« Les droits socio- économiques de la femme » a été le thème central de la journée parlementaire organisée hier par la commission des affaires juridiques de l'APN. Cela a été une grande opportunité pour faire le constat des acquis déjà réalisés et d'engager la réflexion sur ce qu'i faut faire pour persévérer dans cette voie. « Les droits socio- économiques de la femme » a été le thème central de la journée parlementaire organisée hier par la commission des affaires juridiques de l'APN. Cela a été une grande opportunité pour faire le constat des acquis déjà réalisés et d'engager la réflexion sur ce qu'i faut faire pour persévérer dans cette voie. «Le vrai changement, le changement culturel, s'appuie sur la famille. Il faut qu'il y ait de la place pour la femme au sein de la famille à travers l'égalité entre les garçons et les filles» dira le président de l'APN, Mohamed Larbi Ould Khelifa, dans son allocution d'ouverture des travaux de cette journée parlementaire. Pour le président de la chambre basse « la ségrégation sur la base du sexe est une ségrégation raciste dans le pays. Elle est rejetée par notre société » ajoutant qu'au 21 é siècle « il n'est pas possible pour notre pays d'avancer en s'appuyant sur une seule béquille car cela traduirait un grand échec ». L'intervenant , cela dit , a évoqué les avancées réalisées par la société en estimant que la femme a fait des pas géants comme l'atteste sa présence dans l'assemblée . « La loi qui a imposé le quota de 30% n'est pour moi qu'une clé qui a permis à la femme de s'affirmer davantage » a indiqué Ould Khalifa pour qui « la femme, qui représente la moitié de la société, est un partenaire ». Le président de l'APN cite l'exemple de la parité dans les salaires en Algérie ou, contrairement à certains pays comme l'Allemagne, la femme perçoit le même salaire que les hommes dans tous les postes de travail et de responsabilité. Il dira en outre qu' il y a eu beaucoup de réalisations, mais a admis qu'i faut aussi persévérer et aller vers le changement des mentalités . « S'il y a eu des avancées cela est dû, incontestablement, au combat mené par la femme » estime Ould Khelifa qui a salué dans ce contexte le rôle des associations de femmes. De son côté, Souad Bendjaballah, ministre de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Condition de la femme, a d'emblée considéré que la création du Conseil national de la famille et de la femme constitue le cadre idoine pour la réflexion et la coordination avec l'institution exécutive et législative s'agissant des questions relatives à la femme. «Tous les droits de la femme sont complémentaires en ce sens q'il n'y a pas de droits économiques, culturelles sans les droits politiques » a soutenu Souad Bendjaballah. Et de préciser que « ces droits ne peuvent être concrétisés sur le terrain en l'absence de stabilité et sécurité » en ajoutant, toutefois, que « malgré tout les droits acquis, qui sont énoncés dans la Constitution et les lois de la République, il y a eu des tentatives d'exclusion de la femme du droit à la scolarité, à l'accès à l'emploi ...etc ». La représentante du gouvernement n'a pas omis de faire mention de la présence des femmes dans les assemblées élues et surtout à l'APN. « La présence de la femme en si grand nombre dans l'APN est une force à même de contribuer à faire avancer les choses ». La ministre a fait cas des trois stratégies du gouvernement concernant la lutte contre l'analphabétisme,l'intégration économique et sociale et la lutte contre la violence contre la femme. Pour ces trois stratégies, dira-t-elle, « nous avons installés des commissions multisectorielles et qui œuvrent en coordination avec le pouvoir législatif et le mouvement associatif» . «Le vrai changement, le changement culturel, s'appuie sur la famille. Il faut qu'il y ait de la place pour la femme au sein de la famille à travers l'égalité entre les garçons et les filles» dira le président de l'APN, Mohamed Larbi Ould Khelifa, dans son allocution d'ouverture des travaux de cette journée parlementaire. Pour le président de la chambre basse « la ségrégation sur la base du sexe est une ségrégation raciste dans le pays. Elle est rejetée par notre société » ajoutant qu'au 21 é siècle « il n'est pas possible pour notre pays d'avancer en s'appuyant sur une seule béquille car cela traduirait un grand échec ». L'intervenant , cela dit , a évoqué les avancées réalisées par la société en estimant que la femme a fait des pas géants comme l'atteste sa présence dans l'assemblée . « La loi qui a imposé le quota de 30% n'est pour moi qu'une clé qui a permis à la femme de s'affirmer davantage » a indiqué Ould Khalifa pour qui « la femme, qui représente la moitié de la société, est un partenaire ». Le président de l'APN cite l'exemple de la parité dans les salaires en Algérie ou, contrairement à certains pays comme l'Allemagne, la femme perçoit le même salaire que les hommes dans tous les postes de travail et de responsabilité. Il dira en outre qu' il y a eu beaucoup de réalisations, mais a admis qu'i faut aussi persévérer et aller vers le changement des mentalités . « S'il y a eu des avancées cela est dû, incontestablement, au combat mené par la femme » estime Ould Khelifa qui a salué dans ce contexte le rôle des associations de femmes. De son côté, Souad Bendjaballah, ministre de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Condition de la femme, a d'emblée considéré que la création du Conseil national de la famille et de la femme constitue le cadre idoine pour la réflexion et la coordination avec l'institution exécutive et législative s'agissant des questions relatives à la femme. «Tous les droits de la femme sont complémentaires en ce sens q'il n'y a pas de droits économiques, culturelles sans les droits politiques » a soutenu Souad Bendjaballah. Et de préciser que « ces droits ne peuvent être concrétisés sur le terrain en l'absence de stabilité et sécurité » en ajoutant, toutefois, que « malgré tout les droits acquis, qui sont énoncés dans la Constitution et les lois de la République, il y a eu des tentatives d'exclusion de la femme du droit à la scolarité, à l'accès à l'emploi ...etc ». La représentante du gouvernement n'a pas omis de faire mention de la présence des femmes dans les assemblées élues et surtout à l'APN. « La présence de la femme en si grand nombre dans l'APN est une force à même de contribuer à faire avancer les choses ». La ministre a fait cas des trois stratégies du gouvernement concernant la lutte contre l'analphabétisme,l'intégration économique et sociale et la lutte contre la violence contre la femme. Pour ces trois stratégies, dira-t-elle, « nous avons installés des commissions multisectorielles et qui œuvrent en coordination avec le pouvoir législatif et le mouvement associatif» .