Le président du panel africain d'évaluation des pairs Mustapha Mékidèche a évoqué les grandes lignes de la coopération sino-africaine. Le président du panel africain d'évaluation des pairs Mustapha Mékidèche a évoqué les grandes lignes de la coopération sino-africaine. Il estime que le géant chinois peut aider beaucoup le continent africain et l'Algérie à travers ces projets dans les différents domaines à l'instar des infrastructures, l'énergie et l'industrie. Dans une interview à la Chaîne 3, le président du panel africain est revenu sur "la coopération qui s'est multipliée par 20 et reste favorable grâce au mécanisme consistant à infléchir son modèle de croissance, cela met des possibilités énormes par sa croissance à l'extérieur, ses capacités de prêts à long terme". Le mode opératoire aujourd'hui fait que "les entreprises chinoises sont endettées et il s'agit ces types d'opérations peuvent régler leur dettes à travers leur déploiement dans le marché africain". En termes de croissance, estime Mustapha Mékidèche "les besoins sont énormes en termes d'énergies, infrastructures et les emplois à créer. Il y a un potentiel à valoriser avec la Chine. Les efforts entrepris concrètement sont visibles par des projets au Sénégal, au Togo et au Kenya ». Pour revenir à cette coopération dont le sommet de Johannesburg, l'orateur a souligné que la Chine "s'intéresse aux pays ou la gouvernance politique est en train de s'améliorer, la Chine privilégie la relation d'Etat à Etat d'autant que les régimes ne sont pas des obstacles, d'où la confiance qui est créés à long terme". En effet "la Chine est très sensible aux pays du Sud et les valeurs qui sont partagées entre elle et ces pays" ne font que rassurer sur la coopération à long terme. En ce qui concerne l'Algérie, Mustapha Mékidèche rappelle que la Chine a des échanges de 10 milliards de dollars avec l'Algérie mais ce qui importe actuellement ce sont les capacités d'investir dans des domaines telles que la pétrochimie, le phosphate et l'industrie. "En contrepartie, la Chine peut nous accompagner dans le cadre des possibilités offertes pour les projets d'infrastructures" précise-t-il. Selon lui les possibilités d'investissement "vont créer un nouveau regard avec la coproduction sur les projets localisés et nous accompagner dans les délocalisations" Côté entreprises chinoises, le président du panel africain indique que "les plans de charge de ces entreprises sont en train de s'améliorer en Algérie. Elles doivent continuer à soutenir notre croissance avec des investissements à long terme avec des taux d'intérêts très bas, ce qui n'existe pas chez d'autres pays tels que les Etats-Unis et l'Europe". De plus, la Chine possède selon lui "une devise forte qui est la cinquième au monde dans les transactions internationales", ce qui permettra de procéder avec l'Algérie à des transactions directement avec la monnaie chinoise. Il estime que le géant chinois peut aider beaucoup le continent africain et l'Algérie à travers ces projets dans les différents domaines à l'instar des infrastructures, l'énergie et l'industrie. Dans une interview à la Chaîne 3, le président du panel africain est revenu sur "la coopération qui s'est multipliée par 20 et reste favorable grâce au mécanisme consistant à infléchir son modèle de croissance, cela met des possibilités énormes par sa croissance à l'extérieur, ses capacités de prêts à long terme". Le mode opératoire aujourd'hui fait que "les entreprises chinoises sont endettées et il s'agit ces types d'opérations peuvent régler leur dettes à travers leur déploiement dans le marché africain". En termes de croissance, estime Mustapha Mékidèche "les besoins sont énormes en termes d'énergies, infrastructures et les emplois à créer. Il y a un potentiel à valoriser avec la Chine. Les efforts entrepris concrètement sont visibles par des projets au Sénégal, au Togo et au Kenya ». Pour revenir à cette coopération dont le sommet de Johannesburg, l'orateur a souligné que la Chine "s'intéresse aux pays ou la gouvernance politique est en train de s'améliorer, la Chine privilégie la relation d'Etat à Etat d'autant que les régimes ne sont pas des obstacles, d'où la confiance qui est créés à long terme". En effet "la Chine est très sensible aux pays du Sud et les valeurs qui sont partagées entre elle et ces pays" ne font que rassurer sur la coopération à long terme. En ce qui concerne l'Algérie, Mustapha Mékidèche rappelle que la Chine a des échanges de 10 milliards de dollars avec l'Algérie mais ce qui importe actuellement ce sont les capacités d'investir dans des domaines telles que la pétrochimie, le phosphate et l'industrie. "En contrepartie, la Chine peut nous accompagner dans le cadre des possibilités offertes pour les projets d'infrastructures" précise-t-il. Selon lui les possibilités d'investissement "vont créer un nouveau regard avec la coproduction sur les projets localisés et nous accompagner dans les délocalisations" Côté entreprises chinoises, le président du panel africain indique que "les plans de charge de ces entreprises sont en train de s'améliorer en Algérie. Elles doivent continuer à soutenir notre croissance avec des investissements à long terme avec des taux d'intérêts très bas, ce qui n'existe pas chez d'autres pays tels que les Etats-Unis et l'Europe". De plus, la Chine possède selon lui "une devise forte qui est la cinquième au monde dans les transactions internationales", ce qui permettra de procéder avec l'Algérie à des transactions directement avec la monnaie chinoise.