Angela Merkel a affirmé son désaccord avec le Premier ministre israélien Netanyahu sur les projets d'expansion de colonies à Jérusalem et en Cisjordanie, lors d'une conférence de presse jeudi à Berlin. "Sur la question des colonies, nous sommes d'accord pour dire que nous ne sommes pas d'accord", a dit Angela Merkel, après avoir rencontré Benyamin Netanyahu et ses ministres à la chancellerie. Elle a cependant souligné qu'il s'agissait de la recommandation d'un pays ami. "Israël prend ses décisions lui-même. Nous ne pouvons que donner une recommandation", a-t-elle dit. "Je n'ai pas changé de politique. C'est une vieille politique", a répondu Benyamin Netanyahu, qui a essuyé de vives critiques internationales sur les projets d'élargissement de colonies juives dans les territoires palestiniens. "Je pense que la racine du poblème, ce ne sont pas les colonies. J'espère que nous allons engager une discussion sur une co-existence mutuelle, une paix mutuelle, avec au moins une partie des Palestiniens", a-t-il dit. "Je n'y ai pas renoncé. Nous ne renonçons pas si vite", a-t-il insisté. Rappelant une constante de la politique allemande, Angela Merkel a déclaré que la sécurité d'Israël était pour l'Allemagne "une partie de sa raison d'Etat". Et d'ajouter que les deux dirigeants avaient discuté pour "voir comment l'améliorer". "Nous pensons que les efforts pour une solution allant vers deux Etats - l'un hébreu, l'autre palestinien - doivent être poursuivis", a-t-elle dit, appelant à un retour à la table des négociations. Angela Merkel a affirmé son désaccord avec le Premier ministre israélien Netanyahu sur les projets d'expansion de colonies à Jérusalem et en Cisjordanie, lors d'une conférence de presse jeudi à Berlin. "Sur la question des colonies, nous sommes d'accord pour dire que nous ne sommes pas d'accord", a dit Angela Merkel, après avoir rencontré Benyamin Netanyahu et ses ministres à la chancellerie. Elle a cependant souligné qu'il s'agissait de la recommandation d'un pays ami. "Israël prend ses décisions lui-même. Nous ne pouvons que donner une recommandation", a-t-elle dit. "Je n'ai pas changé de politique. C'est une vieille politique", a répondu Benyamin Netanyahu, qui a essuyé de vives critiques internationales sur les projets d'élargissement de colonies juives dans les territoires palestiniens. "Je pense que la racine du poblème, ce ne sont pas les colonies. J'espère que nous allons engager une discussion sur une co-existence mutuelle, une paix mutuelle, avec au moins une partie des Palestiniens", a-t-il dit. "Je n'y ai pas renoncé. Nous ne renonçons pas si vite", a-t-il insisté. Rappelant une constante de la politique allemande, Angela Merkel a déclaré que la sécurité d'Israël était pour l'Allemagne "une partie de sa raison d'Etat". Et d'ajouter que les deux dirigeants avaient discuté pour "voir comment l'améliorer". "Nous pensons que les efforts pour une solution allant vers deux Etats - l'un hébreu, l'autre palestinien - doivent être poursuivis", a-t-elle dit, appelant à un retour à la table des négociations.