Organisée sous le patronage du ministre de la Culture, Azzedine Mihoubi, en partenariat avec le wali de Tlemcen, la 9e édition duFestival national du hawzi s'est clôturée dans la nuit de samedi à dimanche à la maison de la culture Abdelkader-Alloula de Tlemcen. Organisée sous le patronage du ministre de la Culture, Azzedine Mihoubi, en partenariat avec le wali de Tlemcen, la 9e édition duFestival national du hawzi s'est clôturée dans la nuit de samedi à dimanche à la maison de la culture Abdelkader-Alloula de Tlemcen. Une soirée finale terminée en apothéose, animée par la chanteuse Kara Terki Zakia, qui a interprété des pièces andalouses puisées des écoles tlemcenienne et algéroise et par Chaou Abdelkader, qui a présenté à l'assistance un cocktail de chansons chaâbies et hawzies. Le jury de professionnels, invité à départager la vingtaine d'associations et artistes, a su à l'avance qu'il n'aura pas la tâche facile eu égard au niveau de la compétition et de la qualité du travail affiché par les associations en lice. Venant de différentes régions du pays (Tlemcen, Oran, Tiaret, Cherchell, Mascara, Blida...), ces dernières ont d'autant plus de mérite puisqu'elles oeuvrent de manière remarquable à la promotion, la sauvegarde et la pérennisation de ce genre enraciné dans la tradition musicale tlemcénienne. Cette édition de la musique hawzie est ainsi rehaussée par la participation d'associations prestigieuses, en l'occurrence Ahbab Fawzi Belkhodja, Al Moutribiya de Blida, Ghernata de Tlemcen, Errachidiya de Mascara, Ahbab Cheikh Larbi Bensari de Tlemcen, Amel Sougueur, Cheikh Redouane Bensari de Sidi Bel-Abbès, Cheikh Mohamed Bouali de Tlemcen, Ibn Badja de Mostaganem, El Kortobiya de Tlemcen, La Constantinoise pour le patrimoine musical de Constantine, Riyad Al Andalous de Tlemcen, Nassim Es'Sabah de Cherchell, Ennahda d'Oran et Slam de Tlemcen. Au final, c'est l'association Ahbab Cheikh Bouali de Tlemcen qui a décroché le premier prix. Quant aux deuxième et troisième prix de ce festival musical national, ils sont revenus respectivement aux associations Ennahda d'Oran et El Qassantiniya de Constantine. Des chèques d'un montant respectif de 300.000 DA, 250.000 DA et 200.000 DA ont été remis aux trois lauréats. Cette édition du festival a enregistré également l'organisation avec l'Orchestre national de la musique andalouse un concours des meilleurs violonistes. Ces prix sont revenus respectivement à Benalioua Hocine, de l'association Ibn Badja de Mostaganem, à Benhamida Faycal, de l'association Slam de Tlemcen et à Benlakhdat Oussama, de l'association Ibn Badja. Coïncidant cette année encore avec le mois sacré de Ramadhan, propice aux sorties nocturnes et aux veillées culturelles, la manifestation, qui se déroule comme à chaque édition dans l'engouement général, est l'occasion idoine pour le public tlemcénien de renouer avec les qaâdate hawzies, si chères à la capitale des Zianides. D'ailleurs, le comité d'organisation a même pensé de faire profiter les mélomanes de ce genre musical en organisant des soirées off. Outre la compétition officielle qui se déroule au cheflieu de wilaya, dans plusieurs communes de Tlemcen se sont produits des artistes talentueux qui se sont distingués ces dernières années sur la scène hawzie par leur talent et leur passion artistique, notamment à Nedroma, Souahlia et Marsa Une soirée finale terminée en apothéose, animée par la chanteuse Kara Terki Zakia, qui a interprété des pièces andalouses puisées des écoles tlemcenienne et algéroise et par Chaou Abdelkader, qui a présenté à l'assistance un cocktail de chansons chaâbies et hawzies. Le jury de professionnels, invité à départager la vingtaine d'associations et artistes, a su à l'avance qu'il n'aura pas la tâche facile eu égard au niveau de la compétition et de la qualité du travail affiché par les associations en lice. Venant de différentes régions du pays (Tlemcen, Oran, Tiaret, Cherchell, Mascara, Blida...), ces dernières ont d'autant plus de mérite puisqu'elles oeuvrent de manière remarquable à la promotion, la sauvegarde et la pérennisation de ce genre enraciné dans la tradition musicale tlemcénienne. Cette édition de la musique hawzie est ainsi rehaussée par la participation d'associations prestigieuses, en l'occurrence Ahbab Fawzi Belkhodja, Al Moutribiya de Blida, Ghernata de Tlemcen, Errachidiya de Mascara, Ahbab Cheikh Larbi Bensari de Tlemcen, Amel Sougueur, Cheikh Redouane Bensari de Sidi Bel-Abbès, Cheikh Mohamed Bouali de Tlemcen, Ibn Badja de Mostaganem, El Kortobiya de Tlemcen, La Constantinoise pour le patrimoine musical de Constantine, Riyad Al Andalous de Tlemcen, Nassim Es'Sabah de Cherchell, Ennahda d'Oran et Slam de Tlemcen. Au final, c'est l'association Ahbab Cheikh Bouali de Tlemcen qui a décroché le premier prix. Quant aux deuxième et troisième prix de ce festival musical national, ils sont revenus respectivement aux associations Ennahda d'Oran et El Qassantiniya de Constantine. Des chèques d'un montant respectif de 300.000 DA, 250.000 DA et 200.000 DA ont été remis aux trois lauréats. Cette édition du festival a enregistré également l'organisation avec l'Orchestre national de la musique andalouse un concours des meilleurs violonistes. Ces prix sont revenus respectivement à Benalioua Hocine, de l'association Ibn Badja de Mostaganem, à Benhamida Faycal, de l'association Slam de Tlemcen et à Benlakhdat Oussama, de l'association Ibn Badja. Coïncidant cette année encore avec le mois sacré de Ramadhan, propice aux sorties nocturnes et aux veillées culturelles, la manifestation, qui se déroule comme à chaque édition dans l'engouement général, est l'occasion idoine pour le public tlemcénien de renouer avec les qaâdate hawzies, si chères à la capitale des Zianides. D'ailleurs, le comité d'organisation a même pensé de faire profiter les mélomanes de ce genre musical en organisant des soirées off. Outre la compétition officielle qui se déroule au cheflieu de wilaya, dans plusieurs communes de Tlemcen se sont produits des artistes talentueux qui se sont distingués ces dernières années sur la scène hawzie par leur talent et leur passion artistique, notamment à Nedroma, Souahlia et Marsa
