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101 projets inscrits avant 2005 non encore lancés
Tizi-Ouzou, développement sectoriel
Publié dans Le Midi Libre le 07 - 09 - 2013

Le wali a déclaré ''irrecevable'' l'argument de ''blocage'' par les services financiers invoqué par certaines communes pour justifier leur inertie...
Le wali a déclaré ''irrecevable'' l'argument de ''blocage'' par les services financiers invoqué par certaines communes pour justifier leur inertie...
Pas moins de cent un (101) projets de développement sectoriel, inscrits bien avant l'année 2005 à l'indicatif de la wilaya de Tizi-Ouzou, n'ont toujours pas vu leurs travaux de réalisation lancés à ce jour, a déploré le wali de Tizi- Abdelkader Bouazghi a en outre précisé lors d'une réunion du conseil exécutif de wilaya, élargie aux chefs de daïras, consacrée à l'évaluation des préparatifs des rentrées scolaire et sociale que
"Certaines de ces opérations relevant de divers secteurs, dont notamment ceux du logement et des équipements publics (Dlep) et de la direction de l'administration locale (Dal), trainent depuis les années 97 et 98 et attendent toujours d'être concrétisées". Selon une présentation faite par le chef de l'exécutif, la wilaya de Tizi-Ouzou gère actuellement, tous secteurs confondus, un portefeuille de 1.067 opérations de développement sectoriel (PSD), dont seulement 288 menées à terme, alors que le reste est cours de réalisation ou attend d'être lancé.
La valeur globale de ce programme sectoriel en cours d'exécution est estimée à plus 220 milliards DA, dont 80 mds mis à la disposition de la (Dlep), soit plus du tiers de la valeur du programme global.
Dans son évaluation de l'état d'exécution des programmes sectoriels alloués à la wilaya durant la période allant de 2009 à 2013 , le wali a fait état de 236 projets non lancés en réalisation à ce jour.
S'adressant aux directeurs exécutifs concernés par cette "cette faible performance" en matière de conduite de la concrétisation des investissements publics, M.Bouazghi a qualifié cette situation d'''inconcevable et ne saurait se justifier par un quelconque argument, dès lors que tous les moyens de travail sont mis à (leur) disposition''.
En tançant ces responsables, le wali a estimé, néanmoins, que le retard accusé dans la conduite des projets est ''rattrapable'', pour peu, a t-il dit, qu'"on mette du cœur à l'ouvrage". En matière de consommation des dotations budgétaires allouées aux communes au titre des Plans communaux de développement (PCD) de la tranche annuelle 2013, le wali a relevé, à la lumière d'un bilan comparatif des 67 communes, des taux d'exécution variant de 0 à 100% d'une commune à l'autre.
Dans son commentaire de cette situation, M. Bouazghi a fait remarquer que ''ce sont toujours les mêmes communes qui travaillent et ce sont toujours les mêmes communes qui ne travaillent pas'', en citant l'exemple de la commune de Beni Douala qui a fait du 100%, alors que celle de Aïn El- Hammam se situe à l'antipode de cette situation avec 0% de budget consommé.
Interprétant cet état de faits, le wali a déclaré ''irrecevable'' l'argument de ''blocage'' par les services financiers (contrôle financier et trésor) invoqué par certaines communes en guise de justification de leur inertie, estimant, à cet égard, en s'adressant aux maires concernés que ''la vraie raison est à chercher ailleurs, en ayant le courage de se remettre en cause pour rattraper le temps perdu, car le contexte et les conditions de travail sont les mêmes pour toutes les communes. Les résultats des uns et des autres parlent d'eux-mêmes'', a-t-il observé.
Pas moins de cent un (101) projets de développement sectoriel, inscrits bien avant l'année 2005 à l'indicatif de la wilaya de Tizi-Ouzou, n'ont toujours pas vu leurs travaux de réalisation lancés à ce jour, a déploré le wali de Tizi- Abdelkader Bouazghi a en outre précisé lors d'une réunion du conseil exécutif de wilaya, élargie aux chefs de daïras, consacrée à l'évaluation des préparatifs des rentrées scolaire et sociale que
"Certaines de ces opérations relevant de divers secteurs, dont notamment ceux du logement et des équipements publics (Dlep) et de la direction de l'administration locale (Dal), trainent depuis les années 97 et 98 et attendent toujours d'être concrétisées". Selon une présentation faite par le chef de l'exécutif, la wilaya de Tizi-Ouzou gère actuellement, tous secteurs confondus, un portefeuille de 1.067 opérations de développement sectoriel (PSD), dont seulement 288 menées à terme, alors que le reste est cours de réalisation ou attend d'être lancé.
La valeur globale de ce programme sectoriel en cours d'exécution est estimée à plus 220 milliards DA, dont 80 mds mis à la disposition de la (Dlep), soit plus du tiers de la valeur du programme global.
Dans son évaluation de l'état d'exécution des programmes sectoriels alloués à la wilaya durant la période allant de 2009 à 2013 , le wali a fait état de 236 projets non lancés en réalisation à ce jour.
S'adressant aux directeurs exécutifs concernés par cette "cette faible performance" en matière de conduite de la concrétisation des investissements publics, M.Bouazghi a qualifié cette situation d'''inconcevable et ne saurait se justifier par un quelconque argument, dès lors que tous les moyens de travail sont mis à (leur) disposition''.
En tançant ces responsables, le wali a estimé, néanmoins, que le retard accusé dans la conduite des projets est ''rattrapable'', pour peu, a t-il dit, qu'"on mette du cœur à l'ouvrage". En matière de consommation des dotations budgétaires allouées aux communes au titre des Plans communaux de développement (PCD) de la tranche annuelle 2013, le wali a relevé, à la lumière d'un bilan comparatif des 67 communes, des taux d'exécution variant de 0 à 100% d'une commune à l'autre.
Dans son commentaire de cette situation, M. Bouazghi a fait remarquer que ''ce sont toujours les mêmes communes qui travaillent et ce sont toujours les mêmes communes qui ne travaillent pas'', en citant l'exemple de la commune de Beni Douala qui a fait du 100%, alors que celle de Aïn El- Hammam se situe à l'antipode de cette situation avec 0% de budget consommé.
Interprétant cet état de faits, le wali a déclaré ''irrecevable'' l'argument de ''blocage'' par les services financiers (contrôle financier et trésor) invoqué par certaines communes en guise de justification de leur inertie, estimant, à cet égard, en s'adressant aux maires concernés que ''la vraie raison est à chercher ailleurs, en ayant le courage de se remettre en cause pour rattraper le temps perdu, car le contexte et les conditions de travail sont les mêmes pour toutes les communes. Les résultats des uns et des autres parlent d'eux-mêmes'', a-t-il observé.


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