Le sport doit être un véritable moyen de lutte contre la violence à l'égard des enfants, c'est ce qu'a déclaré le défenseur international algérien, Madjid Bougherra, ambassadeur de l'Unicef en Algérie, à l'occasion d'un match gala organisé samedi au stade d'El-Biar à Alger. Le sport doit être un véritable moyen de lutte contre la violence à l'égard des enfants, c'est ce qu'a déclaré le défenseur international algérien, Madjid Bougherra, ambassadeur de l'Unicef en Algérie, à l'occasion d'un match gala organisé samedi au stade d'El-Biar à Alger. Ce match entre dans le cadre de la campagne nationale "Lutter contre la violence à l'égard des enfants : rendre visible l'invisible", lancée le mois de décembre dernier par le Fonds des Nations unies pour l'enfance (Unicef) en Algérie, en partenariat avec le ministère de la Jeunesse et des Sports, avec la participation de Madjid Bougherra et Salima Souakri, tous deux ambassadeurs de l'Unicef en Algérie. "Je suis très heureux de participer à ce match gala qui vise principalement à inciter les citoyens et les pouvoirs publics à se mobiliser ensemble contre les violences que subissent les enfants au quotidien", a déclaré à la presse Madjid Bougherra, en marge de la rencontre organisée au stade d'El-Biar entre des jeunes de 15 à 18 ans rapporte l'APS. Pour le défenseur algérien de l'équipe qatarie de football de Lekhwiya, "ces actions s'articulent autour de l'organisation de rencontres de sensibilisation et de diffusion de brochures visant la promotion des droits de l'enfant ainsi que l'organisation de colonies de vacances au profit des enfants victimes de violence", a-t-il ajouté. De son côté, l'ex-championne algérienne de judo Salima Souakri, également ambassadrice de bonne volonté de l'Unicef en Algérie, s'est dit "très attachée à cette initiative qui, depuis son lancement, a touché des domaines très sensibles dans notre société". "L'objectif est de mettre en place un espace de dialogue et d'expression pour les enfants, d'établir des dispositifs de lutte contre toutes les formes de maltraitance et de violence exercées à l'encontre des enfants. Le sport est le seul outil valable pour combattre ce phénomène. Nous avons l'obligation de mener ce genre de campagnes pour dire Stop à la violence à l'égard des enfants", a ajouté Salima Souakri. Le représentant de l'Unicef en Algérie, Thomas Davin a indiqué que cette "campagne a été lancée le mois de décembre 2013 par le Réseau algérien pour la défense des droits des enfants (NADA), le ministère de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Condition de la femme, le ministère de l'Education nationale et d'autres partenaires institutionnels". "Il faut faire du sport un véritable outil de lutte contre la violence à l'égard des enfants et pouvoir dire Stop à des pratiques de plus en plus dramatiques", a indiqué M. Davin. Le représentant de la fondation onusienne pour les droits des enfants en Algérie a ajouté qu'en "Algérie, et d'une manière générale, la protection de l'enfance et de l'adolescence relève des dispositions constitutionnelles qui garantissent la protection du citoyen en général. D'une manière particulière, elle est assurée par des dispositions consacrées par des textes législatifs et réglementaires spécifiques". "L'Algérie a enregistré plusieurs initiatives importantes prises par la société civile, représentée par le mouvement associatif pour lutter contre la violence à l'égard des enfants. Cette dimension est intégrée parmi les objectifs de 47 associations dont 9 nationales qui s'occupent de l'enfance ou de la prise en charge des victimes du terrorisme ou de la promotion de la paix et de la fraternité au sein de la société", a-t-il conclu. Ce match gala a été rehaussé par la présence du ministre de la Jeunesse et des Sports, Mohamed Tahmi et des représentants des autorités locales de la wilaya d'Alger. Ce match entre dans le cadre de la campagne nationale "Lutter contre la violence à l'égard des enfants : rendre visible l'invisible", lancée le mois de décembre dernier par le Fonds des Nations unies pour l'enfance (Unicef) en Algérie, en partenariat avec le ministère de la Jeunesse et des Sports, avec la participation de Madjid Bougherra et Salima Souakri, tous deux ambassadeurs de l'Unicef en Algérie. "Je suis très heureux de participer à ce match gala qui vise principalement à inciter les citoyens et les pouvoirs publics à se mobiliser ensemble contre les violences que subissent les enfants au quotidien", a déclaré à la presse Madjid Bougherra, en marge de la rencontre organisée au stade d'El-Biar entre des jeunes de 15 à 18 ans rapporte l'APS. Pour le défenseur algérien de l'équipe qatarie de football de Lekhwiya, "ces actions s'articulent autour de l'organisation de rencontres de sensibilisation et de diffusion de brochures visant la promotion des droits de l'enfant ainsi que l'organisation de colonies de vacances au profit des enfants victimes de violence", a-t-il ajouté. De son côté, l'ex-championne algérienne de judo Salima Souakri, également ambassadrice de bonne volonté de l'Unicef en Algérie, s'est dit "très attachée à cette initiative qui, depuis son lancement, a touché des domaines très sensibles dans notre société". "L'objectif est de mettre en place un espace de dialogue et d'expression pour les enfants, d'établir des dispositifs de lutte contre toutes les formes de maltraitance et de violence exercées à l'encontre des enfants. Le sport est le seul outil valable pour combattre ce phénomène. Nous avons l'obligation de mener ce genre de campagnes pour dire Stop à la violence à l'égard des enfants", a ajouté Salima Souakri. Le représentant de l'Unicef en Algérie, Thomas Davin a indiqué que cette "campagne a été lancée le mois de décembre 2013 par le Réseau algérien pour la défense des droits des enfants (NADA), le ministère de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Condition de la femme, le ministère de l'Education nationale et d'autres partenaires institutionnels". "Il faut faire du sport un véritable outil de lutte contre la violence à l'égard des enfants et pouvoir dire Stop à des pratiques de plus en plus dramatiques", a indiqué M. Davin. Le représentant de la fondation onusienne pour les droits des enfants en Algérie a ajouté qu'en "Algérie, et d'une manière générale, la protection de l'enfance et de l'adolescence relève des dispositions constitutionnelles qui garantissent la protection du citoyen en général. D'une manière particulière, elle est assurée par des dispositions consacrées par des textes législatifs et réglementaires spécifiques". "L'Algérie a enregistré plusieurs initiatives importantes prises par la société civile, représentée par le mouvement associatif pour lutter contre la violence à l'égard des enfants. Cette dimension est intégrée parmi les objectifs de 47 associations dont 9 nationales qui s'occupent de l'enfance ou de la prise en charge des victimes du terrorisme ou de la promotion de la paix et de la fraternité au sein de la société", a-t-il conclu. Ce match gala a été rehaussé par la présence du ministre de la Jeunesse et des Sports, Mohamed Tahmi et des représentants des autorités locales de la wilaya d'Alger.
