller du championnat. Les poulains du technicien suisse, Alain Geiger, comptent désormais une différence de 9 buts contre 5 pour le dauphin JSM Béjaïa. En dépit de toutes les difficultés qui a rencontré le club cette saison, le club phare de la capitale des Hauts-Plateaux a réussi à remporter le doublé. Malgré la concurrence rude au titre, menée au début par plusieurs clubs à savoir l'ASO Chlef, le CR Belouizdad, l'USM Alger et la JSM Bejaia, l'Entente de Sétif a su comment gérer son parcours. Pourtant, en début de saison on ne s'attendait guère à un tel scénario, puisque personne ne donnait cher de la peau de cette équipe notamment après le départ en cascade de ses cadres à l'image de portier Chaouchi, Yekhlef, Laifaoui, Lemouchia, Metref, Hemani, Bouazza et Hadj Aïssa. Après un début de saison médiocre, marqué par l'élimination prématurée en coupe de la confédération africaine de football (CAF), et la 14e place occupée en début de saison, l'équipe de Aïn El Fouara revient petit à petit et remporte le titre honorifique d'hiver qu'elle préserve par la suite jusqu'au bout. L'effet Geiger Malgré toutes les difficultés, Geiger qui a pris les commandes en septembre 2011, a réussi à révolutionner l'équipe en la menant à la huitième consécration en Coupe d'Algérie. Sa mission qui consistait à remobiliser le groupe qui commençait à perdre tout espoir, n'était pas de tout repos. Avec son expérience, l'ex-technicien de la JS Kabylie, a pu remettre les choses sur la bonne voie. Quand il est arrivé à Sétif, le club était en pleine crise. L'objectif assigné par les dirigeants de cette formation à Geiger consiste à construire une équipe d'avenir, d'autant que l'effectif est composé de plusieurs jeunes joueurs recrutés des divisions inférieurs, après le départ massif des cadres. Avant l'arrivée de Geiger à la barre technique, l'équipe Sétifienne se morfondait aux dernières places au classement général. Le Suisse avec son caractère offensif, a pu métamorphoser cette équipe et réussi la mener Djabou et ses camarades à la plus haute marche du podium du championnat, et lui offrir un nouveau trophée en coupe d'Algérie. Dès lors, à Sétif et un peu partout en Algérie, on parle de l'empreinte Geiger qui avait déjà fait ses preuves lors de son passage à la JSK en menant le club en 2010 au dernier carré de la Ligue des champions africaine. Au lieu de courir derrière les éléments qui sortent de l'eau chaque saison, les clubs doivent donner plus d'importance pour le technicien. Avec trois points d'avance sur la JSM Béjaïa, l'Entente ne peut plus être rejointe au classement à une journée de l'épilogue de la compétition, quel que soit le résultat de sa dernière rencontre face à l'USM Alger, prévue samedi prochain au stade Omar-Hamadi de Bologhine, et ceci grâce à une meilleure différence de buts obtenue sur l'ensemble des matches joués lors de la phase aller du championnat. Les poulains du technicien suisse, Alain Geiger, comptent désormais une différence de 9 buts contre 5 pour le dauphin JSM Béjaïa. En dépit de toutes les difficultés qui a rencontré le club cette saison, le club phare de la capitale des Hauts-Plateaux a réussi à remporter le doublé. Malgré la concurrence rude au titre, menée au début par plusieurs clubs à savoir l'ASO Chlef, le CR Belouizdad, l'USM Alger et la JSM Bejaia, l'Entente de Sétif a su comment gérer son parcours. Pourtant, en début de saison on ne s'attendait guère à un tel scénario, puisque personne ne donnait cher de la peau de cette équipe notamment après le départ en cascade de ses cadres à l'image de portier Chaouchi, Yekhlef, Laifaoui, Lemouchia, Metref, Hemani, Bouazza et Hadj Aïssa. Après un début de saison médiocre, marqué par l'élimination prématurée en coupe de la confédération africaine de football (CAF), et la 14e place occupée en début de saison, l'équipe de Aïn El Fouara revient petit à petit et remporte le titre honorifique d'hiver qu'elle préserve par la suite jusqu'au bout. L'effet Geiger Malgré toutes les difficultés, Geiger qui a pris les commandes en septembre 2011, a réussi à révolutionner l'équipe en la menant à la huitième consécration en Coupe d'Algérie. Sa mission qui consistait à remobiliser le groupe qui commençait à perdre tout espoir, n'était pas de tout repos. Avec son expérience, l'ex-technicien de la JS Kabylie, a pu remettre les choses sur la bonne voie. Quand il est arrivé à Sétif, le club était en pleine crise. L'objectif assigné par les dirigeants de cette formation à Geiger consiste à construire une équipe d'avenir, d'autant que l'effectif est composé de plusieurs jeunes joueurs recrutés des divisions inférieurs, après le départ massif des cadres. Avant l'arrivée de Geiger à la barre technique, l'équipe Sétifienne se morfondait aux dernières places au classement général. Le Suisse avec son caractère offensif, a pu métamorphoser cette équipe et réussi la mener Djabou et ses camarades à la plus haute marche du podium du championnat, et lui offrir un nouveau trophée en coupe d'Algérie. Dès lors, à Sétif et un peu partout en Algérie, on parle de l'empreinte Geiger qui avait déjà fait ses preuves lors de son passage à la JSK en menant le club en 2010 au dernier carré de la Ligue des champions africaine. Au lieu de courir derrière les éléments qui sortent de l'eau chaque saison, les clubs doivent donner plus d'importance pour le technicien.
