Le président de la Fédération algérienne de football, Mohamed Raouraoua, ne veut pas attendre éternellement la réponse de l'actuel sélectionneur national pour poursuivre sa mission à la tête de la barre technique des Verts après le Mondial brésilien. Le président de la Fédération algérienne de football, Mohamed Raouraoua, ne veut pas attendre éternellement la réponse de l'actuel sélectionneur national pour poursuivre sa mission à la tête de la barre technique des Verts après le Mondial brésilien. Le délai accordé par le président de l'instance nationale de football, Mohamed Raouraoua, à l'entraîneur bosnien, Vahid Halilhodzic s'est écoulé. En effet, le premier responsable à la barre technique des Verts n'a toujours pas répondu au vœu des Algériens qui consiste à continuer sa mission après la phase finale du Mondial brésilien. A l'heure actuelle les deux hommes n'arrivent toujours pas à trouver une issue pour cette question qui ne fait que perturber l'équipe à quelques jours du grand rendez-vous brésilien. « Je ne compte pas attendre éternellement la réponse de Vahid. Je lui ai fixé un délai, et il n'a toujours pas donné de suite. Je ne compte pas commettre les mêmes erreurs du passé. Je dois trancher sur cette question avant le Mondial. Soit Vahid poursuivra sa mission après le Mondial et mènera l'équipe jusqu'à la Coupe d'Afrique des Nations, sinon je procéderai à l'installation du nouvel entraîneur incessamment », a-t-il indiqué. Le patron du football algérien s'impatiente donc devant l'attitude du coach Vahid Halilhodzic qui tarde à donner sa réponse. « Mon contrat court jusqu'au Mondial brésilien. Je ne veux pas me précipiter, et je préfère attendre ce qui va se passer au Brésil », a répondu, de son côté, Vahid Halilhodzic. Rien ne va plus entre les deux hommes depuis la qualification de la sélection nationale au Mondial brésilien, prévu dans un peu plus de deux mois. Raouraoua, qui prône la stabilité du staff technique et qui espère une continuité, procède d'ores et déjà aux choses sérieuses. La semaine dernière a été très active pour le président de la Fédération algérienne de football qui a entamé la recherche d'un successeur pour Halilhodzic. Pour Mohamed Raouraoua ce n'est pas les entraîneurs qui manquent en ce moment, mais c'est la stabilité de l'équipe qui le préoccupe. Une chose est sûre, la FAF et son patron Mohamed Raouraoua s'est engagée à boucler le plus vite possible ce sujet. Les prochains jours seront donc déterminants et le coach Vahid Halilhodzic pourrait être remercié avant même la phase finale du Mondial brésilien. Ce qu'il ne souhaite pas, lui qui a pris les commandes de l'équipe en 2011. Une chose est sûre, le torchon brule entre les deux hommes Raouraoua et Halilhodzic. L'entêtement de ce dernier poussera les dirigeants du football algérien à trancher et vite dans la question du successeur. Même si des noms ont été déjà avancés, mais officiellement rien n'a été annoncé par l'instance nationale et le coach Halilhodzic continue à diriger cette semaine le second stage consacré aux joueurs locaux. Le délai accordé par le président de l'instance nationale de football, Mohamed Raouraoua, à l'entraîneur bosnien, Vahid Halilhodzic s'est écoulé. En effet, le premier responsable à la barre technique des Verts n'a toujours pas répondu au vœu des Algériens qui consiste à continuer sa mission après la phase finale du Mondial brésilien. A l'heure actuelle les deux hommes n'arrivent toujours pas à trouver une issue pour cette question qui ne fait que perturber l'équipe à quelques jours du grand rendez-vous brésilien. « Je ne compte pas attendre éternellement la réponse de Vahid. Je lui ai fixé un délai, et il n'a toujours pas donné de suite. Je ne compte pas commettre les mêmes erreurs du passé. Je dois trancher sur cette question avant le Mondial. Soit Vahid poursuivra sa mission après le Mondial et mènera l'équipe jusqu'à la Coupe d'Afrique des Nations, sinon je procéderai à l'installation du nouvel entraîneur incessamment », a-t-il indiqué. Le patron du football algérien s'impatiente donc devant l'attitude du coach Vahid Halilhodzic qui tarde à donner sa réponse. « Mon contrat court jusqu'au Mondial brésilien. Je ne veux pas me précipiter, et je préfère attendre ce qui va se passer au Brésil », a répondu, de son côté, Vahid Halilhodzic. Rien ne va plus entre les deux hommes depuis la qualification de la sélection nationale au Mondial brésilien, prévu dans un peu plus de deux mois. Raouraoua, qui prône la stabilité du staff technique et qui espère une continuité, procède d'ores et déjà aux choses sérieuses. La semaine dernière a été très active pour le président de la Fédération algérienne de football qui a entamé la recherche d'un successeur pour Halilhodzic. Pour Mohamed Raouraoua ce n'est pas les entraîneurs qui manquent en ce moment, mais c'est la stabilité de l'équipe qui le préoccupe. Une chose est sûre, la FAF et son patron Mohamed Raouraoua s'est engagée à boucler le plus vite possible ce sujet. Les prochains jours seront donc déterminants et le coach Vahid Halilhodzic pourrait être remercié avant même la phase finale du Mondial brésilien. Ce qu'il ne souhaite pas, lui qui a pris les commandes de l'équipe en 2011. Une chose est sûre, le torchon brule entre les deux hommes Raouraoua et Halilhodzic. L'entêtement de ce dernier poussera les dirigeants du football algérien à trancher et vite dans la question du successeur. Même si des noms ont été déjà avancés, mais officiellement rien n'a été annoncé par l'instance nationale et le coach Halilhodzic continue à diriger cette semaine le second stage consacré aux joueurs locaux.
