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Conventions avec des institutions françaises, béninoise et tunisienne
Association ken ya maken, Formation de jeunes conteurs
Publié dans Le Midi Libre le 24 - 12 - 2012

Des conventions, pour la formation des conteurs algériens, ont été signées avec, respectivement, les institutions L'Art du récit de Grenoble en France, Le Centre d'art de Lyon toujours en France, Le Conservatoire du Bénin et L'Association tunisienne Dounya Al Hikaya.
Des conventions, pour la formation des conteurs algériens, ont été signées avec, respectivement, les institutions L'Art du récit de Grenoble en France, Le Centre d'art de Lyon toujours en France, Le Conservatoire du Bénin et L'Association tunisienne Dounya Al Hikaya.
Quatre conventions ont été signées, à Constantine, entre l'association Ken ya maken et deux institutions françaises, une institution béninoise et une autre tunisienne, cela pour la formation de jeunes conteurs algériens, a indiqué à l'APS, Fayçal Ahmed Raïs, président de Ken ya maken.
Fayçal Ahmed Raïs, qui a organisé ''Les journées internationales du Conte'' à Constantine, a précisé que ces conventions ont été passées avec, respectivement, les institutions L'Art du récit de Grenoble en France,
Le Centre d'art de Lyon toujours en France, Le Conservatoire du Bénin et L'Association tunisienne Dounya Al Hikaya. Des formateurs de ces centres devront assurer pour les quinze jeunes âgés entre 15 et 30 ans et treize enfants de 7 à 12 ans, lauréats du casting lancé par l'association Ken ya ma Ken, des sessions de formation sur l'art de raconter des histoires et reprendre des légendes.
D'une durée d'une année, la formation répartie en stage mensuel d'une dizaine de jours axera, selon Fayçal Ahmed Raïs, sur la diction, la scénographie, la portée de la voix ainsi que la fiction et se déroulera au conservatoire communal de Constantine.
La formation, qui se fera en langue française et en langue arabe, visera à former des conteurs professionnels aptes à se produire sur scène et à promouvoir les histoires des terroirs et les légendes du monde.
Fayçal Ahmed Raïs a souligné, dans ce contexte, la valeur pédagogique du conte qui développe la mémoire et incite à la lecture, a-t-il soutenu, citant l'exemple de ces treize enfants sélectionnés par le casting, qui ont pu "affronter" avec succès une salle exigeante et un public averti.
La clôture des rencontres internationales du conte, tenues au Théâtre régional de Constantine, a été marquée par la présence d'un public nombreux, composé surtout de familles.
Les Françaises, Martine Caillat et Claire Granjon, les Tunisiens Icharak Matar et Sadek Trabelssi ont pu captiver l'assistance du TRC, enchantée par la magie de la parole qui transporte l'auditeur dans un monde merveilleux, créé par l'art de la parole, du silence et du geste du narrateur.
Des contes algériens
et béninois prochainement édités à Constantine
L'Association Kan ya maken de Constantine et le Conservatoire du Bénin, institution chargée de la promotion des arts dans ce pays, vont éditer prochainement un livre de contes algériens et béninois, dans le cadre d'une coopération culturelle bilatérale.
"L'équipe chargée de mettre en œuvre ce projet met actuellement les dernières retouches à la maquette de l'ouvrage destiné à relancer l'intérêt pour la culture orale, en croisant le patrimoine de la région de Constantine avec celui d'un pays de l'Afrique noire, pour permettre au lecteur de découvrir les richesses culturelles du continent et de mettre en exergue l'universalité du conte", a annoncé jeudi soir, le président de l'association, Fayçal Ahmed Raïs, en marge de la clôture des journées internationales du conte.
L'Association Kan ya maken s'occupe depuis trois ans, de collecter et d'enregistrer les contes et la tradition orale dans la région de Constantine, auprès de personnes qui ont pu mémoriser ce patrimoine transmis par les anciens.
La première édition du livre sera en langue française et sera suivie par une édition en langue arabe, a précisé Fayçal Ahmed Raïs. De son côté Christine Adjahi, conteuse béninois, a souligné que l'ouvrage comportera des histoires et des légendes du Bénin, affirmant qu'une telle coopération permet de rapprocher deux cultures africaines qui ont beaucoup de valeurs à partager. Christine Adjahi, conteuse béninoise, docteur en histoire et en géographie, est connue par ses travaux et ses efforts consacrés à la valorisation de la culture orale de son pays et par son souci de rendre sa place et son importance à la sagesse africaine que véhiculent les contes et les légendes.
Quatre conventions ont été signées, à Constantine, entre l'association Ken ya maken et deux institutions françaises, une institution béninoise et une autre tunisienne, cela pour la formation de jeunes conteurs algériens, a indiqué à l'APS, Fayçal Ahmed Raïs, président de Ken ya maken.
Fayçal Ahmed Raïs, qui a organisé ''Les journées internationales du Conte'' à Constantine, a précisé que ces conventions ont été passées avec, respectivement, les institutions L'Art du récit de Grenoble en France,
Le Centre d'art de Lyon toujours en France, Le Conservatoire du Bénin et L'Association tunisienne Dounya Al Hikaya. Des formateurs de ces centres devront assurer pour les quinze jeunes âgés entre 15 et 30 ans et treize enfants de 7 à 12 ans, lauréats du casting lancé par l'association Ken ya ma Ken, des sessions de formation sur l'art de raconter des histoires et reprendre des légendes.
D'une durée d'une année, la formation répartie en stage mensuel d'une dizaine de jours axera, selon Fayçal Ahmed Raïs, sur la diction, la scénographie, la portée de la voix ainsi que la fiction et se déroulera au conservatoire communal de Constantine.
La formation, qui se fera en langue française et en langue arabe, visera à former des conteurs professionnels aptes à se produire sur scène et à promouvoir les histoires des terroirs et les légendes du monde.
Fayçal Ahmed Raïs a souligné, dans ce contexte, la valeur pédagogique du conte qui développe la mémoire et incite à la lecture, a-t-il soutenu, citant l'exemple de ces treize enfants sélectionnés par le casting, qui ont pu "affronter" avec succès une salle exigeante et un public averti.
La clôture des rencontres internationales du conte, tenues au Théâtre régional de Constantine, a été marquée par la présence d'un public nombreux, composé surtout de familles.
Les Françaises, Martine Caillat et Claire Granjon, les Tunisiens Icharak Matar et Sadek Trabelssi ont pu captiver l'assistance du TRC, enchantée par la magie de la parole qui transporte l'auditeur dans un monde merveilleux, créé par l'art de la parole, du silence et du geste du narrateur.
Des contes algériens
et béninois prochainement édités à Constantine
L'Association Kan ya maken de Constantine et le Conservatoire du Bénin, institution chargée de la promotion des arts dans ce pays, vont éditer prochainement un livre de contes algériens et béninois, dans le cadre d'une coopération culturelle bilatérale.
"L'équipe chargée de mettre en œuvre ce projet met actuellement les dernières retouches à la maquette de l'ouvrage destiné à relancer l'intérêt pour la culture orale, en croisant le patrimoine de la région de Constantine avec celui d'un pays de l'Afrique noire, pour permettre au lecteur de découvrir les richesses culturelles du continent et de mettre en exergue l'universalité du conte", a annoncé jeudi soir, le président de l'association, Fayçal Ahmed Raïs, en marge de la clôture des journées internationales du conte.
L'Association Kan ya maken s'occupe depuis trois ans, de collecter et d'enregistrer les contes et la tradition orale dans la région de Constantine, auprès de personnes qui ont pu mémoriser ce patrimoine transmis par les anciens.
La première édition du livre sera en langue française et sera suivie par une édition en langue arabe, a précisé Fayçal Ahmed Raïs. De son côté Christine Adjahi, conteuse béninois, a souligné que l'ouvrage comportera des histoires et des légendes du Bénin, affirmant qu'une telle coopération permet de rapprocher deux cultures africaines qui ont beaucoup de valeurs à partager. Christine Adjahi, conteuse béninoise, docteur en histoire et en géographie, est connue par ses travaux et ses efforts consacrés à la valorisation de la culture orale de son pays et par son souci de rendre sa place et son importance à la sagesse africaine que véhiculent les contes et les légendes.


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