Alger est reconnue comme la troisième ville la plus sale au monde. Quelle honteuse ou plutôt sale référence ! On se disait que Naples croulait sous les ordures, Alger lui fait la concurrence. Les niches à ordures débordent de partout, et l'incivisme des citoyens est criant. Les services des APC qui ont en charge l‘assainissement devraient assurer en premier lieu correctement le ramassage des ordures ménagères et ensuite instituer des horaires de dépôt et verbaliser les résidents récalcitrants. Une police de l'environnement pour sanctionner les locataires de cités qui entreprennent des travaux de réaménagement laissant n'importe où leurs gravats. Les entrées d'immeubles servent d'urinoir les escaliers sont jonchés d'immondices sans que cela ne dérange les locataires, considérant qu'au-delà du seuil de leur porte ce n'est plus chez eux. Le spectacle est déplorable voire davantage humiliant. L'incivisme chronique se remarque sur les plages où les estivants laissent leurs restes de victuailles et bouteilles en plastique à même le sable, la campagne des "éboueurs de la mer" menée tambour battant n'a pas eu l'impact escompté. Entre la négligence des autorités et le manque de civisme des citoyens il n'y a de la place que pour un «Alger» laid, sale et repoussant. C'est bien beau de penser à enjoliver la capitale en plantant des palmiers en bordure des autoroutes ainsi que des fleurs au niveau des ronds-points de quartiers résidentiels, il faudrait penser à faire un travail de fond dans ces innombrables cités dortoirs où les vides sanitaires font le nid des moustiques, les vieux quartiers d'Alger envahis par les gros cafards et les rats. Le marché informel en a rajouté une couche et Netcom met une dernière touche en balançant n'importe comment les bacs à ordures tout aussi crasseux. Pour redonner son look d'antan qui faisait qu'on l'appelait «Alger la blanche», pouvoirs publics et citoyens réunis devraient nettoyer les écuries d'Augias, et au karcher s'il vous plaît ! Alger est reconnue comme la troisième ville la plus sale au monde. Quelle honteuse ou plutôt sale référence ! On se disait que Naples croulait sous les ordures, Alger lui fait la concurrence. Les niches à ordures débordent de partout, et l'incivisme des citoyens est criant. Les services des APC qui ont en charge l‘assainissement devraient assurer en premier lieu correctement le ramassage des ordures ménagères et ensuite instituer des horaires de dépôt et verbaliser les résidents récalcitrants. Une police de l'environnement pour sanctionner les locataires de cités qui entreprennent des travaux de réaménagement laissant n'importe où leurs gravats. Les entrées d'immeubles servent d'urinoir les escaliers sont jonchés d'immondices sans que cela ne dérange les locataires, considérant qu'au-delà du seuil de leur porte ce n'est plus chez eux. Le spectacle est déplorable voire davantage humiliant. L'incivisme chronique se remarque sur les plages où les estivants laissent leurs restes de victuailles et bouteilles en plastique à même le sable, la campagne des "éboueurs de la mer" menée tambour battant n'a pas eu l'impact escompté. Entre la négligence des autorités et le manque de civisme des citoyens il n'y a de la place que pour un «Alger» laid, sale et repoussant. C'est bien beau de penser à enjoliver la capitale en plantant des palmiers en bordure des autoroutes ainsi que des fleurs au niveau des ronds-points de quartiers résidentiels, il faudrait penser à faire un travail de fond dans ces innombrables cités dortoirs où les vides sanitaires font le nid des moustiques, les vieux quartiers d'Alger envahis par les gros cafards et les rats. Le marché informel en a rajouté une couche et Netcom met une dernière touche en balançant n'importe comment les bacs à ordures tout aussi crasseux. Pour redonner son look d'antan qui faisait qu'on l'appelait «Alger la blanche», pouvoirs publics et citoyens réunis devraient nettoyer les écuries d'Augias, et au karcher s'il vous plaît !
