Rahmani a conduit la délégation algérienne aux travaux de la 2e session extraordinaire de la conférence générale de l'Onudi. Rahmani a conduit la délégation algérienne aux travaux de la 2e session extraordinaire de la conférence générale de l'Onudi. Il a mis en exergue l'"attachement de l'Algérie au mandat et aux objectifs de l'Onudi en appelant les Etats membres à accompagner les efforts du nouveau directeur général pour aider l'organisation à relever les défis induits par le contexte économique et financer international actuel", indique un communiqué de l'ambassade d'Algérie à Vienne. Le Chinois Li Yong a été élu vendredi dernier à Vienne à la tête de l'Organisation des Nations unies pour le développement industriel (Onudi) au cours d'une session extraordinaire tenue en présence du ministre de l'Industrie, de la PME et de la Promotion de l'investissement, Chérif Rahmani. M. Yong succède au Sierra-Lieonais Kandeh Yumkella, qui dirigeait l'institution onusienne depuis décembre 2005 et devient ainsi le 7e directeur général de l'Onudi, le premier Chinois à occuper ce poste. Au cours de cette conférence, M. Rahmani s'est entretenu avec M. Yong, qui occupe également le poste de vice-ministre chinois des Finances. Il a réitéré "le soutien de l'Algérie pour les actions qui seront engagées en lui rappelant les traditions de coopération et d'amitié entre l'Algérie et la Chine", selon le communiqué. Il est à noter que M. Yong était en concurrence avec cinq autres candidats d'Afghanistan, du Cambodge, d'Italie, de Pologne et de Thaïlande. Son mandat de quatre ans n'est renouvelable qu'une seule fois. Agé de 63 ans, Li Yong est un économiste et financier chinois, qui a été membre du Comité de la politique monétaire de la Banque centrale chinoise pendant près d'une décennie. Créé en 1966 comme organe autonome des Nations unies, l'Onudi est basé à Vienne. Son premier directeur général avait été l'Egyptien Ibrahim Helmi Abdel-Rahman jusqu'en 1975. Sa mission est de promouvoir et d'accélérer la croissance industrielle durable des pays en développement et des économies en transition et d'œuvrer à l'amélioration des conditions de vie des pays les plus pauvres dans le monde en mobilisant ses ressources et ses compétences internationales. Il a mis en exergue l'"attachement de l'Algérie au mandat et aux objectifs de l'Onudi en appelant les Etats membres à accompagner les efforts du nouveau directeur général pour aider l'organisation à relever les défis induits par le contexte économique et financer international actuel", indique un communiqué de l'ambassade d'Algérie à Vienne. Le Chinois Li Yong a été élu vendredi dernier à Vienne à la tête de l'Organisation des Nations unies pour le développement industriel (Onudi) au cours d'une session extraordinaire tenue en présence du ministre de l'Industrie, de la PME et de la Promotion de l'investissement, Chérif Rahmani. M. Yong succède au Sierra-Lieonais Kandeh Yumkella, qui dirigeait l'institution onusienne depuis décembre 2005 et devient ainsi le 7e directeur général de l'Onudi, le premier Chinois à occuper ce poste. Au cours de cette conférence, M. Rahmani s'est entretenu avec M. Yong, qui occupe également le poste de vice-ministre chinois des Finances. Il a réitéré "le soutien de l'Algérie pour les actions qui seront engagées en lui rappelant les traditions de coopération et d'amitié entre l'Algérie et la Chine", selon le communiqué. Il est à noter que M. Yong était en concurrence avec cinq autres candidats d'Afghanistan, du Cambodge, d'Italie, de Pologne et de Thaïlande. Son mandat de quatre ans n'est renouvelable qu'une seule fois. Agé de 63 ans, Li Yong est un économiste et financier chinois, qui a été membre du Comité de la politique monétaire de la Banque centrale chinoise pendant près d'une décennie. Créé en 1966 comme organe autonome des Nations unies, l'Onudi est basé à Vienne. Son premier directeur général avait été l'Egyptien Ibrahim Helmi Abdel-Rahman jusqu'en 1975. Sa mission est de promouvoir et d'accélérer la croissance industrielle durable des pays en développement et des économies en transition et d'œuvrer à l'amélioration des conditions de vie des pays les plus pauvres dans le monde en mobilisant ses ressources et ses compétences internationales.
