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Le seuil des programmes fixé entre 85 % et 95 %
Examens de fin d'année
Publié dans Le Midi Libre le 13 - 05 - 2014

Le seuil des programmes concernés par les examens de fin d'année a été fixé entre 85% et 95% des cours dispensés, a indiqué, hier, à Alger la ministre de l'Education nationale, Nouria Benghebrit, soulignant que les examens porteront sur les programmes "réellement" enseignés.
Le seuil des programmes concernés par les examens de fin d'année a été fixé entre 85% et 95% des cours dispensés, a indiqué, hier, à Alger la ministre de l'Education nationale, Nouria Benghebrit, soulignant que les examens porteront sur les programmes "réellement" enseignés.
Mme Benghebrit, fraîchement installée à la tête du secteur de l'éducation nationale, a expliqué lors de son passage à la chaîne III de la Radio algérienne que la fixation d'un seuil était "le résultat de tout un processus de recueil d'informations". Elle a rappelé que l'idée du seuil a été instituée en 2008 dans un contexte d'ensemble "particulier" marqué par des grèves "dures" tenues dans des établissements scolaires ainsi que d'autres dysfonctionnements, soulignant, toutefois, que fixer un seuil des programmes "portaient atteinte à la réputation de l'examen".
Concernant les réformes du système éducatif, Mme Benghebrit, en affirmant son engagement à "continuer" et à "renforcer" ce qui a été déjà réalisé depuis le lancement du processus en 2003, a souligné l'importance d'une réflexion avec l'ensemble des partenaires (syndicats, associations des parents d'élèves et pédagogues) sur de nouvelles modalités et perspectives de travail, afin de corriger les distorsions constatées.
La ministre a fait savoir que le moment était propice pour rentrer dans une évaluation d'étapes de la mise en place de la réforme du système éducatif qui a été, selon elle, lancée en "rangs dispersés", mettant l'accent, entre autres, sur la nécessité de préparer les élèves à une maîtrise des outils de la pensée et de réhabiliter l'autorité et ce, à partir d'un débat constructif.
Elle a ajouté, dans le même contexte, qu'un projet de plan d'action portant sur la refonte pédagogique, la ressource humaine et la gouvernance, a été soumis au gouvernement, précisant que son contenu a été préparé en tenant compte des "ajustements et révisions imposés par le terrain et les évolutions de la société". Interrogée sur ses priorités imminentes, Mme Benghebrit a cité "la mise en oeuvre dans l'apaisement des examens de fin d'année qui sont véritablement la résultante d'un effort gigantesque aussi bien par les élèves que les parents".
"Nous avons le devoir de réussir ces épreuves et de ne pas stresser ou angoisser les élèves", a-t-elle dit. A propos de certaines contraintes déplorées par les parents d'élèves en rapport essentiellement avec la lourdeur des programmes, la surcharge des classes et la qualité de l'enseignement, la ministre a reconnu que la situation était "diversifiée".
Estimant que les retards accusés dans la réalisation d'établissements scolaires étaient à l'origine des surcharges des classes, l'oratrice a annoncé la tenue d'un séminaire au mois de juillet, pour régler l'ensemble des problèmes sur la base d'un débat collectif avec l'ensemble des partenaires, tout en mettant en avant l'importance de l'élaboration d'une charte d'éthique pour moraliser le métier d'enseignant.
Concernant la "triche collective" constatée dans certains centres d'examens lors du Bac 2013, la ministre a estimé que ce genre de comportements représentait un "signal fort d'une défaillance au niveau de l'autorité et devrait être pris sérieusement en ligne de compte", ajoutant que cela donnait à réfléchir à une réorganisation des examens scolaires.
Elle a ajouté que des moyens humains et matériels ont été mobilisés pour que les examens de l'année 2014 se déroulent dans la normalité. En réponse à une question sur le déroulement des examens de fin d'année à Ghardaïa, qui a connu une vague de violences et où les cours ont été perturbés, Mme Benghebrit a affirmé que cette région du sud algérien "ne posait aucun problème".
Mme Benghebrit, fraîchement installée à la tête du secteur de l'éducation nationale, a expliqué lors de son passage à la chaîne III de la Radio algérienne que la fixation d'un seuil était "le résultat de tout un processus de recueil d'informations". Elle a rappelé que l'idée du seuil a été instituée en 2008 dans un contexte d'ensemble "particulier" marqué par des grèves "dures" tenues dans des établissements scolaires ainsi que d'autres dysfonctionnements, soulignant, toutefois, que fixer un seuil des programmes "portaient atteinte à la réputation de l'examen".
Concernant les réformes du système éducatif, Mme Benghebrit, en affirmant son engagement à "continuer" et à "renforcer" ce qui a été déjà réalisé depuis le lancement du processus en 2003, a souligné l'importance d'une réflexion avec l'ensemble des partenaires (syndicats, associations des parents d'élèves et pédagogues) sur de nouvelles modalités et perspectives de travail, afin de corriger les distorsions constatées.
La ministre a fait savoir que le moment était propice pour rentrer dans une évaluation d'étapes de la mise en place de la réforme du système éducatif qui a été, selon elle, lancée en "rangs dispersés", mettant l'accent, entre autres, sur la nécessité de préparer les élèves à une maîtrise des outils de la pensée et de réhabiliter l'autorité et ce, à partir d'un débat constructif.
Elle a ajouté, dans le même contexte, qu'un projet de plan d'action portant sur la refonte pédagogique, la ressource humaine et la gouvernance, a été soumis au gouvernement, précisant que son contenu a été préparé en tenant compte des "ajustements et révisions imposés par le terrain et les évolutions de la société". Interrogée sur ses priorités imminentes, Mme Benghebrit a cité "la mise en oeuvre dans l'apaisement des examens de fin d'année qui sont véritablement la résultante d'un effort gigantesque aussi bien par les élèves que les parents".
"Nous avons le devoir de réussir ces épreuves et de ne pas stresser ou angoisser les élèves", a-t-elle dit. A propos de certaines contraintes déplorées par les parents d'élèves en rapport essentiellement avec la lourdeur des programmes, la surcharge des classes et la qualité de l'enseignement, la ministre a reconnu que la situation était "diversifiée".
Estimant que les retards accusés dans la réalisation d'établissements scolaires étaient à l'origine des surcharges des classes, l'oratrice a annoncé la tenue d'un séminaire au mois de juillet, pour régler l'ensemble des problèmes sur la base d'un débat collectif avec l'ensemble des partenaires, tout en mettant en avant l'importance de l'élaboration d'une charte d'éthique pour moraliser le métier d'enseignant.
Concernant la "triche collective" constatée dans certains centres d'examens lors du Bac 2013, la ministre a estimé que ce genre de comportements représentait un "signal fort d'une défaillance au niveau de l'autorité et devrait être pris sérieusement en ligne de compte", ajoutant que cela donnait à réfléchir à une réorganisation des examens scolaires.
Elle a ajouté que des moyens humains et matériels ont été mobilisés pour que les examens de l'année 2014 se déroulent dans la normalité. En réponse à une question sur le déroulement des examens de fin d'année à Ghardaïa, qui a connu une vague de violences et où les cours ont été perturbés, Mme Benghebrit a affirmé que cette région du sud algérien "ne posait aucun problème".


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