La secrétaire générale du Parti des travailleurs (PT), Louiza Hanoune, a affirmé vendredi à Alger que l'enlèvement puis l'assassinat du ressortissant français, Pierre Hervé Gourdel, par un groupe terroriste "est un acte provocateur étranger aux traditions et à la culture de l'Algérie ainsi qu'aux préceptes de l'Islam". La secrétaire générale du Parti des travailleurs (PT), Louiza Hanoune, a affirmé vendredi à Alger que l'enlèvement puis l'assassinat du ressortissant français, Pierre Hervé Gourdel, par un groupe terroriste "est un acte provocateur étranger aux traditions et à la culture de l'Algérie ainsi qu'aux préceptes de l'Islam". Louisa Hanoune qui présidait l'ouverture de la rencontre nationale de l'organisation des jeunes du PT, a dénoncé avec vigueur "cet acte terroriste perpétré par l'Etat Islamique autoproclamé ", soulignant qu'il s'agissait d'un "acte provocateur visant à convaincre l'opinion publique de la présence sur le territoire national de cette organisation autoproclamée Etat islamique en Irak et au Levant (Daech)". Des inconnus avaient intercepté dimanche 21 septembre à 21h à hauteur du village d'Aït Ouabane commune d'Akbil (wilaya de Tizi-Ouzou), un véhicule avec à son bord un groupe d'Algériens accompagnés du ressortissant français Pierre Hervé Gourdel. Après avoir libéré ses compagnons algériens et abandonné le véhicule sur les lieux, "les assaillants ont gardé le ressortissant français et pris la fuite vers une direction inconnue". Ce dernier a été assassiné mercredi dernier. "Cet acte criminel barbare n'est autre qu'une réponse au rejet catégorique par l'Algérie d'une intervention militaire en Libye et à son refus de se joindre à la coalition internationale mise en place par l'Administration américaine pour lutter contre l'Etat Islamique autoproclamé créé par les services secrets américains et britanniques", a estimé Louisa Hanoune. Elle a salué à ce propos la "clairvoyance de la diplomatie algérienne et la position de l'Algérie qui refuse clairement de participer à ces guerres destructrices". Mme Hanoune a ajouté que "la mission de l'Etat islamique autoproclamé est bien définie par l'Administration américaine et vise la division des pays". Elle a indiqué qu'elle était convaincue que ce groupe terroriste n'est pas présent sur le territoire national a rapporté l'APS. "L'assassinat du ressortissant français a été utilisé pour pousser l'Algérie à participer aux crimes, dans une tentative de remettre en cause ses décisions souveraines et d'attenter à son intégrité territoriale", a-t-elle ajouté. Elle a appelé les médias algériens à davantage de vigilance face à ce genre de "campagnes féroces qui visent l'Algérie et qui portent à s'interroger sur les véritables motifs de cet acte terroriste". Mme Hanoune n'exclut pas "l'éventualité d'une implication du Mouvement pour l'autonomie de la Kabylie dans l'enlèvement et l'assassinat du ressortissant français, commandités de l'étranger afin de placer la région sous protection internationale". Concernant la rencontre nationale de l'organisation des jeunes du PT tenue au village des artistes à Zeralda, Louisa Hanoune a donné des instructions concernant la préparation du 3ème congrès de l'organisation à travers un travail sur le terrain auprès des jeunes travailleurs, des chômeurs et des universitaires sur les questions socioéconomiques, notamment le chômage, le crime, la violence, l'émigration clandestine et la politique de l'emploi. Louisa Hanoune qui présidait l'ouverture de la rencontre nationale de l'organisation des jeunes du PT, a dénoncé avec vigueur "cet acte terroriste perpétré par l'Etat Islamique autoproclamé ", soulignant qu'il s'agissait d'un "acte provocateur visant à convaincre l'opinion publique de la présence sur le territoire national de cette organisation autoproclamée Etat islamique en Irak et au Levant (Daech)". Des inconnus avaient intercepté dimanche 21 septembre à 21h à hauteur du village d'Aït Ouabane commune d'Akbil (wilaya de Tizi-Ouzou), un véhicule avec à son bord un groupe d'Algériens accompagnés du ressortissant français Pierre Hervé Gourdel. Après avoir libéré ses compagnons algériens et abandonné le véhicule sur les lieux, "les assaillants ont gardé le ressortissant français et pris la fuite vers une direction inconnue". Ce dernier a été assassiné mercredi dernier. "Cet acte criminel barbare n'est autre qu'une réponse au rejet catégorique par l'Algérie d'une intervention militaire en Libye et à son refus de se joindre à la coalition internationale mise en place par l'Administration américaine pour lutter contre l'Etat Islamique autoproclamé créé par les services secrets américains et britanniques", a estimé Louisa Hanoune. Elle a salué à ce propos la "clairvoyance de la diplomatie algérienne et la position de l'Algérie qui refuse clairement de participer à ces guerres destructrices". Mme Hanoune a ajouté que "la mission de l'Etat islamique autoproclamé est bien définie par l'Administration américaine et vise la division des pays". Elle a indiqué qu'elle était convaincue que ce groupe terroriste n'est pas présent sur le territoire national a rapporté l'APS. "L'assassinat du ressortissant français a été utilisé pour pousser l'Algérie à participer aux crimes, dans une tentative de remettre en cause ses décisions souveraines et d'attenter à son intégrité territoriale", a-t-elle ajouté. Elle a appelé les médias algériens à davantage de vigilance face à ce genre de "campagnes féroces qui visent l'Algérie et qui portent à s'interroger sur les véritables motifs de cet acte terroriste". Mme Hanoune n'exclut pas "l'éventualité d'une implication du Mouvement pour l'autonomie de la Kabylie dans l'enlèvement et l'assassinat du ressortissant français, commandités de l'étranger afin de placer la région sous protection internationale". Concernant la rencontre nationale de l'organisation des jeunes du PT tenue au village des artistes à Zeralda, Louisa Hanoune a donné des instructions concernant la préparation du 3ème congrès de l'organisation à travers un travail sur le terrain auprès des jeunes travailleurs, des chômeurs et des universitaires sur les questions socioéconomiques, notamment le chômage, le crime, la violence, l'émigration clandestine et la politique de l'emploi.
